Decision Maker

Didier Guillaume

  • Ancien Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation

Does Didier Guillaume have the power to decide or influence something you want to change? Start a petition to this decision maker.Start a petition
Petitioning Bruno Le Maire, Emmanuel Macron, Muriel Pénicaud, Gérald Darmanin, Didier Guillaume

Sauvons nos restaurants et producteurs !

Amis commerçants, confrères, éleveurs, producteurs, tout acteur, Comme vous tous, samedi à minuit, j’ai dû fermer mon restaurant, L’Ami Jean, à Paris. Et je ne sais pas pour combien de temps. Ce temps-là, utilisons-le pour organiser et garantir la réouverture de nos établissements. La seule issue à cette crise économique, qui s’annonce fatale pour nombre d’entre nous : pousser le gouvernement à décréter l’état de catastrophe naturelle sanitaire afin que les assurances nous indemnisent. Chefs, bartenders, mixologues, nous avons chacun appelé nos assureurs et chacun a reçu la même réponse. Mais rien n’est perdu car rien n’est écrit. La situation est inédite et nous nous devons de nous battre pour sauver nos établissements ! Personne ne le fera à notre place et les assureurs, qui sont fédérés, se sont, eux, déjà organisés pour échapper à la crise. Emmanuel Macron l’a martelé : « C’est une crise sans précédent ! ». Alors, écrivons chacun et ensemble, indépendants, petites et moyennes entreprises, les lignes qui nous font défaut aujourd’hui ! Que l’individualité de chacun – via vos contacts médias et les réseaux sociaux – se mette au service du collectif. J’en appelle à une mobilisation autant historique qu’apolitique car il ne s’agit pas de prêcher pour notre paroisse. L’état de catastrophe naturelle sanitaire est notre seule issue. Emmanuel Macron a annoncé, lundi soir, une aide de 300 milliards d’euros pour garantir les prêts bancaires et mardi matin, Bruno Le Maire a promis 45 milliards d’euros pour les entreprises. Suis-je le seul à me demander pourquoi il n’a été mentionné à aucun moment le rôle des assurances ? Serait-il juste que les assurances (220 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2018) et leurs réassurances (234 milliards d’euros de CA en 2018) soient les seules à s’en sortir indemnes ? Sans à aucun moment nier « la guerre sanitaire » à laquelle nous sommes confrontés, nous nous devons de penser à demain, à nos entreprises, nos salariés et la base de notre métier : artisans, éleveurs, producteurs… Décréter l’état de catastrophe naturelle sanitaire est capital pour l’ensemble des professions. Amis, confrères, je vous appelle au combat pour la survie de nos métiers. Rejoignez le collectif ! J'invite chacun de vous à signer cette tribune avec moi. Montrons un front uni pour que le gouvernement nous entende !  Stéphane Jégo

Stéphane JÉGO
145,006 supporters
Petitioning Loïc Dombreval, Didier Guillaume

❌ CONDAMNER PLUS SÉVÈREMENT LES ACTES DE CRUAUTÉ ENVERS LES ANIMAUX ❌

La Ligue Des Animaux est une équipe de bénévoles qui existe depuis 2015 dont le Fondateur est Enzo Ridel. Notre but est d'informer les internautes via les réseaux sociaux sur les diverses formes de maltraitance que subissent les animaux de nos jours.  Notre page Facebook ----> https://www.facebook.com/LaLigueDesAnimaux/ CONDAMNER PLUS SÉVÈREMENT LA CRUAUTÉ ENVERS LES ANIMAUX Si vous êtes aussi motivés et déterminés que nous à voir alourdir et enfin appliquer les sanctions pénales envers les cruautés commises contre les animaux dans le but de les faire cesser, nous vous invitons à signer et partager autour de vous cette pétition que nous adresserons à Monsieur le Député Loïc Dombreval, Président du groupe d’étude «Condition animale» à l’Assemblée Nationale. Les animaux souffrent, nous en sommes les témoins sur les réseaux sociaux où, chaque jour, nous assistons à un déferlement d’actes cruels envers eux, ainsi que dans notre quotidien. Des animaux laissés sans soins, sans eau ni nourriture, abandonnés, traînés derrière une voiture ou encore tués à coup de marteau ! La cruauté jusqu’à la mort... Selon l’article 521-1 du Code Pénal, les sévices graves et les actes de cruauté envers les animaux sont sanctionnés jusqu’à 2 ans de prison avec sursis et 30 000 € d’amende. Trouvez-vous cela réellement suffisant ? Loin d’être dissuasives, ces sanctions restent dérisoires voire inexistantes dans leurs applications réelles ! Rappelons que le Code Civil ne considère plus l’animal comme “un bien, un meuble” mais comme “un être vivant sensible”. Alors comment est-il possible qu’un acte de barbarie envers un animal soit, à ce jour, moins sanctionné que le vol d’un objet ? (3 ans de prison et 45 000 € d’amende selon l’article 311-3 du Code Pénal). Chaque jour, un nombre incroyable de cas de maltraitances et de négligences sont relayés, provoquant un éveil des consciences qui justifie aujourd’hui de condamner plus lourdement la cruauté envers les animaux en faisant évoluer le Code Pénal. En ce sens, nous réclamons : ->  La suppression de l'article 521-1 du code pénal -> 5 ans de prison ferme -> interdiction totale de détenir un animal pour les personnes déjà condamnées pour ce genre de crime. -> mise en place d’un fichier national répertoriant les délinquants de crimes envers les animaux avec un réel suivi et accesible par les associations de protection animale.--> Que les juges soient formés à la connaissance des besoins physiologiques, biologiques et psychologiques des animaux pour savoir évaluer les maltraitances subies et juger de manière compétente et ciblée les actes de cruauté envers les animaux. Nous demandons également la création d'un Ministère dédié à la protection animale, entièrement indépendant du Ministère de l'Agriculture et de celui de l’Écologie afin de faire évoluer la question animale en toute autonomie. Nous vous remercions Monsieur le Député de toute l'attention et du soutien que vous apportez à nos demandes, ainsi que pour les actions que vous ne manquerez pas de mener car nous vous savons vous aussi préoccupé et sensible face au sort des animaux qui sont trop souvent victimes de la cruauté et du mépris des hommes. Nous vous prions de recevoir, Monsieur le Député, l'assurance de nos respectueuses salutations. Agir ensemble pour eux. La Ligue Des Animaux

La Ligue DES ANIMAUX
132,821 supporters
Petitioning Didier Guillaume, Alain Lheveder

Soutenons le paysan Benoît Biteau ! Et demandons le règlement des primes aux agriculteurs bio !

Attention, si vous voulez aider, cela ne se fait pas sur la plateforme Change, sinon, cela va intégralement à la plateforme, sans aucun retour vers les bénéficiaires ! Cagnotte en cours https://www.leetchi.com/c/solidarite-a-benoit-biteau-earl-val-de-seudre-identiterre-ferme-bio-ecocitoyenne-et-conservatoire Texte d'origine de la pétition ci-dessous. Pour les actualités, consultez les mises à jour. ______________________________________________ Benoît Biteau est désabusé. Alors que sa Ferme Val de Seudre Identi'Terre en Charente-Maritime est un modèle en matière d'agriculture durable et biologique, d'applications agronomiques, d'agroforesterie, de circuits courts et de conservation de races locales - elle a reçu le Trophée National de l'Agriculture Durable en 2009 - les services de l'État refusent de lui verser 5 années d'aides à l'agriculture biologique dont il a cruellement besoin pour pérenniser et développer ses pratiques vertueuses, responsables, citoyennes et créatrices d'emplois. Pendant que les maïsiculteurs continuent de percevoir leurs importantes aides jusqu'au dernier centime et avant le 31 décembre de chaque année... et que les huîtres de Marennes Oléron, moules, coquilles Saint Jacques, autres coquillages et poissons continuent d'agoniser dans la mer souillée par ces irresponsables assistés des aides publiques aux pratiques destructrices des écosystèmes et de la ressource en eau, on refuse à Benoît Biteau ses aides au soutien à l'agriculture biologique au motif qu'il........... n'irrigue plus ! Incroyable, non ? Pourquoi les orientations de la nouvelle Politique Agricole Commune (PAC), les aides des agences de l'eau, continuent-elles de soutenir les utilisateurs d'engrais de synthèse, de pesticides et de toxiques dénommés pudiquement "phytosanitaires" pourtant présentés par Mr Le Foll récemment comme de "véritables bombes à retardement"?  Monsieur Le FOLL, Ministre de l'Agriculture, vous avez manqué une chance HISTORIQUE de changer vraiment les choses, d'inverser la tendance lors de la récente réforme de la PAC que VOUS avez conduite ! Et pendant que ceux qui dévastent, à grand coup d'argent public, les équilibres, les ressources et l'eau en particulier, la biodiversité, le climat, notre santé, l'espoir de souveraineté alimentaire et l'avenir des générations futures, vous continuez de contester les aides pour les haies, les arbres, les zones humides, les zones de biodiversité, les aides à l'agriculture biologique naturelle... Désespérant ! À travers cette pétition, nous voulons apporter notre soutien à Benoît Biteau et à tous les autres paysans bios victimes de cette politique incohérente dans les faits comme dans les actes. Le 12 février 2015 est attendue la décision du Tribunal Administratif de Poitiers concernant l'attribution d'une partie des aides à Benoît Biteau. Il nous reste donc quelques jours pour signer et diffuser massivement cet appel et obtenir une décision favorable à l'action bénéfique de ce paysan, dans l'intérêt supérieur des générations futures, et faire jurisprudence. >>>Verdict définitif du Tribunal Administratif de Poitiers le 12 février 2015 : rejeté ! Voici le lien vers le site de la ferme de Benoît Val de Seudre Identi'Terre, gazette et webtv http://www.val-de-seudre-identi-terre.com  Lien vers schéma des aides de la PAC de la ferme, histoire d'une conversion : http://www.val-de-seudre-identi-terre.com/schema-des-aides-pac-de-la-ferme-histoire-d-une-conversion-20072015 Médiatisation, explications plus complètes avec près de 64 217.18 €uros d'aides non versées, historique de 2007 à 2015 : http://www.val-de-seudre-identi-terre.com/soutien-a-benoit-biteau-mediatisation-petition-changeorg-presse-locale-et-quelques-explications-complémentaires PS et information : nous lisons dans vos commentaires souvent la confusion entre agriculture biologique (certifiée, contrôlée, naturelle) et agriculture "raisonnée". "Agriculture Raisonnée" et FARRE (Forum pour une Agriculture Raisonnée et Respectueuse de l'Environnement), ne sont que le fruit d'une propagande organisée par la FNSEA et les firmes chimiques de l'UIPP (Union des Industries de la Protection des Plantes) pour mettre du beau vocabulaire autour d'une imposture n'ayant pour ambition que le marketing de l'agriculture chimique ! En effet, son cahier des charges n'a pas plus d'ambition que les règles "d'écoconditionnalités" de la PAC pour percevoir les aides à l'agriculture. Ce qui signifie que tout agriculteur recevant des aides PAC est en "agriculture raisonnée", c'est à dire absolument tous les productivistes chimiques ! On peut dire qu'ils ont réussi leur propagande pour "vendre" l'inacceptable plutôt que de se mobiliser vers une modèle agricole raisonnable, responsable, citoyen et humaniste ! Même la justice a condamné cette imposture ! http://www.eau-et-rivieres.asso.fr/media/user/20041216_FARRE.pdf Un article de Marie Astier (Reporterre) de février 2017 L’invraisemblable retard des aides aux agriculteurs bioDepuis plus de deux ans, les fermiers engagés dans l’agriculture biologique attendent les aides qui leur sont dues. Nombreux sont ceux au bord de la faillite. Alors que le Salon de l’agriculture s’ouvre ce samedi 25 février, les agriculteurs s’interrogent sur la volonté du gouvernement de les soutenir et de promouvoir leur mode de production. https://reporterre.net/L-invraisemblable-retard-des-aides-aux-agriculteurs-bio Auteur et initiateur de la pétition : Gérard Dupin, société civile, et  Président cofondateur de l'association Ruralimages, reconnue d'intérêt général www.ruralimages.fr cogérée avec Stéphanie Muzard, société civile, artiste auteur plasticienne et réalisatrice de films documentaires humanistes et engagés agriculturels, (l'Atelier des Muses www.latelierdesmuses.com) cofondatrice et bénévole de l'association Ruralimages, webmaster du blog de la ferme paysanne.

Gerard DUPIN
103,424 supporters
Petitioning Didier Guillaume

Pas de tomate bio en hiver : non aux serres chauffées !

Non à l’industrialisation de la Bio ! Monsieur le Ministre de l’Agriculture, il faut interdire la production de fruits et légumes bio hors saison ! Le marché bio se développe et les appétits aussi. Avec l’arrivée de nouveaux acteurs économiques poussant des pratiques incompatibles avec le cahier des charges bio, c’est tout le système qui est menacé ! Halte aux rendements à tout prix, oui aux saisons ! Depuis quelques mois, on voit se développer des projets de conversion biologique de serres chauffées pour la production de fruits et légumes hors saison (Pays de la Loire, Bretagne…). Ces projets en gestation vont permettre de retrouver sur les étals de la tomate bio française en plein mois de mars. Une aberration gustative, agronomique et environnementale ! Le chauffage des serres est incompatible avec le label bio Le cahier des charges bio impose le « respect des cycles naturels » et une « utilisation responsable de l’énergie ». Chauffer sa serre pour produire des tomates ou des concombres en plein hiver ne peut donc pas être compatible avec l’agriculture biologique. Selon les régions et les années, la saison de la tomate peut aller de mai/juin à octobre/novembre, mais certainement pas en hiver. Pour rentabiliser leurs serres chauffées, les industriels se spécialisent sur un ou deux légumes à forte valeur ajoutée. En diminuant la diversité des cultures, ils appauvrissent leurs sols et ainsi contreviennent encore aux principes de l’agriculture biologique. Mobilisons-nous pour lutter contre l’industrialisation de la bio ! Nous avons jusqu’au 11 juillet 2019, prochaine date du Comité national de l’agriculture biologique, pour convaincre le Ministre de l’Agriculture de lutter contre l’industrialisation de la bio en limitant le recours au chauffage des serres à la production de plants et au maintien hors gel, garantissant ainsi que la production reste de saison. Ne discréditons pas le label bio : soutenons les paysannes et paysans bio qui respectent les saisons, pas de serres chauffées pour produire à contre-saison ! Signez la pétition pour demander au Ministre de l’Agriculture de soutenir un encadrement strict du chauffage des serres en bio afin d’interdire la production de fruits et légumes bio hors saison.   Les premiers signataires : Iñaki AIZPITARTE, Chef cuisinier Le Chateaubriand (1 étoile, Paris) ; Gaétan BERTHELOT, Chef cuisinier du traiteur bio Ressources (Paris) ; Tugdual de BETHUNE, chef cuisinier, Holen (Rennes), Nicolas BRIAND, Chef cuisinier, Le Château d'Apigné  (Le Rheu) ; Cyril BORDRIER , Chef cuisinier Le verre volé (Paris) ; Clément CHARLOT, Chef cuisinier Fragments (Caen) ; Emmanuel CHARTRON, Chef de la Cuisine centrale de la Ville de Saint Tropez ; Ollie CLARKE, Chef cuisinier La Régalade (Paris) ; CLÉA, autrice culinaire et bloggeuse (Cléa Cuisine) ; Richard CORNET, Chef cuisinier L'Aménité (Nantes) ; Pascal DAUPHIN, Chef de cuisine Lycée Camille Pissarro (Pontoise) ; Sabine DELMAS, Chef de cuisine du Lycée Marie Curie (Versailles) ; Christophe DEMANGEL, Chef de Cuisine au Collège Jules Grévy (Poligny), membre des Cuisiniers de la République Française ; Xavier DENAMUR, restaurateur, propriétaire de cinq établissements dans le quartier du Marais à Paris ; Nicolas FERRÉ, Chef cuisinier Le Quai des Saveurs (Les Sables d'Olonne) ; Marie-Claire FREDERIC, journaliste et auteur culinaire ; Olivia GAUTIER directrice du restaurant Les Orangeries (Lussac-Les-Châteaux) ; Rémi GIRAUD, Chef cuisinier du restaurant Les hauts de Loire (2 étoiles, Onzain) ; Bernard GISQUET, Chef cuisinier de Lou Cantoum (Cestayrols) ; Arnaud GUILLOUX, chef cuisinier à Coquille (Rennes), Adeline GRATTARD, Cheffe cuisinière Yam'tcha (1 étoile, Paris) ; Sylvain GUILLEMOT, Chef cuisinier L'Auberge du Pont d'Acigné (1 étoile, Noyal-sur-Vilaine) ; Lionel HÉNAFF, Chef cuisinier L’Allium (1 étoile, Quimper) ; Thomas HUBERT, Chef cuisinier Olive & Artichaut (Nice), Fumio KUDAKA, Chef cuisinier La Table de Breizh Café (1 étoile) à Cancale ; Kevin LEPINE, Chef cuisinier de Texture (Saint Malo) ; Céline LE GALL, Cheffe cuisinière, et Yann ANDRÉ, gérant, La Renverse (Saint-Froult) ; Julien LEMARIE, chef cuisinier à l'IMA de Rennes, Ewen LE MOIGNE, Chef cuisinier de Saturne (1 étoile, Paris) ; Thierry LEBIGRE, Chef cuisinier du Centre hospitalier d'Embrun ; Flore MADELPUECH, artisane cuisinière, Cheffe de La table de Flore (Rouen) ; Jacques MARCON, chef étoilé (Saint Bonnet le Froid), Bruno NOURRY, responsable de la cuisine municipale de St Hilaire de Riez ; François PASTEAU, Chef cuisinier de L'Epi Dupin (Paris), Morgan PERRIGAUD, Chef cuisinier Les Prémices (Bourron-Marlotte) ; Laurent PORÉE, cuisinier, créateur de La cantine de Babel (Le Mesnil-Rouxelin) ; Olivier ROELLINGER, Chef étoilé, Maisons de Bricourt (Cancale), Hugo ROELLINGER, chef (2 étoiles) Le Château Richeux  (Saint Méloir des Ondes), David ROYER, Chef cuisinier étoilé du Château de sable (Porspoder) et du Roc’h Ar Mor (Plouescat) ; Sibylle SELLAM et Grégoire FOUCHERS, chefs cuisiniers du Bercail (Rennes), Ndeye SOUMARÉ, Cheffe de cuisine de la Cité scolaire Chaptal (Paris) ; Didier Thévenet, directeur et cuisinier de la cuisine centrale de Lons-le-Saunier ; Jonathan THULLIEZ, Chef de cuisine du restaurant Le Bichat (Paris) ; David VACQUÉ, Chef cuisinier du Bistro gourmand (Nice) ; Caroline VRIGNAUX, Cheffe de cuisine R&D chez FoodChéri ; 4 diététiciennes et 13 chef.fes membres du Collectif les Pieds dans le Plat (restauration collective bio et locale) ; Gilles DAVEAU, formateur, auteur et conférencier, spécialiste de cuisine biologique et alternative

Fédération Nationale d'Agriculture Biologique, Réseau Action Climat, Fondation Nicolas Hulot, Greenpeace
86,410 supporters
Petitioning Nicole Belloubet, Cyrille Maillet, Didier Guillaume

JUSTICE POUR JOE ET DAX: pour une peine exemplaire !

Le 13 Février 2018, 3 chiens étaient déposés comme de vulgaires encombrants par un véhicule dans les bois de BARBEREY/ PAYNS (dept.10) Vous en souvenez-vous ? Si vous n'avez pas vu ces images d'horreur, très certainement pas... Ce que "l'humain" peut faire de pire...  AUDIENCE LE 24 JUIN 2019 À 14H, CHAMBRE CORRECTIONNELLE, TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE TROYES L'enquête a mis en évidence que les chiens avaient subi d'atroces souffrances et étaient morts dans l'appartement du propriétaire suite à des sévices graves... L'immatriculation du véhicule ainsi que le tatouage d'une de ses victimes ont permis de retrouver le propriétaire, fils de notable et... Agent de Sécurité Cynophile... Titulaire d'une carte professionnelle délivrée par le CNAPS. Un professionnel du chien, formé en binôme, censé respecter un code de déontologie qui lui interdit d'infliger de mauvais traitements envers son animal, l'obligeant à le maintenir dans un état de soin et de propreté correct. En effet, être Agent Cynophile, c'est assurer la sécurité des personnes et des biens en portant une tenue identifiée avec le nom de son entreprise. Être Agent Cynophile, c'est mettre en avant les qualités de son binôme canin au service du plus grand nombre. Être Agent Cynophile c'est respecter les lois, une éthique, son binôme, qu'il ne considère pas comme un vulgaire outil mais comme un vrai partenaire. Être Agent Cynophile, c'est aussi un métier ingrat, où vous travaillez le plus souvent seul avec votre binôme, à des postes sans confort, ni pour le chien, ni pour vous et éloigné de votre famille.  Être Agent Cynophile c'est s'interdire, même en dehors de l'exercice de sa profession, tout acte, manœuvre ou comportement de nature à déconsidérer celle-ci. En toute circonstance, c'est s'interdire d'agir contrairement à la probité, à l'honneur et à la dignité. C'est faire preuve de discernement et d'humanité.  Ces actes, d'une barbarie et d'une violence folle, ne peuvent pas être sanctionnés à la légère. Ils jettent le discrédit sur l'ensemble d'une profession dont les acteurs sont responsables, respectueux et qui condamnent fermement de tels agissements. La peine doit être exemplaire malgré toutes les excuses trouvées, les remords exprimés et les larmes de crocodile versées... Les Agent Cynophiles sont soucieux et impliqués dans la protection animale. Ils sont cependant de plus en plus la cible d'associations et de refuges animaliers. Il est grand temps qu'ensemble, ils luttent contre les actes de ces usurpateurs de nos valeurs, ces violeurs qui utilisent notre profession pour assouvir leur vils instincts. Celui-ci doit plus jamais exercer une activité professionnelle en lien avec les animaux !

Daniel MADEIRA
53,919 supporters
Petitioning François de Rugy, Didier Guillaume, Agnès Buzyn

Stop aux kilomètres dans mon assiette ! #fourchettepower

Mesdames, messieurs les ministres, cuisinez-nous un avenir durable en favorisant l’alimentation locale : #fourchettepower Signez la pétition pour une alimentation plus locale. Toutes les 10000 signatures, nous irons frapper à la porte des différents ministères un petit plat sous le bras pour leur dire de faire un grand pas en avant. C’est pas du flan, on ira vraiment. Plus vous signez, plus on cuisine ET les plats ET les ministres. Et si l’on atteint les 50000 signatures, on organise carrément un banquet. Un petit plat pour l'homme, un grand pas pour l'humanité ! La terre vous l’aimez bleue ou bien cuite ? Trois fois par jour, nos menus ont un impact sur le climat, l’emploi, l’aménagement du territoire ou la santé. S’ils concentrent une grande partie des problèmes de notre société, ils peuvent aussi se transformer en solutions durables pour peu que l’on veuille bien prendre le mal par la racine. Se nourrir localement permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre, de redynamiser les territoires, de créer de l’emploi, de tisser des liens entre les villes et les campagnes, de manger plus sain... Tous ensemble, avec notre caddie et notre fourchette, nous pouvons dessiner une autre société plus écologique, plus juste, plus responsable et joyeuse, c’est ça le #fourchettepower ! Les petits plats des citoyens, c’est bien mais les grandes lois ça permet d’aller encore plus loin. Mesdames et messieurs les ministres, mâchez-nous le travail pour que nous ayons tous accès à une alimentation bonne pour notre assiette comme pour la planète. Toutes les 10000 signatures, nous préparerons une spécialité que nous apporterons aux différents ministères. Nous commencerons par celui de la transition écologique qui s’accorde si bien avec la transition alimentaire, puis nous poursuivrons avec tous les autres. En échange de ce petit plat concocté avec amour, nous demanderons à chaque ministère de faire un grand pas en avant pour une alimentation plus durable. Par exemple : - Mettre en place un étiquetage géographique clair sur les produits alimentaires pour connaître leur vraie provenance - Inciter les communes à prévoir de l’espace agricole dans leurs documents d’urbanisme pour le réserver aux agriculteurs en circuit court- Informer dans le programme Manger bouger des impacts de notre assiette sur la planète Moi, gourmand.e du monde : - Je voudrais que mes repas n’aient pas fait le tour de la planète- J’aimerais ne plus avaler n’importe quoi, encore moins des pesticides- J’aimerais manger plus de saison, même si ma grand-mère dit qu’il n’y en a plus- Je voudrais comprendre les étiquettes parce que je déteste mâcher les yeux fermés- Les emballages ne m’emballent pas, j’aimerais plus de vrac- Je souhaiterais végétaliser mes plats et mes plates-bandes- Je suis prêt-e à manger moins de viande et de la meilleure - Je voudrais savoir cuisiner, un peu beaucoup passionnémentEn somme, j’aimerais chauffer mes plats, pas le climat… Vous m’aidez mesdames et messieurs les ministres ? Ils signent la pétition et s’engagent eux aussi pour une alimentation plus durable et locale (ordre alphabétique) : Dominique Archambaud, coordonnatrice du Comité Biodiversité pour Slow Food en France, Linda Bedouet, Néo-paysanne «Fermes d’Avenir», Flore Berlingen, Directrice de Zéro Waste France, Julie Bernier, «Sortez Tout Vert», Le réseau d'entreprises responsables B Corp France, Lénie Cherino et Mathieu Duméry, «Professeur Feuillage», Marie Cochard, Auteure spécialisée dans l'écologie, Cyril Dion, Auteur et Réalisateur du film «Demain», Christophe Duhamel, Fondateur de «Marmiton», Stéphane Gigandet, Fondateur de «Open Food Facts», Louis-Xavier Leca, Fondateur de l’Association «La Cloche», Tristan Lecomte, Fondateur de «Pur Projet», Camille Labro, Journaliste culinaire «M le Monde», Elisabeth Laville, Fondatrice d’«Utopies», cabinet pionnier sur les questions d’alimentation durable et local, Alexandre Lumbroso, Co-auteur du film «Des Clics de conscience», Augustin Mille, Spécialiste agriculture «KissKissBankBank», Elisabeth Martin, Fondatrice de «Alimentation Générale», Fabrice Nicolino, Fondateur du mouvement «Nous voulons des coquelicots», Robin Placet, Fondateur de «Foodentropie», Leila Roelli, «En vert et contre tout», Maxime de Rostolan, Fondateur de «Fermes d’Avenir», Cemil Şanlı, «Cemilchosesatedire», Hélène de Vestele, Fondatrice d'edeni et co-organisatrice de la campagne #onestpret, Julien Vidal, «Ça commence par moi»

La Ruche qui dit Oui !
45,662 supporters
Petitioning Didier Guillaume

Démission de Didier Guillaume, ministre de l'Agriculture

Le 20 février dernier, L214 révéla dans une nouvelle enquête les conditions effroyables de mise à mort des veaux à l’abattoir Sobeval en Dordogne. Les discours officiels des services du ministère de l’Agriculture ont immédiatement tenté de semer le doute sur leur véracité. À entendre le ministre de l’Agriculture et les services vétérinaires, tout est sous contrôle : cet abattoir « est en règle » et « respecte le bien-être animal ». Dès le 19 février, le ministère de l’Agriculture est mis au courant de la sortie imminente de l'enquête. Des échanges de mails en interne trahissent l’inquiétude générée par ces images montrant des souffrances intenses pour les animaux et des carences claires des services de l’État. Contrairement à ce qui a été déclaré à la presse, des infractions (NC = non-conformités) « indéniables, voire majeures » sont listées par les fonctionnaires. La préfecture, les services vétérinaires, les services du ministère et le ministre lui-même ont donc sciemment fait le choix de mentir. Tout au long de la journée du 19 février, le ministère s'active et demande des éléments de langage pour répondre à la presse : « Il nous faut des edl [éléments de langage] béton pour ce soir... ».  DEMANDONS LA FERMETURE DE L'ABATTOIR ET LA DÉMISSION DE DIDIER GUILLAUMESuite au communiqué de presse de 214 dévoilant ces échanges compromettants, le ministère de l'Agriculture prépare… de nouveaux éléments de langage ! Dans un communiqué de presse publié ce mardi 25 février, le ministère reconnaît l'existence de ces e-mails mais persiste et signe : « le respect du bien-être animal est là ». Il annonce qu’« une enquête interne est en cours pour comprendre les motivations de ce mail ». Une inspection sera également menée dans l'abattoir pour de nouvelles vérifications. Mais quelle confiance les citoyens pourront-ils accorder à ce contrôle des services de l'État, alors qu'ils n'hésitent pas à mentir pour cacher leurs manquements ? Face à ces mensonges éhontés, exigeons la démission de Didier Guillaume en signant cette pétition ! *Plus de documents sur l'article original de L214

Baptiste BOHELAY
41,144 supporters
Petitioning Emmanuel Macron, Commission européenne, Didier Guillaume, European Parliament, Bruno Le Maire

Fait maison ou fait usine: au restaurant on veut savoir !

D’après les messages officiels qui défilent sous les réclames des industriels de l’agroalimentaire, manger des aliments ultra transformés trop gras, trop sucrés et trop salés ne serait pas bon pour la santé.  Fumer tue, manger opaque aussi.  Au supermarché, on achète en conscience, la longue liste des ingrédients ayant servi à la fabrication d’un produit alimentaire est obligatoirement indiquée sur l’emballage. Pourquoi ce légitime droit à l’information sur ce que l’on ingère devrait-il s’arrêter à l’entrée des restaurants? Qui n’a jamais eu le sentiment de se faire refiler un plat tout prêt sorti d’un sachet sous vide et juste réchauffé au micro ondes? Depuis 2015, un décret d’état permet de repérer les restaurants qui servent du « fait maison » grâce à un logo en forme de casserole surmontée d’un toit. C’est une bonne chose mais il ne concerne finalement que ceux qui jouent carte sur table. Les autres, les plus nombreux, n’affichent pas la couleur. Ils bénéficient du vide réglementaire pour fourguer à leurs clients des préparations culinaires que ces derniers auraient pu s’offrir dans les rayons plats préparés des supermarchés. Findus, Davigel, Bonduelle ou Marie mijotent partout pour vous. Mais souhaitez-vous réellement manger au restaurant comme à la maison quand vous ne cuisinez pas ? Payer cher pour manger du réchauffé d’usine laisse souvent un goût amère en travers de la gorge. Mais quand on apprend en lisant le rapport parlementaire  de septembre 2018 sur l’alimentation Industrielle que des scientifiques font une corrélation entre l’explosion ces quatre dernières décennies de maladies chroniques et de cancers liées à l’alimentation et l’invasion sur la même période de produits alimentaires complexes farcis d’additifs et autres nano particules, on a surtout l’impression de l’avoir dans l’os. Impression encore plus douloureuse voir révoltante quand on pense aux enfants dans les cantines que l’on gave à leur insu avec cette alimentation sans âme et pouvant provenir des quatre coins de la planète. Peu importe d’où vient la boîte ou le sachet, tant que ça ne coûte pas cher, pensent trop de représentants politiques qui par ailleurs se restaurent dans les bonnes tables.  Le problème, toujours d’après le même rapport parlementaire,  c’est que cette vision à court terme a fini par coûter 32 milliards par an à la collectivité pour soigner les malades de la malbouffe. Si on ne peut empêcher les citoyens de se suicider à petit feu, on doit protéger ceux qui souhaitent manger sainement. A la maison, c’est simple, chacun achète en son âme et conscience mais une fois dehors comment savoir si sa  blanquette de veau est cuisinée sur place avec des produits bruts et frais ou si elle provient d’un grossiste en plats usinés? Jusqu’à maintenant, il fallait se fier à la bonne parole du restaurateur ou de l’élu si on osait  poser la question qui fâche.   Demain, j’espère que nos représentants politiques auront le courage après le « fait maison » d’imposer enfin un logo « fait usine ». Quelques restaurants et cantines en France ont commencé à mettre en place cette saine transparence. Une fois les logos affichés, les clients ont privilégié les préparations maison et les cuisiniers ont très vite réduit dans leur offre le pourcentage de produits tout fait.  L’Europe a imposé à la restauration que les allergènes soient indiqués. Cette réglementation impose de mentionner des dizaines de produits. Imposer 2 logos ne devrait pas lui créer des maux d’estomac. La France qui revendique la meilleure gastronomie du monde devrait être à l’initiative d’une telle proposition en commençant par s’imposer ce simple dispositif qui redonnera la confiance aux clients de restaurants échaudés par des années de mensonges par omission et  poussera les professionnels à refaire une vraie popote maison. Afin de parfaire la loi, les législateurs devront imposer que les classeurs de traçabilités où sont obligatoirement archivées les étiquettes ayant servi à la confection des aliments soient mis à disposition des clients et des usagers sur simple demande.  En ces temps confus, il faut redonner de l’appétit aux citoyens pour la chose publique en restaurant leur confiance. Alors pourquoi pas commencer par leurs assiettes?    Xavier Denamur  Restaurateur à Paris à l’initiative de la nouvelle version du décret « fait maison » dans lequel les surgelés ou les desserts préparés ailleurs ne sont plus admis. Le film de Remi Delescluse « Restauration française, un pavé dans l’assiette » vous donnera un excellent éclairage sur les dessous de ce combat pour la transparence dans la restauration auquel je participe depuis plus de 10 ans face à des lobbies qui n’agissent qu’en coulisse. Voir gratuitement et sans publicité le film « République de la Malbouffe » que j’ai produit en 2012. Retrouvez sur mon profil  Facebook ou sur la page de Capital ma dernière interview très limpide sur le sujet.

Xavier DENAMUR
33,643 supporters
Petitioning Didier Guillaume, Bernard Bolon, Jean-Michel MOUGARD, François-Xavier LAUCH, Christophe Ramond, Jean pierre Bonhomme, Patricia Balland, Joel Neyen, Claude Messager, MC Verdier-Jouclas, jean terlier...

Soutien au Projet de sauvegarde du dernier élevage de la Commune de GARRIGUES (TARN)

Soutien au Projet de sauvegarde du dernier élevage de la Commune de GARRIGUES (TARN) Tout d'abord, sachez que nous ne demandons comme soutien "UNIQUEMENT votre signature" et en aucun cas de l'argent (car si vous faite un don sur ce site "change.org", ce don sera pour eux ET NON POUR NOUS.) L’exploitation agricole « Les Folies Fermières » a lancé cette pétition, adressée au Ministre de l'agriculture et à la Mairie de GARRIGUES (81500). Version courte Après plus de 10 ans passés à chercher une solution pour sauver ce seul et dernier élevage de sa commune, David CAUMETTE a enfin trouvé une diversification agricole qui fonctionne : implanter au sein même de l’exploitation agricole, une boucherie et une ferme-auberge (avec soirées à thème), le tout étant géré par l’exploitant agricole lui-même. Ce concept innovant a été élu « Start-up Agricole de la Région Occitanie » et bénéficie d'une subvention publique. Cependant, ce projet repose sur l’extension de la ferme-auberge existante, laquelle permettrait à la fois de stabiliser la dizaine d'emplois créés, de maintenir les deux seuls commerces de proximité du village (boucherie et ferme auberge), et surtout de permettre aux Producteurs, de pouvoir enfin vivre et non plus survivre de leur métier. Ce projet est fortement soutenu par la Région Occitanie et la Chambre d'agriculture. Cependant, la Commune, seule décisionnaire et qui n’a jamais été force de proposition dans ce projet, a refusé d’octroyer le permis de construire nécessaire à l’extension de la ferme-auberge, pour des motifs juridiques infondés. Cette décision a été contestée par un recours amiable, auquel la Commune n’a pas répondu, ce qui oblige désormais de saisir le Tribunal administratif de TOULOUSE. Au-delà de toute considération juridique, la Commune n’a même pas daigné proposer de solution alternative ou d’accompagnement, qui permettrait de sauver l’exploitation agricole « Les FOLIES FERMIÈRES » et de mener à bien ce Projet, qui relève sans conteste, de l’intérêt général …   Version longue Je m'appelle David CAUMETTE, j'ai 37 ans. Avec toute l’équipe de l’exploitation agricole « Les Folies Fermières » nous avons fait le choix de vous présenter notre « Projet de sauvegarde du dernier élevage de notre commune de GARRIGUES » dans le TARN. En effet, grâce à cette pétition en ligne, vous pourrez, si vous le souhaitez, soutenir notre Projet. Notre histoire 2004 – 2007 : Enseignant en mécanique, puis Directeur d'exploitation au lycée agricole de Lavaur Depuis 2007 : Malgré une ferme familiale en difficultés financières, je décide de m'installer en tant que jeune agriculteur. Je démissionne alors définitivement de mon poste de Directeur en lycée agricole et de la fonction publique, pour tenter de réaliser mon rêve et vivre de ma passion de l'Agriculture. Je reprends donc l’exploitation agricole. 2010 : Autoconstruction d'une boucherie-charcuterie à la ferme, sur le siège de l’exploitation agricole. Depuis 2013 : Autoconstruction d'une ferme-auberge sur le siège de l’exploitation agricole. La majorité des produits issus de notre exploitation est donc commercialisée par ce biais et par la boucherie-charcuterie. Avec mon épouse Laetitia, nous gérons désormais l’élevage, la boucherie-charcuterie et la ferme-auberge, le tout formant l’exploitation agricole « Les FOLIES FERMIÈRES ». Puis, nous avons décidé de proposer des animations gratuites, aux clients de la ferme-auberge, dans le cadre des repas. Ainsi, en plus de proposer « le spectacle dans l'assiette » avec nos produits du terroir, nous proposons « un petit spectacle sur scène » (sur le thème du cabaret), pour permettre à nos clients de bénéficier en plus du plaisir gustatif, du plaisir visuel. Dans ce cadre et pour être en conformité, j’ai obtenu une licence de spectacle. Notre Projet  Sur ces dernières années la diminution des agriculteurs de notre Commune de GARRIGUES, a été semblable à la tendance nationale. En effet, aujourd’hui, notre ferme est le seul et dernier élevage qu’il reste encore à ce jour à GARRIGUES, et c'est pour cela que nous avons décidé de nous battre pour la sauver. Après quasiment 10 ans d'installation sur la ferme familiale, et la création de la boucherie-charcuterie et la ferme-auberge, au sein de l’exploitation agricole « Les FOLIES FERMIÈRES », nous avons réussi à sauvegarder le seul et dernier élevage de notre commune rurale et créer : ·         2 commerces de proximité dans notre commune ou rien n’existait ; ·         Une dizaine d'emplois (répartit entre la ferme, la boucherie et la ferme auberge) ; Cependant l'équilibre économique du concept reste relativement fragile, c'est pourquoi nous avons décidé de participer au concours « coup de pousse » organisé par la Région OCCITANIE, dans le but d’obtenir : ·         Un accompagnement de la Région pour mener à bien ce Projet ; ·         Une subvention publique. Le 16 décembre 2016, notre projet a été retenu et notre exploitation agricole est devenue : « La start-up agricole de la Région Occitanie »   (https://www.laregion.fr/Un-cabaret-fermier-unique-en-France). Le Projet présenté au concours se décline de la façon suivante : ·         But recherché : Optimiser notre concept de diversification agricole afin de devenir rentable. (car comme toute start-up, les premières années sont décisives) ·         Comment : En construisant une extension de la ferme auberge actuelle. ·         Pourquoi : Car après plusieurs bilans et analyses, on s'aperçoit que la seule façon d’atteindre l’équilibre économique, est d'augmenter la capacité d'accueil. Cependant, plus de 2 ans après avoir été élu « Start-up agricole de la Région Occitanie », notre Projet est bloqué.  En effet, la Commune de GARRIGUES, seule décisionnaire, a refusé d’octroyer le permis de construire nécessaire à l’extension de la ferme-auberge, pour des motifs juridiques infondés et allant à l’encontre des avis des organismes, dont la consultation est obligatoire pour toute demande de permis de construire : ·         La Région OCCITANIE : Avis favorable + subvention financière ·         Le syndicat intercommunal des eaux : Avis favorable ·         La Chambre d'Agriculture : Avis favorable sans réserve indiquant que « ...le Projet présenté explicite le lien et démontre la nécessité de la construction pour les besoins de l'exploitation agricole du demandeur.... De plus d’après l'attestation délivrée par le cabinet comptable de l'exploitation, celle ci respecte bien le cahier des charges en vigueur des fermes auberges, concernant les produits vendus... » ·         Le conseil départemental du TARN : Avis favorable avec prescription Cette décision, fort illogique, empêche donc le développement de notre activité agricole, sur des terres à vocation agricole … dans une commune rurale. Ladite décision a été contestée par un recours amiable, auquel la Commune n’a pas répondu, ce qui nous oblige désormais à saisir le Tribunal administratif de TOULOUSE. Au-delà de toute considération juridique, la Commune n’a même pas daigné proposé de solution alternative ou d’accompagnement, pour nous permettre de sauver notre Ferme et de mener à bien ce Projet, qui relève sans conteste, de l’intérêt général … A ce jour, nous avons également tenté de porter notre problématique à la connaissance du Préfet du TARN et de la Présidence de la République …ces démarches n’ont eu aucun succès, ni effet. Conclusion : Après avoir passé plus de 10 ans à chercher une solution pour sauver le dernier élevage de la commune de GARRIGUES, toute l’équipe de l’exploitation agricole « Les Folies Fermières » a enfin réussi à démontrer que, grâce à la diversification agricole de nos activités, (avec une boucherie à la Ferme et une Ferme-auberge qui propose des soirées à thèmes à ses clients), les exploitants agricoles français pourraient, en s'inspirant de cette expérience, mieux vivre de leur travail. Malgré le caractère "Innovant" de ce projet qui permettrait d’apporter une proposition de solution à la situation précaire des agriculteurs français, celui-ci se heurte fort illogiquement, à une opposition des pouvoirs publics, et plus particulièrement de la Commune rurale de GARRIGUES. Cependant, nous avons décidé de continuer à nous battre et en 2019, avons prévu de mettre en place plusieurs actions : ·         Sortie du livre « Les Folies Fermières » qui expose en détail notre combat. Ce livre sera présenté au Salon de l'Agriculture à PARIS et sortira le 13 Février prochain. ·         Accueillir chaque semaine dans notre ferme-auberge, toutes personnes qui souhaitent nous soutenir et découvrir le résultat de notre travail. ·         Suite au refus du recours amiable déposé en Mairie, nous déposons maintenant un recours au Tribunal administratif de TOULOUSE. ·         Mise en place d'une pétition en ligne sur notre site internet (https://lesfoliesfermieres.com) ·         Pour ceux qui souhaitent plus d'informations, on reste à votre disposition par mail sur : lesfoliesfermieres@gmail.com  

Les Folies Fermières
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