
Decision Maker
Anne Hidalgo
- Maire de Paris
Sur Twitter : @Anne_Hidalgo

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Michel Déon est un très grand écrivain français, en même temps qu’un Parisien de cœur. Il était dès lors parfaitement compréhensible que sa famille, relayée par l’Académie Française, demande à ce qu’il puisse être inhumé à Paris, quand bien même, depuis de nombreuses années, il n’habitait plus cette ville. La légitimité incontestable de cette demande s’est heurtée, comme cela arrive parfois, aux exigences non moins incontestables de nos règlements. Nous avons cherché sans les trouver les moyens de rendre possible une dérogation qui au vu des textes et du petit nombre de places disponibles ne l’était pas. Si nous avons dû nous incliner face au règlement en vigueur, cela ne signifie pas pour autant qu’il nous satisfasse. Nous aurions aimé pouvoir rendre un grand Parisien à la terre qu’il aimait. Nous avons découvert en cette occasion ce que ce règlement pouvait avoir d’insatisfaisant, et je propose donc de le faire évoluer pour permettre par exemple à des artistes du monde entier, de grandes personnalités parisiennes de cœur si ce n’est de résidence, d’être enterrées dans notre ville. Ainsi va la démocratie bien comprise. Je proposerai au prochain Conseil de Paris la création d’une commission intégrant des conseillers de Paris de toutes les formations politiques pour définir les conditions dans lesquelles, malgré le petit nombre de places disponibles, nous pourrions accueillir exceptionnellement à Paris la sépulture de personnalités qui n'y résidaient pas administrativement. Ce soir, je remercie mon ami Alexandre Jardin de m’avoir encouragé à chercher et trouver une solution pour permettre à des personnalités qui portent en elle paris de pouvoir y établir leur dernière demeure. Si nous croyons avec Victor Hugo que le genre humain a des droits sur Paris, alors il nous faut reconnaître que la sépulture de femmes et d'hommes remarquables peut y trouver une place. Anne Hidalgo, Maire de Paris
Michel Déon est un très grand écrivain français, en même temps qu’un Parisien de cœur. Il était dès lors parfaitement compréhensible que sa famille, relayée par l’Académie Française, demande à ce qu’il puisse être inhumé à Paris, quand bien même, depuis de nombreuses années, il n’habitait plus cette ville. La légitimité incontestable de cette demande s’est heurtée, comme cela arrive parfois, aux exigences non moins incontestables de nos règlements. Nous avons cherché sans les trouver les moyens de rendre possible une dérogation qui au vu des textes et du petit nombre de places disponibles ne l’était pas. Si nous avons dû nous incliner face au règlement en vigueur, cela ne signifie pas pour autant qu’il nous satisfasse. Nous aurions aimé pouvoir rendre un grand Parisien à la terre qu’il aimait. Nous avons découvert en cette occasion ce que ce règlement pouvait avoir d’insatisfaisant, et je propose donc de le faire évoluer pour permettre par exemple à des artistes du monde entier, de grandes personnalités parisiennes de cœur si ce n’est de résidence, d’être enterrées dans notre ville. Ainsi va la démocratie bien comprise. Je proposerai au prochain Conseil de Paris la création d’une commission intégrant des conseillers de Paris de toutes les formations politiques pour définir les conditions dans lesquelles, malgré le petit nombre de places disponibles, nous pourrions accueillir exceptionnellement à Paris la sépulture de personnalités qui n'y résidaient pas administrativement. Ce soir, je remercie mon ami Alexandre Jardin de m’avoir encouragé à chercher et trouver une solution pour permettre à des personnalités qui portent en elle paris de pouvoir y établir leur dernière demeure. Si nous croyons avec Victor Hugo que le genre humain a des droits sur Paris, alors il nous faut reconnaître que la sépulture de femmes et d'hommes remarquables peut y trouver une place. Anne Hidalgo, Maire de Paris


MERCI à vous, Parisiens et amoureux de la capitale pour votre soutien et votre participation à l'ouverture officielle du Parc Rives de Seine ! Votre soutien, votre présence et votre enthousiasme sont autant d'encouragements à poursuivre ce projet. Nous avons démontré que la piétonnisation des berges de Seine, correspondait non seulement à des impératifs de santé publique mais également à une réelle attente des Parisiens en quête d'espace public à occuper à des fins de détente, de pratiques sportives ou culturelles . Forts de ce succès, nous allons continuer à réaménager l'ensemble des quartiers de Paris pour réduire progressivement la place qu’y occupent les véhicules polluants au profit des transports en commun, des modes de locomotion non polluants et des mobilités douces comme le vélo ou la marche à pied. L’amélioration de la qualité de l’air, du cadre de vie des Parisiens et de l’attractivité de la capitale est à ce prix. Vive la vie, vive la ville qui respire ! Anne Hidalgo, Maire de Paris
MERCI à vous, Parisiens et amoureux de la capitale pour votre soutien et votre participation à l'ouverture officielle du Parc Rives de Seine ! Votre soutien, votre présence et votre enthousiasme sont autant d'encouragements à poursuivre ce projet. Nous avons démontré que la piétonnisation des berges de Seine, correspondait non seulement à des impératifs de santé publique mais également à une réelle attente des Parisiens en quête d'espace public à occuper à des fins de détente, de pratiques sportives ou culturelles . Forts de ce succès, nous allons continuer à réaménager l'ensemble des quartiers de Paris pour réduire progressivement la place qu’y occupent les véhicules polluants au profit des transports en commun, des modes de locomotion non polluants et des mobilités douces comme le vélo ou la marche à pied. L’amélioration de la qualité de l’air, du cadre de vie des Parisiens et de l’attractivité de la capitale est à ce prix. Vive la vie, vive la ville qui respire ! Anne Hidalgo, Maire de Paris

Madame, Monsieur, En signant cette pétition, vous avez souhaité m’interpeller sur les mesures prises par la Ville de Paris pour restreindre la circulation des véhicules les plus polluants. Attachée au débat démocratique, il me semble normal de vous répondre et de vous expliquer ma position. Premier élément important : avec mon équipe, nous ne luttons pas contre la voiture mais contre la pollution. À l’heure où j’écris ces lignes, Paris, l’Ile-de-France et une grande partie de la France vivent un énième pic de pollution aux particules. En zone rurale, la première cause de cette pollution est le chauffage au bois, on le voit dans la vallée de l’Arve. Mais en zone urbaine, toutes les études démontrent que la première responsable, c’est la voiture individuelle polluante. La pollution de l’air, c’est 48.000 morts prématurés par an à l’échelle nationale, 6.500 à l’échelle du Grand Paris, selon une étude récente de l'agence Santé publique France. C’est aussi pour les Franciliens une espérance de vie réduite de 2 ans. Et ce sont des centaines de milliers de personnes atteintes de troubles respiratoires, comme le soulignent régulièrement de nombreux pneumologues. Cette urgence de santé publique est comparable au scandale de l’amiante ou à la lutte contre le tabagisme, qui ont marqué ces dernières décennies. Je suis convaincue que, dans quelques années, les politiques et les industriels de l’automobile qui n’auront rien fait devront en répondre pénalement devant les tribunaux. Cela implique de réduire la place de la voiture en cœur de ville, comme le font toutes les autres métropoles du monde. Tokyo a déjà banni totalement les véhicules diesel, Oslo est sur le point de le faire. Londres a mis en place depuis plusieurs années un péage urbain. Le centre-ville de Madrid est piéton, ceux de Bruxelles et de Barcelone sont en train de le devenir. Berlin a mis en place depuis 10 ans déjà les vignettes anti-pollution, comparables aux vignettes Crit’air qui viennent d’être instaurées en France. Et il existe des centaines d’autres exemples. A Paris, le sujet est connu depuis 2001. Avec Bertrand Delanoë, nous avons alors fait un choix de bons sens : développer les alternatives avant de restreindre la circulation des véhicules les plus polluants. En quinze ans, nous avons créé les voies réservées aux bus, aménagé le tramway sur les Maréchaux, créé Vélib’, Autolib’, Utilib’, soutenu le lancement de Cityscoot… Nous avons automatisé la ligne 1 et sommes en train d’automatiser la ligne 4 du métro, en complément de la ligne 14. Nous avons également soutenu la mise en place du Pass Navigo à tarif unique, qui permet aux habitants des petite et grande couronnes de voyager au même prix que les Parisiens, ce qui représente pour eux une économie mensuelle de plusieurs centaines d’euros. Ces investissements sont conséquents, au point que l’Institute for Transportation and Development Policy (ITDP), basé à New-York, vient de classer le réseau de transports en commun de Paris comme le plus performant au monde. Nous ne nous satisfaisons pas de ces lauriers, puisque nous continuons à investir 381M€ par an dans les transports en commun, pour les améliorer encore davantage. C’est aussi ce qui nous amène à projeter un tram-bus à haut niveau de service sur les quais hauts, dont le premier tronçon sera livré en 2018 et qui à terme reliera les Hauts-de-Seine au Val-de-Marne en longeant la Seine. C’est également ce qui nous a décidé à mettre en œuvre un « plan vélo », doté de 150M€, qui permettra de doubler le nombre de km de pistes cyclables intramuros d’ici 2020. C’est enfin ce qui nous pousse à soutenir des innovations, comme l’expérimentation de bus sans chauffeur entre les gares de Lyon et d’Austerlitz, ou encore comme les SeaBubbles, des « bulles flottantes » sur la Seine qui permettront de développer une offre de taxis fluviaux. C’est vrai : en contrepartie de ces investissements massifs, nous demandons aux automobilistes de faire des efforts, en renonçant chaque fois que cela est possible à leur voiture individuelle polluante. Nous avons élaboré à ce titre des restrictions de circulation qui entrent progressivement en vigueur depuis 2015. Mais là encore, nous avons décidé de les soutenir : les particuliers peuvent bénéficier de 400€ pour l’achat d’un vélo électrique ou d’un triporteur, de 400€ pour financer leur première année de Pass Navigo ou encore de 100€ pour financer leur première année d’utilisation d’Autolib’. Nous soutenons aussi les professionnels, de Paris mais aussi de la petite couronne, en leur apportant une aide de 3.000 à 9000€ pour l’achat d’un véhicule électrique ou GNV (gaz naturel), et cette aide est cumulable avec celles de la Métropole du Grand Paris et de l’État. Tous ces projets font l’objet de processus démocratiques, qui peuvent aller – selon leur ampleur et leur nature – d’un débat et d’un vote du Conseil de Paris (ce fut le cas pour les restrictions de circulation automobile, pour le plan vélo, pour les aides financières incitatives, etc) jusqu’à une enquête publique (ce fut le cas pour le tramway, pour la piétonnisation des berges de la rive gauche puis de la rive droite, etc), le tout adossé à des réunions de concertations ou encore à des conférences citoyennes. Enfin, je me permets de vous rappeler que les mesures que je prends depuis mon élection figuraient noir sur blanc dans mon programme aux élections municipales. Par leurs suffrages, les Parisiens m’ont alors donné mandat pour agir. J’ai pris ces engagements devant eux et je compte bien les respecter. Respectueusement, Anne Hidalgo
Madame, Monsieur, En signant cette pétition, vous avez souhaité m’interpeller sur les mesures prises par la Ville de Paris pour restreindre la circulation des véhicules les plus polluants. Attachée au débat démocratique, il me semble normal de vous répondre et de vous expliquer ma position. Premier élément important : avec mon équipe, nous ne luttons pas contre la voiture mais contre la pollution. À l’heure où j’écris ces lignes, Paris, l’Ile-de-France et une grande partie de la France vivent un énième pic de pollution aux particules. En zone rurale, la première cause de cette pollution est le chauffage au bois, on le voit dans la vallée de l’Arve. Mais en zone urbaine, toutes les études démontrent que la première responsable, c’est la voiture individuelle polluante. La pollution de l’air, c’est 48.000 morts prématurés par an à l’échelle nationale, 6.500 à l’échelle du Grand Paris, selon une étude récente de l'agence Santé publique France. C’est aussi pour les Franciliens une espérance de vie réduite de 2 ans. Et ce sont des centaines de milliers de personnes atteintes de troubles respiratoires, comme le soulignent régulièrement de nombreux pneumologues. Cette urgence de santé publique est comparable au scandale de l’amiante ou à la lutte contre le tabagisme, qui ont marqué ces dernières décennies. Je suis convaincue que, dans quelques années, les politiques et les industriels de l’automobile qui n’auront rien fait devront en répondre pénalement devant les tribunaux. Cela implique de réduire la place de la voiture en cœur de ville, comme le font toutes les autres métropoles du monde. Tokyo a déjà banni totalement les véhicules diesel, Oslo est sur le point de le faire. Londres a mis en place depuis plusieurs années un péage urbain. Le centre-ville de Madrid est piéton, ceux de Bruxelles et de Barcelone sont en train de le devenir. Berlin a mis en place depuis 10 ans déjà les vignettes anti-pollution, comparables aux vignettes Crit’air qui viennent d’être instaurées en France. Et il existe des centaines d’autres exemples. A Paris, le sujet est connu depuis 2001. Avec Bertrand Delanoë, nous avons alors fait un choix de bons sens : développer les alternatives avant de restreindre la circulation des véhicules les plus polluants. En quinze ans, nous avons créé les voies réservées aux bus, aménagé le tramway sur les Maréchaux, créé Vélib’, Autolib’, Utilib’, soutenu le lancement de Cityscoot… Nous avons automatisé la ligne 1 et sommes en train d’automatiser la ligne 4 du métro, en complément de la ligne 14. Nous avons également soutenu la mise en place du Pass Navigo à tarif unique, qui permet aux habitants des petite et grande couronnes de voyager au même prix que les Parisiens, ce qui représente pour eux une économie mensuelle de plusieurs centaines d’euros. Ces investissements sont conséquents, au point que l’Institute for Transportation and Development Policy (ITDP), basé à New-York, vient de classer le réseau de transports en commun de Paris comme le plus performant au monde. Nous ne nous satisfaisons pas de ces lauriers, puisque nous continuons à investir 381M€ par an dans les transports en commun, pour les améliorer encore davantage. C’est aussi ce qui nous amène à projeter un tram-bus à haut niveau de service sur les quais hauts, dont le premier tronçon sera livré en 2018 et qui à terme reliera les Hauts-de-Seine au Val-de-Marne en longeant la Seine. C’est également ce qui nous a décidé à mettre en œuvre un « plan vélo », doté de 150M€, qui permettra de doubler le nombre de km de pistes cyclables intramuros d’ici 2020. C’est enfin ce qui nous pousse à soutenir des innovations, comme l’expérimentation de bus sans chauffeur entre les gares de Lyon et d’Austerlitz, ou encore comme les SeaBubbles, des « bulles flottantes » sur la Seine qui permettront de développer une offre de taxis fluviaux. C’est vrai : en contrepartie de ces investissements massifs, nous demandons aux automobilistes de faire des efforts, en renonçant chaque fois que cela est possible à leur voiture individuelle polluante. Nous avons élaboré à ce titre des restrictions de circulation qui entrent progressivement en vigueur depuis 2015. Mais là encore, nous avons décidé de les soutenir : les particuliers peuvent bénéficier de 400€ pour l’achat d’un vélo électrique ou d’un triporteur, de 400€ pour financer leur première année de Pass Navigo ou encore de 100€ pour financer leur première année d’utilisation d’Autolib’. Nous soutenons aussi les professionnels, de Paris mais aussi de la petite couronne, en leur apportant une aide de 3.000 à 9000€ pour l’achat d’un véhicule électrique ou GNV (gaz naturel), et cette aide est cumulable avec celles de la Métropole du Grand Paris et de l’État. Tous ces projets font l’objet de processus démocratiques, qui peuvent aller – selon leur ampleur et leur nature – d’un débat et d’un vote du Conseil de Paris (ce fut le cas pour les restrictions de circulation automobile, pour le plan vélo, pour les aides financières incitatives, etc) jusqu’à une enquête publique (ce fut le cas pour le tramway, pour la piétonnisation des berges de la rive gauche puis de la rive droite, etc), le tout adossé à des réunions de concertations ou encore à des conférences citoyennes. Enfin, je me permets de vous rappeler que les mesures que je prends depuis mon élection figuraient noir sur blanc dans mon programme aux élections municipales. Par leurs suffrages, les Parisiens m’ont alors donné mandat pour agir. J’ai pris ces engagements devant eux et je compte bien les respecter. Respectueusement, Anne Hidalgo


Chers signataires, Vous vous êtes passionnés pour le débat sur le design des nouveaux kiosques parisiens. Amoureuse de Paris comme vous, je suis touchée par l’attachement que vous portez à cet élément du mobilier urbain. Votre intérêt a été entendu et au terme d’un processus de co-construction de plusieurs semaines, impliquant les kiosquiers et tous les groupes politiques du Conseil de Paris, le nouveau modèle des kiosques de presse parisiens a été présenté la semaine dernière. Je suis heureuse de le partager avec vous. Celui-ci comporte plusieurs évolutions par rapport au design non définitif qui avait circulé au début de l’été dans la presse et conduit à votre pétition : - Le vert utilisé est proche de celui des kiosques précédents ; - Le toit a été retravaillé, notamment rehaussé, des stries (nervures) y ont été ajoutées, rendant plus évidente l’évocation des toitures parisiennes courbes. Il sera lui aussi en vert, et non plus couleur zinc comme envisagé dans un premier temps ; - Des festons ont été ajoutés sur le haut des façades et des gondoles. Respectueux du paysage parisien, il comportera sur ses façades 20% de surface de publicité en moins par rapport aux kiosques actuels (et reprend des matériaux strictement identiques aux kiosques précédents : métal, verre et résine) Ce modèle de kiosque, respectueux du patrimoine et à l’image de Paris, améliorera considérablement les conditions de travail des kiosquiers : + de confort thermique : isolation des façades et de la toiture, dispositif de chauffage écologique, plancher isolant et vitrage amovible ; + de praticité : temps réduit d’ouverture et de fermeture du kiosque, armoire pour effets personnels, distributeur de gel hydro alcoolique, toilettes selon le modèle et la demande du kiosquier ; + accueillant : espace de vente repensé, mise en avant de la presse et des autres produits ou services proposés par le kiosquier ; Par ailleurs, les 49 kiosques actuellement en place, non originaux mais reprenant le modèle conçu en 1857 par l'architecte Gabriel Davioud (1823-1881), seront maintenus dans les rues de Paris et rénovés, afin d’accueillir de nouveaux usages, par exemple liés à la participation citoyenne. Continuez à vous engager pour Paris, Anne Hidalgo
Chers signataires, Vous vous êtes passionnés pour le débat sur le design des nouveaux kiosques parisiens. Amoureuse de Paris comme vous, je suis touchée par l’attachement que vous portez à cet élément du mobilier urbain. Votre intérêt a été entendu et au terme d’un processus de co-construction de plusieurs semaines, impliquant les kiosquiers et tous les groupes politiques du Conseil de Paris, le nouveau modèle des kiosques de presse parisiens a été présenté la semaine dernière. Je suis heureuse de le partager avec vous. Celui-ci comporte plusieurs évolutions par rapport au design non définitif qui avait circulé au début de l’été dans la presse et conduit à votre pétition : - Le vert utilisé est proche de celui des kiosques précédents ; - Le toit a été retravaillé, notamment rehaussé, des stries (nervures) y ont été ajoutées, rendant plus évidente l’évocation des toitures parisiennes courbes. Il sera lui aussi en vert, et non plus couleur zinc comme envisagé dans un premier temps ; - Des festons ont été ajoutés sur le haut des façades et des gondoles. Respectueux du paysage parisien, il comportera sur ses façades 20% de surface de publicité en moins par rapport aux kiosques actuels (et reprend des matériaux strictement identiques aux kiosques précédents : métal, verre et résine) Ce modèle de kiosque, respectueux du patrimoine et à l’image de Paris, améliorera considérablement les conditions de travail des kiosquiers : + de confort thermique : isolation des façades et de la toiture, dispositif de chauffage écologique, plancher isolant et vitrage amovible ; + de praticité : temps réduit d’ouverture et de fermeture du kiosque, armoire pour effets personnels, distributeur de gel hydro alcoolique, toilettes selon le modèle et la demande du kiosquier ; + accueillant : espace de vente repensé, mise en avant de la presse et des autres produits ou services proposés par le kiosquier ; Par ailleurs, les 49 kiosques actuellement en place, non originaux mais reprenant le modèle conçu en 1857 par l'architecte Gabriel Davioud (1823-1881), seront maintenus dans les rues de Paris et rénovés, afin d’accueillir de nouveaux usages, par exemple liés à la participation citoyenne. Continuez à vous engager pour Paris, Anne Hidalgo

Chers signataires, Vous êtes plus de 50 000 à avoir signé en faveur d’un centre d’hébergement dans une partie de l’Allée des Fortifications (16e), à la lisière du bois de Boulogne. Je tiens à saluer l’initiative d’une étudiante de l’Université Paris Dauphine pour soutenir ce projet qui permettra d’accueillir 200 personnes sans-abri, orientées par le Samu Social : 100 places pour des personnes isolées, 100 pour des personnes en familles. Elles seront accompagnées par une équipe de travailleurs sociaux, présents 24h/24, qui les aidera à s’engager dans une démarche d’insertion. Je veux vous remercier de cette formidable mobilisation et de votre détermination à faire entendre une autre voix : celle de la solidarité, du respect d’autrui, de l’accueil et du partage. Je tiens, surtout, à réaffirmer mon engagement. La Mairie de Paris soutiendra ce projet jusqu’à sa mise en œuvre : hier soir, le Conseil de Paris a réaffirmé son soutien au projet à travers un vote. Continuez à faire entendre votre voix. Faites passer le message à vos proches, diffusez le sur les réseaux sociaux. Je compte sur vous, vous pouvez compter sur moi. Anne Hidalgo
Chers signataires, Vous êtes plus de 50 000 à avoir signé en faveur d’un centre d’hébergement dans une partie de l’Allée des Fortifications (16e), à la lisière du bois de Boulogne. Je tiens à saluer l’initiative d’une étudiante de l’Université Paris Dauphine pour soutenir ce projet qui permettra d’accueillir 200 personnes sans-abri, orientées par le Samu Social : 100 places pour des personnes isolées, 100 pour des personnes en familles. Elles seront accompagnées par une équipe de travailleurs sociaux, présents 24h/24, qui les aidera à s’engager dans une démarche d’insertion. Je veux vous remercier de cette formidable mobilisation et de votre détermination à faire entendre une autre voix : celle de la solidarité, du respect d’autrui, de l’accueil et du partage. Je tiens, surtout, à réaffirmer mon engagement. La Mairie de Paris soutiendra ce projet jusqu’à sa mise en œuvre : hier soir, le Conseil de Paris a réaffirmé son soutien au projet à travers un vote. Continuez à faire entendre votre voix. Faites passer le message à vos proches, diffusez le sur les réseaux sociaux. Je compte sur vous, vous pouvez compter sur moi. Anne Hidalgo

Bonjour à tous, Je suis très sensible à votre initiative et vous remercie de votre engagement pour Paris. Le Conseil de Paris a adopté en séance du 29 septembre 2015 les textes des plaques rendant hommage aux victimes des attentats de janvier 2015 et qui seront apposées dans la semaine du 5 janvier sur le boulevard Richard Lenoir (11e) en hommage au policier Ahmed Merabet, sur l’'Hyper Cacher (Vincennes) à la mémoire des victimes de l'attentat antisémite et sur l'immeuble de Charlie Hebdo rue Nicolas Appert (11e). Cette semaine d'anniversaire des attentats de janvier 2015 sera jalonnée par de nombreux hommages. Le 10 janvier prochain, un espace de mémoire en hommage aux victimes des attentats de l’année 2015 sera inauguré sur la place de la République d’où est partie la marche du 11 janvier 2015 et où se sont rassemblées spontanément toutes les personnes souhaitant rendre hommage aux victimes des attentats du 13 novembre. Il est constitué par un carré de verdure entourant un chêne qui devrait atteindre, à maturité, une hauteur de 25 mètres. Plus que la construction d’un monument, la plantation d’un chêne, symbole de l'arbre de vie, est apparue évidente pour répondre à la puissance du séisme des attentats de 2015. Il symbolise autant la force morale que physique, et portera ainsi les valeurs de la résistance, évoquée de façon récurrente tant en janvier qu’en novembre. Complétant le dispositif, une plaque gravée dans du laiton rendant hommage à l’ensemble des victimes sera apposée au sol, en bordure du quadrilatère planté. La statue de la République quant à elle sera mise en valeur par un nouvel éclairage. Enfin, un très important travail d'archivage pour l'ensemble des marques d'hommage a été engagé et, depuis le 13 novembre, les internautes ont pu multiplier les témoignages de soutien aux Parisiens sur les réseaux sociaux avec le hashtag #NousSommesUnis ou sur l'adresse dédiée noussommes@paris.fr. afin de créer un livre de condoléances numérique consultable sur paris.fr. Dans un contexte douloureux pour les Parisiens, au moment du premier anniversaire des attentats de janvier 2015, je tiens à vous assurer de la détermination de la Ville de Paris à préserver les valeurs fondatrices de notre République et les principes du vivre ensemble, et à lutter contre toute forme de fanatisme. Continuez à vous engager pour faire vivre les valeurs de Paris, Amitiés, Anne Hidalgo
Bonjour à tous, Je suis très sensible à votre initiative et vous remercie de votre engagement pour Paris. Le Conseil de Paris a adopté en séance du 29 septembre 2015 les textes des plaques rendant hommage aux victimes des attentats de janvier 2015 et qui seront apposées dans la semaine du 5 janvier sur le boulevard Richard Lenoir (11e) en hommage au policier Ahmed Merabet, sur l’'Hyper Cacher (Vincennes) à la mémoire des victimes de l'attentat antisémite et sur l'immeuble de Charlie Hebdo rue Nicolas Appert (11e). Cette semaine d'anniversaire des attentats de janvier 2015 sera jalonnée par de nombreux hommages. Le 10 janvier prochain, un espace de mémoire en hommage aux victimes des attentats de l’année 2015 sera inauguré sur la place de la République d’où est partie la marche du 11 janvier 2015 et où se sont rassemblées spontanément toutes les personnes souhaitant rendre hommage aux victimes des attentats du 13 novembre. Il est constitué par un carré de verdure entourant un chêne qui devrait atteindre, à maturité, une hauteur de 25 mètres. Plus que la construction d’un monument, la plantation d’un chêne, symbole de l'arbre de vie, est apparue évidente pour répondre à la puissance du séisme des attentats de 2015. Il symbolise autant la force morale que physique, et portera ainsi les valeurs de la résistance, évoquée de façon récurrente tant en janvier qu’en novembre. Complétant le dispositif, une plaque gravée dans du laiton rendant hommage à l’ensemble des victimes sera apposée au sol, en bordure du quadrilatère planté. La statue de la République quant à elle sera mise en valeur par un nouvel éclairage. Enfin, un très important travail d'archivage pour l'ensemble des marques d'hommage a été engagé et, depuis le 13 novembre, les internautes ont pu multiplier les témoignages de soutien aux Parisiens sur les réseaux sociaux avec le hashtag #NousSommesUnis ou sur l'adresse dédiée noussommes@paris.fr. afin de créer un livre de condoléances numérique consultable sur paris.fr. Dans un contexte douloureux pour les Parisiens, au moment du premier anniversaire des attentats de janvier 2015, je tiens à vous assurer de la détermination de la Ville de Paris à préserver les valeurs fondatrices de notre République et les principes du vivre ensemble, et à lutter contre toute forme de fanatisme. Continuez à vous engager pour faire vivre les valeurs de Paris, Amitiés, Anne Hidalgo

Bonjour à tous, Je suis très sensible à votre initiative et vous remercie de votre engagement pour Paris. Le Conseil de Paris a adopté en séance du 29 septembre 2015 les textes des plaques rendant hommage aux victimes des attentats de janvier 2015 et qui seront apposées dans la semaine du 5 janvier sur le boulevard Richard Lenoir (11e) en hommage au policier Ahmed Merabet, sur l’'Hyper Cacher (Vincennes) à la mémoire des victimes de l'attentat antisémite et sur l'immeuble de Charlie Hebdo rue Nicolas Appert (11e). Cette semaine d'anniversaire des attentats de janvier 2015 sera jalonnée par de nombreux hommages. Le 10 janvier prochain, un espace de mémoire en hommage aux victimes des attentats de l’année 2015 sera inauguré sur la place de la République d’où est partie la marche du 11 janvier 2015 et où se sont rassemblées spontanément toutes les personnes souhaitant rendre hommage aux victimes des attentats du 13 novembre. Il est constitué par un carré de verdure entourant un chêne qui devrait atteindre, à maturité, une hauteur de 25 mètres. Plus que la construction d’un monument, la plantation d’un chêne, symbole de l'arbre de vie, est apparue évidente pour répondre à la puissance du séisme des attentats de 2015. Il symbolise autant la force morale que physique, et portera ainsi les valeurs de la résistance, évoquée de façon récurrente tant en janvier qu’en novembre. Complétant le dispositif, une plaque gravée dans du laiton rendant hommage à l’ensemble des victimes sera apposée au sol, en bordure du quadrilatère planté. La statue de la République quant à elle sera mise en valeur par un nouvel éclairage. Enfin, un très important travail d'archivage pour l'ensemble des marques d'hommage a été engagé et, depuis le 13 novembre, les internautes ont pu multiplier les témoignages de soutien aux Parisiens sur les réseaux sociaux avec le hashtag #NousSommesUnis ou sur l'adresse dédiée noussommes@paris.fr. afin de créer un livre de condoléances numérique consultable sur paris.fr. Dans un contexte douloureux pour les Parisiens, au moment du premier anniversaire des attentats de janvier 2015, je tiens à vous assurer de la détermination de la Ville de Paris à préserver les valeurs fondatrices de notre République et les principes du vivre ensemble, et à lutter contre toute forme de fanatisme. Continuez à vous engager pour faire vivre les valeurs de Paris, Amitiés, Anne Hidalgo
Bonjour à tous, Je suis très sensible à votre initiative et vous remercie de votre engagement pour Paris. Le Conseil de Paris a adopté en séance du 29 septembre 2015 les textes des plaques rendant hommage aux victimes des attentats de janvier 2015 et qui seront apposées dans la semaine du 5 janvier sur le boulevard Richard Lenoir (11e) en hommage au policier Ahmed Merabet, sur l’'Hyper Cacher (Vincennes) à la mémoire des victimes de l'attentat antisémite et sur l'immeuble de Charlie Hebdo rue Nicolas Appert (11e). Cette semaine d'anniversaire des attentats de janvier 2015 sera jalonnée par de nombreux hommages. Le 10 janvier prochain, un espace de mémoire en hommage aux victimes des attentats de l’année 2015 sera inauguré sur la place de la République d’où est partie la marche du 11 janvier 2015 et où se sont rassemblées spontanément toutes les personnes souhaitant rendre hommage aux victimes des attentats du 13 novembre. Il est constitué par un carré de verdure entourant un chêne qui devrait atteindre, à maturité, une hauteur de 25 mètres. Plus que la construction d’un monument, la plantation d’un chêne, symbole de l'arbre de vie, est apparue évidente pour répondre à la puissance du séisme des attentats de 2015. Il symbolise autant la force morale que physique, et portera ainsi les valeurs de la résistance, évoquée de façon récurrente tant en janvier qu’en novembre. Complétant le dispositif, une plaque gravée dans du laiton rendant hommage à l’ensemble des victimes sera apposée au sol, en bordure du quadrilatère planté. La statue de la République quant à elle sera mise en valeur par un nouvel éclairage. Enfin, un très important travail d'archivage pour l'ensemble des marques d'hommage a été engagé et, depuis le 13 novembre, les internautes ont pu multiplier les témoignages de soutien aux Parisiens sur les réseaux sociaux avec le hashtag #NousSommesUnis ou sur l'adresse dédiée noussommes@paris.fr. afin de créer un livre de condoléances numérique consultable sur paris.fr. Dans un contexte douloureux pour les Parisiens, au moment du premier anniversaire des attentats de janvier 2015, je tiens à vous assurer de la détermination de la Ville de Paris à préserver les valeurs fondatrices de notre République et les principes du vivre ensemble, et à lutter contre toute forme de fanatisme. Continuez à vous engager pour faire vivre les valeurs de Paris, Amitiés, Anne Hidalgo

Chers signataires, Je suis ravie du succès de votre pétition ! Continuez à vous engager pour faire évoluer Paris en participant sur notre plate-forme d'idées : idee.paris ! Amitiés, Anne Hidalgo
Chers signataires, Je suis ravie du succès de votre pétition ! Continuez à vous engager pour faire évoluer Paris en participant sur notre plate-forme d'idées : idee.paris ! Amitiés, Anne Hidalgo

Chers signataires, Le projet d’aménagement de la rue Dénoyez n’est pas nouveau, il fait partie des priorités de la Mairie du 20e arrondissement et de la Ville de Paris depuis plusieurs années, et a fait l’objet d’une concertation en transparence avec les habitants du quartier ainsi que d’un vote en Conseil de Paris en décembre 2013. L’opération qui doit y être réalisée relève de l’intérêt public avec la construction de logements sociaux et d’une crèche de cinquante berceaux. Au regard des contraintes foncières dans le secteur du bas-Belleville, cette adresse était la seule qui permettait de créer une crèche dont le besoin dans le secteur est particulièrement sensible. En outre, cet aménagement sera complété par une résidence sociale installée au début de la rue Dénoyez. Compte tenu des attentes des Parisiens tant sur le logement que sur l’accueil des tous petits, cet aménagement répond à une véritable priorité. Néanmoins, la réalisation nécessaire d’une crèche et de logements ne signifie pas la mort de l’art urbain dans cette rue. Le mur autogéré à l’entrée de la rue Dénoyez n’est pas concerné par ce projet d’amégament et sera donc conservé. En outre, la Ville de Paris souhaite qu’un travail soit mené entre le bailleur et des artistes afin de conserver à la rue Dénoyez son caractère spécifique et sa renommée. En effet, la ville soutient et développe largement les initiatives autour de l’art urbain du Street Art (subventions à des associations qui interviennent sur les murs de plusieurs quartiers, projets soutenus dans le cadre de La Nuit Blanche, soutien à la Tour 13, aide au lancement de l’application My Paris Street Art). Un recensement de murs disponibles est en cours, qui seraient mis à disposition des artistes de différentes façons. Par exemple, dans le cadre de l’ouverture La Place, à l’automne 2015, des murs lui seront dédiés pour permettre à des artistes d’art urbain de s’exprimer, mais aussi à des amateurs. S’agissant des artistes installés dans les locaux qui doivent être libérés, cette installation a toujours été provisoire, ce qui justifiait la faiblesse du loyer. Cette installation répond à la volonté de la Ville de Paris de développer largement l’occupation temporaire par des associations ou des collectifs d’artistes entre deux affectations de locaux, dans son patrimoine ou celui des bailleurs sociaux, compte tenu du manque de locaux d’activités ou de création à Paris. La Ville s’est engagée à proposer des solutions de relogement à ces associations (elles ont été reçues sur ce sujet en juillet 2014), et un travail est en cours pour identifier les espaces pouvant les accueillir. Dans le cadre de la poursuite de la concertation sur cet aménagement, une réunion publique sera organisée par la Mairie du 20e arrondissement fin novembre. Anne Hidalgo
Chers signataires, Le projet d’aménagement de la rue Dénoyez n’est pas nouveau, il fait partie des priorités de la Mairie du 20e arrondissement et de la Ville de Paris depuis plusieurs années, et a fait l’objet d’une concertation en transparence avec les habitants du quartier ainsi que d’un vote en Conseil de Paris en décembre 2013. L’opération qui doit y être réalisée relève de l’intérêt public avec la construction de logements sociaux et d’une crèche de cinquante berceaux. Au regard des contraintes foncières dans le secteur du bas-Belleville, cette adresse était la seule qui permettait de créer une crèche dont le besoin dans le secteur est particulièrement sensible. En outre, cet aménagement sera complété par une résidence sociale installée au début de la rue Dénoyez. Compte tenu des attentes des Parisiens tant sur le logement que sur l’accueil des tous petits, cet aménagement répond à une véritable priorité. Néanmoins, la réalisation nécessaire d’une crèche et de logements ne signifie pas la mort de l’art urbain dans cette rue. Le mur autogéré à l’entrée de la rue Dénoyez n’est pas concerné par ce projet d’amégament et sera donc conservé. En outre, la Ville de Paris souhaite qu’un travail soit mené entre le bailleur et des artistes afin de conserver à la rue Dénoyez son caractère spécifique et sa renommée. En effet, la ville soutient et développe largement les initiatives autour de l’art urbain du Street Art (subventions à des associations qui interviennent sur les murs de plusieurs quartiers, projets soutenus dans le cadre de La Nuit Blanche, soutien à la Tour 13, aide au lancement de l’application My Paris Street Art). Un recensement de murs disponibles est en cours, qui seraient mis à disposition des artistes de différentes façons. Par exemple, dans le cadre de l’ouverture La Place, à l’automne 2015, des murs lui seront dédiés pour permettre à des artistes d’art urbain de s’exprimer, mais aussi à des amateurs. S’agissant des artistes installés dans les locaux qui doivent être libérés, cette installation a toujours été provisoire, ce qui justifiait la faiblesse du loyer. Cette installation répond à la volonté de la Ville de Paris de développer largement l’occupation temporaire par des associations ou des collectifs d’artistes entre deux affectations de locaux, dans son patrimoine ou celui des bailleurs sociaux, compte tenu du manque de locaux d’activités ou de création à Paris. La Ville s’est engagée à proposer des solutions de relogement à ces associations (elles ont été reçues sur ce sujet en juillet 2014), et un travail est en cours pour identifier les espaces pouvant les accueillir. Dans le cadre de la poursuite de la concertation sur cet aménagement, une réunion publique sera organisée par la Mairie du 20e arrondissement fin novembre. Anne Hidalgo

Chers signataires, J'ai pris connaissance de votre pétition. Mon adjoint à la propreté Mao Peninou et moi-même partageons votre engagement pour l’amélioration de la propreté à Paris. Depuis le début de mon mandat, j’en ai fait une priorité et ai engagé de profondes réformes pour un Paris plus propre : un important effort de mécanisation pour l’efficacité des prestations de nettoyage, le déploiement de 30 000 nouvelles corbeilles équipées d’éteignoirs pour lutter contre le jet de mégots et le développement de 10 déchetteries mobiles, des effectifs supplémentaires dans le courant de l’année 2015. Pour mener ce chantier à bien, nous travaillons en étroite collaboration avec les Maires d’arrondissement. Depuis 2009, la Ville a ainsi instauré des plans de propreté, co-pilotés avec les mairies d’arrondissements, qui fixent dans chaque quartier les priorités de nettoiement, les fréquences d’interventions et de verbalisation. Les concertations sont en cours avec les habitants au niveau des conseils de quartier dans plusieurs arrondissements afin d’aboutir, début 2015, à de nouveaux plans de propreté, plus efficaces. Je me réjouis que votre rencontre avec l'adjointe de M.Goasguen, Maire du 16e arrondissement, s’inscrive dans cette démarche de concertation avec les habitants.
Chers signataires, J'ai pris connaissance de votre pétition. Mon adjoint à la propreté Mao Peninou et moi-même partageons votre engagement pour l’amélioration de la propreté à Paris. Depuis le début de mon mandat, j’en ai fait une priorité et ai engagé de profondes réformes pour un Paris plus propre : un important effort de mécanisation pour l’efficacité des prestations de nettoyage, le déploiement de 30 000 nouvelles corbeilles équipées d’éteignoirs pour lutter contre le jet de mégots et le développement de 10 déchetteries mobiles, des effectifs supplémentaires dans le courant de l’année 2015. Pour mener ce chantier à bien, nous travaillons en étroite collaboration avec les Maires d’arrondissement. Depuis 2009, la Ville a ainsi instauré des plans de propreté, co-pilotés avec les mairies d’arrondissements, qui fixent dans chaque quartier les priorités de nettoiement, les fréquences d’interventions et de verbalisation. Les concertations sont en cours avec les habitants au niveau des conseils de quartier dans plusieurs arrondissements afin d’aboutir, début 2015, à de nouveaux plans de propreté, plus efficaces. Je me réjouis que votre rencontre avec l'adjointe de M.Goasguen, Maire du 16e arrondissement, s’inscrive dans cette démarche de concertation avec les habitants.