Decision Maker

Olivier Véran

  • Ministre des Solidarités et de la Santé

Does Olivier Véran have the power to decide or influence something you want to change? Start a petition to this decision maker.Start a petition
Petitioning Edouard Philippe

Traitement Covid-19: ne perdons plus de temps ! #NePerdonsPlusDeTemps

Nous vivons une crise sanitaire mondiale d'une grande ampleur et notre pays est fortement frappé par la vague épidémique de Covid-19. Chaque jour, nous déplorons de nombreux décès. Contre cette maladie, nous ne disposons ni de vaccins, ni de traitement antiviral même si les données scientifiques actuelles sont parcellaires et discordantes. Des données chinoises récentes ont suggéré l'efficacité de la chloroquine ou de l'hydroxychloroquine au laboratoire et chez les malades. Une étude publiée par Chen et coll. (Efficacy of hydroxychloroquine in patients with Covid-19 : results of a randomized clinical trial) montre l'efficacité de l'hydroxychloroquine chez les malades atteints par le Covid-19 souffrant de pneumonie moyennement sévère ; les quelques patients qui se sont aggravés ne recevaient pas le traitement. Des cartes publiées par Santé Publique France montrent un taux de mortalité chez les personnes hospitalisées beaucoup plus faible à Marseille que dans le reste du territoire. Au vu des données scientifiques internationales ainsi que des expériences de terrain remontant de médecins au contact direct de l'infection et en l'attente de nouvelles données scientifiquement contrôlées, les autorités italiennes, puis américaines ont pris, dans ce domaine, des décisions thérapeutiques hardies. Le 17 mars 2020, l'agence de médicament italienne considérant l'urgence sanitaire a autorisé la prescription de l'hydroxychloroquine par tous médecins, y compris les médecins des villes. Pour éviter tous risques ou dérives, ce médicament doit être délivré en pharmacie hospitalière avec obligation d'assurer une traçabilité des prescriptions et un retour des données médicales. Le 29 mars, après avis favorable de la FDA (agence américaine du médicament), le ministère de la santé des Etats-Unis d'Amérique (US Department of HHS) a décidé de mettre de la chloroquine et de l'hydroxychloroquine à la disposition des pharmacies hospitalières sur l'ensemble du territoire fédéral. Le Gouvernement américain utilisera sa réserve stratégique faite de millions de traitements constitués depuis plusieurs semaines. Dès maintenant, la FDA autorise tous les médecins hospitaliers américains à prescrire ces deux médicaments y compris en dehors d'essais thérapeutiques. Elle demande, comme en Italie, que toutes les données médicales des malades traités soient collectées afin de les analyser. Le Portugal vient de recommander ces traitements pour les cas de Covid-19 avec pneumonie. La tolérance de ces médicaments prescrits à des millions d'individus depuis des décennies est bonne à condition expresse de respecter le dosage et les contre-indications, de vérifier la compatibilité avec d'autres médicaments pris simultanément, de contrôler le taux de potassium dans le sang et de réaliser préalablement un électrocardiogramme surtout en cas de prescription associée d'azithromycine. Il faut éviter à tout prix l'automédication. En attente de nouvelles données scientifiquement contrôlées, dans la situation aigüe que nous connaissons, de plus en plus de médecins pensent que cette stratégie s'impose, conforme à leur serment d'Hippocrate, de traiter leurs malades en leur âme et conscience. Or le décret en vigueur en France n° 2020/337 du 26 mars 2020 ne permet l'utilisation de l'hydroxychloroquine qu'"après décision collégiale, dans le respect des recommandations du Haut-Conseil de la Santé Publique et, en particulier de l'indication pour les patients atteints de pneumonie oxygéno-requérante ou d'une défaillance d'organe". A ce stade trop tardif de la maladie, ce traitement risque d'être inefficace. Si l'efficacité de l'hydroxychloroquine se confirme, il faudra rapidement ouvrir le protocole aux médecins libéraux pour éviter la saturation des hôpitaux. Nous demandons donc au Premier ministre et à son Ministre de la Santé  de modifier d'urgence ce décret et de mettre à disposition immédiate dans toutes les pharmacies hospitalières de l'hydroxychloroquine ou, à défaut, de la chloroquine pour que chaque médecin hospitalier puisse en prescrire à tous les malades atteints de forme symptomatiques de l'affection à Covid-19, particulièrement à ceux atteints de troubles pulmonaires si leur état le requiert. Nous appelons l'Etat à effectuer des réserves ou des commandes d'hydroxychloroquine afin que, si l'efficacité se confirmait dans les prochains jours, nous ne soyons pas en manque de traitement. Pr. Philippe Douste-Blazy, Professeur de santé publique et d’épidémiologie, ancien Ministre de la Santé,  Pr. Christian Perronne, Chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Raymond Poincaré de Garches,  Dr. Michèle Barzach, ancienne Ministre de la Santé,  Pr. Isabelle Bourgault Villada, Professeur de dermatologie à l’hôpital Ambroise Paré,  Pr. François Bricaire, ancien Chef du service de maladies infectieuses à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Membre de l’Académie de Médecine,  Pr. Marc Gentilini, Professeur de parasitologie, de santé publique et de clinique des maladies infectieuses, Membre de l’Académie de Médecine, Pr. Olivier Goulet, Professeur de pédiatrie de l’hôpital Necker, Pr. Jacques Marescaux, Président Fondateur de l’IRCAD, Membre de l’Académie de Médecine,  Pr. Catherine Neuwirth, Professeur de microbiologie au CHU de Dijon, Dr. Patrick Pelloux, Président de l’Association des médecins urgentistes de France, Pr. Paul Trouillas, Professeur de neurologie au CHU de Lyon, Dr. Martine Wonner, psychiatre, députée LREM du Bas Rhin.

Philippe Douste-Blazy et Christian Perronne (COLLECTIF 3 AVRIL)
582,877 supporters
Petitioning Edouard Philippe, Emmanuel Macron, Olivier Véran

Des tests de Covid-19 pour tous !

D'après les données officielles, 2500 kits de tests de dépistage du Covid-19 seraient disponibles en France par jour, ce qui n'est déjà pas suffisant pour tester le personnel soignant. Les témoignages de médecins et infirmièr.e.s à l'Hôpital nous apprennent qu'ils ne disposent pas des moyens de se faire eux-mêmes tester. Les médecins de ville ne peuvent tout simplement pas procéder à ces tests.  Il n'y a, d'après les déclarations d'Édouard Philippe, aucune volonté politique de s'attaquer à ce problème. Il faut TRÈS URGEMMENT que cela change.  Quelles conséquences ? Les tests disponibles sont réservés aux cas "graves" et à certaines "personnalités". Résultat : quand nous tombons malade, il est impossible de savoir si c'est d'une grippe, d'une pneumonie, ou du Coronavirus. Il en résulte que les statistiques sont faussées et les diagnostics flous. Il en résulte aussi que les professions au contact d'autrui peuvent être porteurs du virus et le transmettre largement. Il en résulte enfin qu'on ne sait toujours rien sur une possible réinfection. La Corée et l'Allemagne, pays qui semblent mieux que nous faire face à la pandémie, ont appliqué une politique exactement inverse en renforçant les diagnostics et en mettant l'accent sur la multiplication des tests. A titre d'exemple, la Corée du Sud a mené une campagne de 274 500 tests, soit 0,5% de la population, pour 8 236 cas diagnostiqués selon Les Echos. Depuis quelques jours, le nombre de cas décroît dans le pays. En comparaison, dans son dernier point épidémiologique, Santé publique France fait état d’un pic de seulement 2 351 tests, enregistré le 10 mars. 15 018 tests ont été menés en France depuis le 24 février pour 2 039 cas confirmés. Un peu moins de 1000 échantillons ont été analysés par jour. On est très très loin du compte... Le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) lui-même, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a appelé tous les pays dans le monde à intensifier les tests de dépistage de coronavirus comme meilleur moyen de ralentir la progression du Covid-19. Il s'agit d'une mesure de bon sens. Nous appelons donc le gouvernement à cesser de négliger cet aspect essentiel de lutte contre la pandémie, et à mettre au plus vite à disposition du public des tests nombreux et efficaces.  

Anna BORREL
108,288 supporters
Petitioning Olivier Véran, Emmanuel Macron

Pour une naissance respectée ! Une femme = une sage femme

Le 11 novembre 2020, Anna Roy, sage-femme et chroniqueuse dans l'émission La Maison des Maternelles sur France 4 et autrice du podcast Sage-meuf lançait un appel sur les réseaux sociaux avec un message clair : 1 femme, 1 sage-femme en salle de naissance. Pourquoi ?  La naissance, c’est la venue au monde d’une nouvelle personne, c’est un moment si important... Si important pour celui ou celle qui vient au monde, pour la femme qui accouche, pour les familles, pour les soignants qui sont là, pour la société toute entière. La naissance est un acte fondateur, l’affaire de tous.  Aujourd’hui, les femmes et leurs familles ont trop souvent affaire à une maltraitance institutionnalisée. Dans un texte percutant, Anna Roy reconnaît avoir maltraité des femmes et leurs familles, malgré elle. Sans se dédouaner et grâce à ce hashtag #jesuismaltraitante, Anna tend la main à toutes ces mères qui subissent le manque cruel de moyens des maternités, à toutes les femmes qui subissent les insuffisances de notre système de santé.  Avec cette pétition, nous vous proposons de soutenir les sages- femmes (et plus largement tout le personnel soignant engagé au moment de “l’avant-pendant-après” naissance).  En la signant, vous participez à demander à Monsieur Emmanuel Macron, président de la République et Monsieur Olivier Véran, ministre de la santé, de changer la norme, de donner les moyens aux sages-femmes et à leurs collègues de restaurer l'humanité en salle de naissance, en suites de couches, en ville, partout. C'est simple, nous demandons notamment que pour chaque naissance dans ce pays, une sage-femme puisse accompagner la future mère de A à Z pendant son travail et son accouchement. En France, en 2020, une sage-femme s'occupe actuellement en moyenne de 3 patientes par garde (et souvent plus). Une hérésie quand on connait les besoins fondamentaux d'accompagnement d'une femme en travail. A ce jour, en suites de couches, une sage-femme peut prendre en charge jusqu’à 25 (!!!) nouvelles mères. Il est temps d'arrêter l'hémorragie, que le personnel soignant et la population se rassemblent pour demander à ce que le paradigme de la naissance change, enfin, en France.  SI vous faites partie des 750 000 femmes qui donnent naissance chaque année dans notre beau pays, alors vous êtes concernées par ce texte. Si vous avez perdu un bébé, avez eu recours à une IMG ou avez fait une fausse couche alors vous êtes concerné.e par ce texte. Si vous avez eu recours à une IVG alors vous êtes concernée par ce texte. Si vous faites partie des conjoint.e.s de ces femmes, alors vous êtes concerné.e.s par ce texte. Si vous avez donné naissance dans des conditions optimales et que vous connaissez les bienfaits d’une naissance respectée, alors vous êtes concernée par ce texte. Si vous avez donné naissance dans des conditions délicates, que vous n’avez pas été respectée dans vos choix, alors vous êtes concernée par ce texte. Si vous avez vu vos sœurs, vos cousines, vos amies subir les conditions parfois difficiles en maternité, alors vous êtes concerné.e.s par ce texte. Si vous n’avez pas d’enfants, n’en voulez pas, mais avez entendu vos mères, vos tantes, votre entourage, raconter avec courage leur histoire d’accouchement, alors vous êtes concerné.e. par ce texte. Si vous êtes soignant.e. et que tous les jours vous jonglez avec les moyens du bord alors vous êtes concerné.e par ce texte. Votre histoire est importante. Que ce soit ce que vous avez vécu en salle de naissance, ou en suite de couche, ou bien le désarroi que vous ressentez le soir en posant votre blouse au vestiaire ou seule devant votre tableau rouge des sonnettes…  Livrez votre histoire, écrivez-là, filmez-là, dansez-là et partagez-là avec les # suivants : #Jesuismaltraitante #Jesuismaltraitant #Noussommesmaltraités Afin qu’enfin, un jour, toutes les naissances soient respectées! Joignez-vous à nous, signez cette pétition, partagez-là un maximum autour de vous et sur vos réseaux sociaux. Merci pour nous, merci pour elles et merci pour eux, nos futurs bébés. Anna Roy, sage-femme, chroniqueuse à La maison des Maternelles et auteure (livres, podcast Sage-meuf)  Clémentine Sarlat, fondatrice et productrice du podcast La Matrescence Clémentine Galey, fondatrice et productrice du podcast Bliss Alison Cavaillé, fondatrice de la marque Tajinebanane  Agathe Lecaron, journaliste et présentatrice de l’émission La Maison des Maternelles        

Clémentine SARLAT
130,588 supporters
Victory
Petitioning Emmanuel Macron, Anne Hidalgo, Jean Castex, Laura Flessel, Jean-Michel Blanquer, Roxana Maracineanu, Olivier Véran

Passer la limitation de 1 km à 5 km

Monsieur le président et messieurs , mesdames les ministres  La limitation de sortie pour faire du sport et prendre l’air lors de ce confinement a été encore limitée à 1 km c’est assez incompréhensible alors que les parcs et les plages vont rester ouverts ! Quelle est la logique pour les personnes qui habitent en ville ! Se concentrer sur peu d’espace alors même que 5 km comme en Irlande permet de plus s’étaler sans aller trop loin puisque la limite horaire existe ! Cela permet à paris d’aller dans les bois courir ou faire du vélo à longchamp ! On nous explique depuis des mois que l’activité en grand air n’est pas source de cluster ! Alors tenons en compte. L’activité a de plus une très bonne action sur la santé, l’humeur et vous nous dites restez en bonne santé et même continuez à vous soigner ! Le sport c’est 30 % de récidive en moins pour les cancers (nous sommes en plein octobre Rose) et je sais de quoi je parle j’en ai eu 2 et le sport m’a aidée et m’aide encore ! Alors je vous demande messieurs les politiques de revoir cette limite en terme de km pour les habitants des villes ! À la campagne faire 10 km à pieds ou à vélo est autorisé pour aller chercher son pain ! Ne créez pas de discrimination ! Passer à 5 km et tout le monde acceptera mieux ce confinement nécessaire  N’hésitez pas à partager  si vous souhaitez m’aider je suis joignable sur LinkedIn (media, politique bienvenus)  

Virginie BABINET
94,903 supporters
Victory
Petitioning Laboratoire GILEAD Sciences, Olivier Véran, European Cancer Patient Coalition, Michel JOLY, Daniel O'Day

Cancer du sein triple négatif : donnez-nous accès aux traitements pour rester en vie !

IT/DE/ES/PT / EN En plus de signer cette pétition, vous pouvez nous aider en participant à notre cagnotte : c'est ICI. Merci ! Nous sommes le collectif #MobilisationTriplettes. Nous sommes des filles, des épouses, des sœurs, des mères, des amies, des proches ou des malades touchés par un cancer du sein triple négatif. Nous lançons cette pétition pour avoir accès à TRODELVY en France (et en Europe). Parce que des milliers de femmes jeunes sont atteintes d’un cancer du sein triple négatif métastatique !Parce que faute d’accès aux traitements novateurs (pourtant disponibles hors de France), les patientes métastasées disposent toujours d’un protocole dépassé à base de chimiothérapie seule, jusqu’à ce que la mort s’ensuive…Parce qu’il existe un traitement novateur (Trodelvy) qui double pratiquement l’espérance de vie de ces femmes atteintes de ce cancer du sein particulièrement agressif !Parce que ce traitement est disponible pour les américaines mais n’est pas disponible en France (et en Europe) ! Signons cette pétition !  Malgré les nombreuses avancées dans le domaine de la recherche, certains cancers du sein restent difficiles à traiter. C’est le cas du cancer du sein dit « triple négatif », un des cancers les plus agressifs. Il frappe environ 11 000 femmes par an qui sont souvent jeunes. 30% des patientes seront métastasées dans les 3 ans suivant le diagnostic, soit environ 1700 patientes chaque année.La médiane de survie, quand la maladie devient métastatique, est évaluée à 14 mois en France. Il existe un traitement qui double presque l’espérance de vie des femmes atteintes du cancer du sein triple négatif métastatique. Il s’agit du TRODELVY (Sacituzumab Govitecan), produit par le laboratoire GILEAD Sciences. Ce traitement est disponible aux Etats-Unis. Toutes les patientes américaines sont prioritaires et peuvent en bénéficier. En France :-        A la mi-décembre 2020, l’accès au TRODELVY a obtenu une ATUn (Autorisation Temporaire d’Utilisation nominative). Cela a fait renaître l'espoir chez les patientes atteintes d’un cancer du sein triple négatif métastatique.-        Fin janvier, l’ATUn a été suspendue pour toute nouvelle demande de TRODELVY. Seules 50 patientes en bénéficient. Cette situation provoque une injustice et une perte de chance pour toutes les patientes en impasse thérapeutique. CETTE SITUATION EST LIÉE A UN PROBLÈME DE PRODUCTION DU LABORATOIRE GILEAD. Il ne s’agit pas d’un problème administratif européen ou français. Le laboratoire Gilead annonce que la mise à disposition de Sacituzumab Govitecan (TRODELVY), en France, sera garantie UNIQUEMENT en décembre 2021. Gilead ne prend aucun engagement sur une mise à disposition progressive d’ici à décembre. Attendre la fin de l’année pour bénéficier du Sacituzumab Govitecan (TRODELVY) est inacceptable pour toutes les patientes en impasse thérapeutique. Il nous est impossible de rester inactifs en sachant que ces jeunes femmes, atteintes d’un cancer du sein triple négatif métastatique, vont mourir et que leurs enfants grandiront sans maman… NOUS SOMMES FACE À UNE URGENCE DE VIE ! AIDEZ-NOUS EN SIGNANT LA PÉTITION A DESTINATION DU LABORATOIRE GILEAD : POUR UN APPROVISIONNEMENT ACCÉLÉRÉ EN TRODELVY EN FRANCE (ET EN EUROPE) SANS ATTENDRE LA FIN DE L’ANNÉE ! ENSEMBLE, SAUVONS DES VIES ! En plus de signer cette pétition, vous pouvez nous aider en participant à notre cagnotte : c'est ICI. Merci ! Voici notre dossier de presse pour plus de détail : ici ! Collectif #MobilisationTriplettes – Pour en savoir plus, retrouvez-nous sur nos pages :  Facebook / Instagram / Twitter / LinkedIn

Collectif Triplettes Roses .
99,735 supporters
Petitioning Emmanuel Macron, Olivier Véran, Sophie Cluzel, Parlementaires, Jean Castex

Signez pour garantir à chaque personne en situation de handicap un accompagnement digne !

Face à la pénurie des professionnels, les personnes en situation de handicap et leurs familles sont aujourd’hui les victimes collatérales d’un secteur social et médico-social abandonné. #OubliésDuSégurDeLaSanté Depuis de nombreuses années, les professionnels sociaux et médico-sociaux accompagnent sans relâche, jours et nuits, les personnes vulnérables, en situation de handicap à domicile ou en établissement. Ils sont à leur écoute, veillent à leur bien-être, à leur participation à la société, à leur santé, à leur sécurité, répondent de leur mieux à leurs besoins et à leurs attentes. Pourtant, ces professionnels travaillent le plus souvent dans l’ombre. Et ce sentiment d’invisibilité ne fait que se renforcer depuis le début de la crise sanitaire. Le secteur social et médico-social connait, aujourd’hui en France, une crise profonde, sans pareille, représentant un grave danger pour l’accompagnement des personnes vulnérables et en situation de handicap. Oubliés du Ségur de la Santé en 2020 et en 2021, tous les professionnels du social et du médico-social doivent aujourd’hui être considérés au même titre que les autres acteurs du soin. Epuisés, ignorés, non reconnus à la hauteur de leurs compétences et de leurs engagements, les professionnels sociaux et médico-sociaux sont de plus en plus nombreux à quitter le secteur du handicap. Dans tous les territoires, des associations du Collectif Handicaps sont confrontées à ce problème de recrutement de professionnels qualifiés et d’accompagnement dégradé. Par exemple, au sein du réseau Unapei, on dénombre : 120 postes vacants en Haute-Savoie, 116 en Loire-Atlantique, 53 en Savoie, 70 dans le Rhône, 50 dans les Hauts-de-Seine… Même les agences d’intérims n’arrivent plus à combler le manque de professionnels. Ces pénuries ont d’ores et déjà des effets délétères sur l’accompagnement quotidien des personnes en situation de handicap, que ce soit en établissement ou au domicile. Dans certains départements, nos associations manquent tellement de professionnels qu’elles ne peuvent plus assurer les actes les plus quotidiens et essentiels à la vie : toilettes ou aide aux repas. Les familles ont dû prendre le relai parce que certaines associations ont été contraintes d’interrompre des services... Un véritable retour en arrière de 60 ans pour notre pays.   Or, rappelons que les professionnels sociaux et médico-sociaux formés et qualifiés sont la clé de voûte indispensable à la France pour garantir une réelle effectivité des droits des personnes en situation de handicap : le droit à l’éducation, le droit de se nourrir, de se loger, d’avoir accès à un emploi, aux soins et de participer pleinement à la vie en société… Aussi, nous, personnes en situation de handicap, parents, sœurs, frères, amis, aidants, Français, nous demandons que l’engagement de ces professionnels soit ENFIN reconnu au même titre que les autres acteurs du soin. Monsieur le président de la République, nous demandons une application stricte des mesures d’augmentation et de revalorisation salariales du Ségur de la Santé pour TOUS les professionnels sociaux et médico-sociaux du handicap, sans inégalité de traitement, avec notamment la revalorisation nette mensuelle de 183 euros ainsi qu’une reconnaissance réelle de de ces métiers et de leurs expertises. Défendre ces métiers essentiels, c'est permettre à tous, personnes accompagnées, familles et professionnels, de vivre sans attendre ! Nous dénonçons cette situation alarmante qui met en péril la qualité de l’accompagnement, et donc viole les droits fondamentaux des personnes en situation de handicap. Elles sont, ainsi que leurs familles, victimes collatérales d’une politique qui les ignore. Partageons, relayons et diffusons ce message en masse autour de nous. Agissons ensemble pour que tous, personnes en situation de handicap, familles et professionnels, puissent #VivreSansAttendre ! Luc Gateau, président de l'Unapei Arnaud de Broca, président du Collectif Handicaps   

Unapei
91,315 supporters
Petitioning Olivier Véran, Haute Autoritéé de Santé, Direction de la Sécurité Sociale, Assemblée nationale, Sénat

Faisons entrer l'endométriose dans la liste des ALD30 !

�ENDOmind France appelle à la mobilisation citoyenne et demande l'intégration de l'endométriose dans la liste ALD30 : des millions de femmes sont invisibilisées par une prise en charge inégale et une non-reconnaissance de leur maladie !� Observée pour la 1ère fois en 1860, c'est seulement en 2020 qu'elle est intégrée dans le programme des étudiants en médecine... ❗Les malades d’aujourd’hui refusent d’attendre 160 ans de plus pour être entendues et pour que les impacts de cette pathologie qui touche autant de femmes soient pris en considération ! ❗L'endométriose est une maladie chronique, évolutive, invisible et souvent handicapante*, qui touche 1 à 2 femmes sur 10. Ce sont 80% des personnes concernées qui ressentent une limitation dans leurs tâches quotidiennes, et 40% d'entre elles qui rencontrent des problèmes de fertilité. Aux yeux de la loi*,"Constitue un handicap, […], toute limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société ".  Malgré son caractère chronique décrit sur tous les sites de référence (HAS, Ameli ou encore Ministère des Solidarités et de la Santé), malgré le nombre très important de personnes concernées et l’ensemble des conséquences sur leur vie, de couple, familiale, sociale ou professionnelle ou leurs finances, l'endométriose n’est pas reconnue comme une maladie invalidante en France et ne fait pas partie de la liste des Affections de Longue Durée ALD30, qui ouvre droit notamment à une meilleure prise en charge financière des soins et des arrêts maladies, ou à des possibilités d'aménagements au travail.  Depuis plusieurs mois, l'association mène une campagne soutenue par plus de 300 parlementaires.Les initiatives, démarches, et courriers de nombreux sénateurs et députés mobilisés et convaincus du bienfondé de cette demande, ont permis une première réaction encourageante du ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Veran en juillet 2020.Si à ce jour l'association ENDOmind France n'a jamais reçu de réponse directe du ministre, ce dernier a récemment apporté une réponse à un des députés mobilisés à ses côtés, laissant entendre que cette demande n'était pas justifiée car : ➡"La présentation, la gravité et l'évolution de l'endométriose sont très  variables", ➡"L'endométriose ne répond généralement pas non plus aux critères d'une Affection Hors Liste ALD31", ➡"Les dépenses de santé liées à cette affection sont déjà largement couvertes" Les arguments avancés par le ministre provoquent une grande déception pour les malades qui se sentent une nouvelle fois traitées de façon injuste au regard de la réalité qu’elles vivent depuis de trop nombreuses années. Rappelons que :  �Il est impossible de corréler la localisation, l’étendue, la quantité des lésions ou nodules avec les douleurs et le handicap engendrés par l'endométriose ! � Il est impossible de prévoir l’évolution de la maladie, mais il est certain qu’évolution il y a, l’endométriose ne survient pas subitement à un stade profond ou handicapant ! �C’est un fait, il existe une discrimination géographique : certains départements / régions, sont plus enclins à accepter une ALD 31 dont les critères ne sont pas harmonisés et restent subjectifs ! Est-il normal que les malades soient victimes d’une inégalité de chances, et que celles qui ont des formes évolutives et/ou invalidantes soient ignorées en raison d’une incapacité du corps médical à comprendre cette maladie, ses retentissements ou son évolution ? En l'absence de traitement définitif,� INSCRIRE L'ENDOMETRIOSE DANS LES ALD SERAIT UNE VERITABLE RECONNAISSANCE INSTITUTIONNELLE QUI PERMETTRAIT DE DONNER A LA MALADIE LA VISIBILITE NECESSAIRE POUR RESOUDRE PEU A PEU LES FREINS DECOULANTS DE LA MECONNAISSANCE DU PERSONNEL SOIGNANT MAIS AUSSI DE LA SOCIETE DANS SON ENSEMBLE !� ENDOmind France, Association d'actions contre l'endométriose agréée par le ministère  

Association ENDOMIND
89,609 supporters
Petitioning Emmanuel Macron, Olivier Véran, Brigitte Bourguignon

Marre des abus : plus de transparence sur le fonctionnement des Ehpad

Nous nous appelons Sylvie et Thierry et à travers cette pétition nous souhaitons alerter sur les conditions de vie, les pratiques abusives ainsi que les tarifs appliqués des EHPAD qui manquent de transparence. Notre père a té admis dans un EHPAD, sans concertation avec les descendants et depuis, c’était le flou total sur les soins qui lui sont apportés, son état de santé ou encore les correspondances entre les prix pratiqués et les services réellement inclus et administrés. Pour une famille, cette situation est très difficile. Il a fini sa vie dans cet EHPAD. Nous avions contacté par écrit à plusieurs reprises l’EHPAD mais il ne nous a jamais répondu et nous n’avons eu aucune information sur son état de santé, sa perte d’autonomie ainsi que les détails des différentes prestations facturées pour sa prise en charge. Nous voulions simplement avoir connaissance de ce que vivait notre père et des soins qui lui étaient apportés. Mais le manque de transparence semble régner et il est extrêmement difficile d’obtenir des réponses.  Aujourd'hui, il apparaît que la situation que nous vivions avec notre père est loin d’être isolée. Le 26 janvier sortait le livre enquête de Victor Castanet “Les Fossoyeurs” dans lequel le journaliste dénonçait les conditions et les maltraitances que vivent de nombreux patients dans certains EHPAD. Ce livre a fait l’effet d’une bombe. Le fonctionnement des EHPAD y apparaît comme très obscur et est caractérisé de plus en plus comme « inhumain », une pompe à fric (faire du profit sur leur dos) et plonge les seniors toujours plus dans l’isolement et plus particulièrement lorsqu’enfants et parents sont éloignés géographiquement. Il y a urgence à agir aujourd'hui. Bien que notre père soit décédé en EHPAD, nous continuons notre combat pour qu’aucune autre famille française ne soit confrontée à ce que nous avons vécu avec un EHPAD public. Il est primordial que le Gouvernement prenne ce problème en main car la question du bien vieillir nous concerne toutes et tous. Aussi, j’interpelle aujourd'hui le gouvernement pour que : des contrôles soient menés dans ces établissements, afin de garantir le « bien vieillir » avec dignité. « Que fait-on réellement payer aux personnes âgées en EHPAD et comment sont justifiés ces tarifs ? »; que ces établissements aient à justifier et détailler à leurs résidents et à leurs proches, les frais de dépendance, les frais d’hébergement et les soins prodigués; Des contrôles sur les résidents placés sous  tutelles (abus tutélaires). La mise sous tutelle abusive puisque certaines personnes sont placées sous tutelle alors que leur état de santé ne le justifie pas. Théoriquement la tutelle est pourtant destinée à protéger les intérêts d’une personne dite "vulnérable", c’est-à-dire dont les facultés mentales ou corporelles sont altérées et qui ne peut gérer seule ses biens.  Si pour vous aussi la question du bien vieillir et de la transparence des EHPAD est importante rejoignez nous dans cette mobilisation en signant et en partageant cette pétition dès aujourd'hui.  star_border Our names are Sylvie and Thierry and through this petition we wish to alert on the living conditions, the abusive practices as well as the prices applied by the EHPAD which lack transparency. Our father was admitted to an EHPAD, without consultation with the descendants and since then, there has been total vagueness about the care provided to him, his state of health or even the correspondence between the prices charged and the services actually included and administered. For a family, this situation is very difficult. He ended his life in this EHPAD. We had contacted the EHPAD in writing several times but they never answered us and we had no information on their state of health, their loss of autonomy as well as the details of the various services billed for their care. . We just wanted to know what our father was going through and the care that was given to him. But the lack of transparency seems to reign and it is extremely difficult to obtain answers. Today, it appears that the situation we were experiencing with our father is far from isolated. On January 26, Victor Castanet's investigative book "Les Fossoyeurs" was released in which the journalist denounced the conditions and abuse experienced by many patients in certain EHPADs. This book was like a bomb. The functioning of EHPADs appears there as very obscure and is characterized more and more as "inhuman", a money pump (making profit on their backs) and plunges seniors ever more into isolation and more particularly when children and parents are geographically distant. It is urgent to act today. Although our father died in an EHPAD, we titio It is urgent to act today. Although our father died in an EHPAD, we continue our fight so that no other French family is confronted with what we experienced with a public EHPAD. It is essential that the Government take this problem in hand because the question of aging well concerns us all. Also, today I am calling on the government to: controls are carried out in these establishments, in order to guarantee “aging well” with dignity. “What do we really charge elderly people in nursing homes and how are these prices justified? »; that these establishments have to justify and detail to their residents and their relatives, the dependency costs, the accommodation costs and the care provided. Controls of residents under guardianship (guardianship abuse). f for you too the question of aging well and the transparency of nursing homes is important, join us in this mobilization by signing and sharing this petition today. 

thierry REMOISSENET/CANALES
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Des tests de Covid-19 pour tous !

Vous nous avez fait part de vos attentes concernant l’accès aux tests de dépistage du coronavirus. Ce virus invisible, et pourtant très contagieux, bouleverse nos vies. Je comprends votre inquiétude à l’idée que vous, vos proches, ou vos collègues puissiez le contracter et le transmettre sans même en être conscients. Je comprends ce besoin de savoir, de manière rapide et fiable, si vous êtes contaminés. Je tiens donc à vous exposer la manière dont nous avons utilisé, et surtout dont nous allons utiliser les tests, avec toujours le même objectif : empêcher la circulation du virus. Les tests ne guérissent pas : testés ou non, tous les patients atteints du covid-19 sont pris en charge dans les mêmes conditions, sur la base de leurs symptômes. Les tests sont un outil de prévention, permettant de briser les chaines de transmission du virus. Chaque cas confirmé par test nous permet d’identifier et de dépister toutes les personnes ayant été en contact avec la personne malade, afin qu’elles ne transmettent pas le virus à leur tour. Nous avons appliqué cette méthode dès la fin du mois de janvier, en testant tous les premiers cas et leurs entourages. Cela nous a permis de retarder l’épidémie sur notre territoire. L’épidémie s’étant accélérée, notre politique de dépistage s’est adaptée. Durant le confinement, nos contacts sont très limités. Nous testons les personnes susceptibles de propager rapidement le virus : les patients hospitalisés, les professionnels de santé symptomatiques, ou les résidents et personnels des établissements accueillant des publics fragiles tels que les EHPAD. A partir du 11 mai, le déconfinement commencera. Il s’agira de reprendre progressivement le cours de nos vies, sans faire reprendre brutalement la circulation du virus. Nous réaliserons pour cela un dépistage massif, de l’ordre de 700 000 tests par semaine. Dès les premiers symptômes, vous serez invités à vous faire tester. En cas de test positif, vous devrez vous isoler, et l’ensemble des personnes que vous pourriez avoir contaminées seront contactées et testées à leur tour. Pour chaque test positif, nous recommencerons. En somme, chaque test positif amènera des dizaines d’autres tests, et protègera des centaines d’autres personnes. Ce n’est qu’ainsi que nous briserons les chaînes de contamination. Rester chez soi était le premier acte citoyen du confinement. Se faire dépister et s’isoler seront ceux du déconfinement. Ce dépistage massif nécessitera des moyens colossaux. Ils sont prêts. Nous avons mobilisé tous les laboratoires d’analyse du territoire, qu’ils soient hospitaliers, publics, privés, vétérinaires, policiers ou gendarmes. Ils disposeront des équipements, du soutien et du personnel nécessaire, nous nous en assurons chaque jour. Avec une ordonnance, vous pourrez y effectuer un test dont le résultat sera disponible en quelques heures. Concrètement, vous n’aurez rien à payer : l’assurance maladie remboursera chacun des tests à 100%. Enrayer cette épidémie n’a pas de prix. Du gouvernement au technicien de laboratoire, chacun est mobilisé pour vous permettre d’être testés dès les premiers symptômes. Vous pouvez compter sur notre engagement, et nous savons pouvoir compter sur votre civisme. Aujourd’hui plus que jamais, les petits gestes font les grandes protections.

3 years ago