Depuis quelques mois les chefs d’entreprise de moins de 50 salariés sont majoritairement ceux dont l’activité est totalement empêchée et parce qu’ils ont déjà fait preuve d’une certaine capacité à s'adapter.

Aujourd'hui ils sont à bout de souffle, certains sont désespérés. 

En plus de voir leur outil de travail fermé, ils connaissent une crise financière personnelle. 

Heureux comme le 5 interpelle le ministre de l’Economie, lui demandant d’étendre à ces patrons fragilisés le dispositif mis en place pour les salariés.

Question de justice sociale. 

Avec le nouveau confinement, annoncé pour durer jusqu'au 1er décembre prochain, mais dont il est probable que la durée totale sera plus longue, c'est un nouveau dilemme que rencontre encore les patrons.

Comment font ils pour nourrir leur famille et eux mêmes?

Comment font-ils pour payer leurs  factures au quotidien?

Si ils se posent la question, ils n'ont pas de solution.

Tous les mois, nous avons la chance d'avoir un gouvernement qui a mis en place divers dispositifs qui ont permis de sauver l'économie française. En mettant 15 milliards d'euros sur la table, l'Etat a permis aux entreprises de tenir le coup.

Mais les grands oubliés sont encore les patrons de TPE PME. 

Il est par cette période difficile d'être dans une optique d'égalité et de concordia. 

Le gouvernement à l'obligation de sauver toute les personnes du navire. Et non comme le titanic en choisissant une catégorie sur deux. 

Les faillites personnelles activeront la fermeture de leurs commerces ou entreprises.

Comment relancer l'économie d'un pays sans eux ? 

Aidez les, cette rénumeration partielle est vitale pour eux, leur famille.