Signez la lettre aux candidats aux élections législatives !

Signez la lettre aux candidats aux élections législatives !
L'importance de cette pétition
Lettre des praticiens de la souffrance psychique
Madame, Monsieur le candidat aux élections législatives,
Vous êtes candidats à la Chambre des députés. Vous connaissez l’état désastreux de la santé mentale de notre pays. Qu’allez-vous faire ? Aux difficultés matérielles se sont ajoutées des orientations qui compromettent la qualité des soins.
Quelle est la grande inconnue de la plupart des programmes ? C’est la santé mentale ! La première pathologie française est la « dépression ». Directement ou non, les citoyens ont connu la violence du terrorisme : ce traumatisme a changé leur vie. La guerre est aux portes de l’Europe. Le stress au travail, le burn out, va en s’accroissant. Les liens de couple ont changé et posent des problèmes inédits. L’incertitude du futur mine les adolescents, augmentant les difficultés scolaires et d’adaptation. Presque toutes les familles - riches ou pauvres - savent ce que la toxicomanie signifie, car au moins l’un des leurs en dépend. Nombreux sont ceux qui prennent des calmants tous les jours, ou bien qui ne dorment plus sans somnifères. Et de plus, le Covid a majoré ces difficultés. Il s’agit de problèmes de société si banalisés que la plupart des Politiques ne les voient plus et qu’ils en parlent peu.
Ces souffrances psychiques n’ont pas de cause organique ou génétique à ce jour démontrée. Ces « maladies » diffèrent d’une grippe ou d’un cancer. A ce jour, elles se traitent grâce aux connaissances apportées par la psychanalyse, et par plusieurs formes d’approche psychodynamique.
Nous souhaitons connaître votre programme en vous posant quatre questions :
I. Que faire pour une psychiatrie pluridisciplinaire ?
De nombreuses régions en France sont devenues des déserts médicaux. Le nombre de pédopsychiatres a baissé de 48% depuis 2007. Il faut parfois attendre jusqu’à deux mois pour obtenir une consultation chez un psychiatre, même si c’est moins long chez un psychiatre de formation psychanalytique, qui sait que le temps importe pour les enfants.
La prétendue disparition du Numerus Clausus pour les études de médecine est un trompe-l’œil. Le Numerus Clausus existe toujours du fait de l’absence de places dans les facultés de médecine. Nous souhaitons un engagement à ouvrir de nouvelles facultés, seul remède à la désertification médicale. Ces grands projets stimuleraient l’emploi.
II. Que faire pour une médecine de ville informée de la souffrance psychique ?
Les médecins ont quotidiennement affaire à la souffrance psychique. Ils sont les principaux prescripteurs de médicaments.
1) Nous souhaitons une formation intégrée aux études et pluridisciplinaire des médecins.
2) De même une ouverture aux formations thérapeutiques non pharmacologiques, notamment psychologiques et psychanalytiques nous semblent souhaitables.
3) Les médecins doivent actuellement coter leurs actes selon une classification orientée par le DSM 5 américain. Il semblerait nécessaire qu’elle soit remplacée par la classification française CFTMA et CFTMEA.
4) Une formation pluridisciplinaire incluant la psychanalyse pour les futurs psychiatres et pédopsychiatres paraît bienvenue. Il y aurait lieu d’augmenter le nombre de psychiatres formés, plutôt que de coupler les médecins de ville avec des psychologues, ce qui disperse les entretiens et allonge les parcours. En supplément des psychologues, les médecins devraient disposer d’une liste de psychanalystes. Les CMPP et CMP débordés seraient amenés à signer des conventions avec des psychanalystes libéraux en extérieur.
5) Une formation spécifique des infirmiers en psychiatrie ne s’impose-t-elle pas ? Actuellement, ils prennent en charge les premiers entretiens, à l’entrée en service de psychiatrie, du fait de la pénurie de psychiatres et de psychologues.
6) Quant aux médicaments, leur vente a connu une progression considérable. S’ils soulagent, ce n’est que temporaire ; ils ne résolvent aucun problème et leur efficacité provisoire est maintenue à vie. Ils provoquent de plus une accoutumance au même titre que les drogues. Cette orientation pharmacologique est d’autant plus exclusive que dans de nombreuses universités, les laboratoires pharmaceutiques sont chargés d’enseignements. Les conflits d’intérêts sont multiples. Des orientations thérapeutiques trop limitées augmentent les charges de la Sécurité Sociale et les dépenses publiques. Les bénéfices de Big Pharma sont fabuleux : ne pourraient-ils pas être mis à contribution ? L’argent est là. Il n’est pas besoin d’être psychanalyste pour soupçonner qu’il y a à l’arrière-plan un désir d’exploitation et de domination.
7) Il faudrait une promotion des lieux d’accueil sur le modèle des Maisons Vertes, de la clinique La Borde, de Bonneuil, de même que les lieux de vie accueillant les autismes et les toxicomanies. Nous demandons que cessent les tracasseries administratives qui étouffent ces lieux thérapeutiques, de même que les pressions exercées pour leur imposer des techniques thérapeutiques qui ne sont pas les leurs.
8) Pour la défense des CMPP. Ils sont depuis longtemps bien implantés dans la vie citadine. Ils sont actuellement menacés de disparaître. Leurs approches pluridisciplinaires sont menacées par une protocolisation des pratiques (RBPP) que l’on pourrait qualifier d’inhumaine, avec référence aux neurosciences qui ne sont pas capables de faire un diagnostic et n’ont jamais soigné personne.
III. Que faire pour s’opposer à la disqualification du titre de psychologue ?
1) Il faut tout d’abord respecter leur statut en défendant leur autonomie professionnelle, garantie par leurs titres universitaires. La formation universitaire des psychologues mérite d’être pluridisciplinaire pour garder sa qualité.
- Le dispositif de remboursement de soins psychologiques est prévu à huit séances payées à des tarifs inadaptés. La prescription n’a pas lieu d’être sous le contrôle d’un médecin sans qualification pour le faire. La limitation du dispositif de remboursement à certains « troubles » (anxieux et dépressifs légers à modérés) et à une tranche d'âge (à partir de 3 ans) contrevient au code déontologique des psychologues nouvellement revu, au même titre que la prescription par un médecin, le nombre prédéfinie de séances, la fixation de leur durée (45 mn pour le premier entretien, puis 30 mn) et la fin du libre choix du praticien (les psychologues doivent s’inscrire sur une « plate-forme » et sont choisis selon des critères inacceptables).
- Une augmentation du nombre de postes dans les services publics, associatifs, privés ne s’impose-t-elle pas ? Et cela tout particulièrement dans les CMPP, hôpitaux de jour, CMP où les délais d’attente sont trop souvent interminables.
- Le retrait du dispositif « Mon psy santé » s’impose, de même que le retrait des décrets relatifs aux « plateformes », usines à gaz du contrôle administratif et prescrivant la nature des soins, ce pour quoi elles n’ont pas de compétence.
2) Il serait important de changer les critères qui s’opposent au recrutement des Enseignants chercheurs d’orientation psychanalytique, lorsqu’ils imposent le DSM5. Avec les recommandations de la HAS, des acteurs administratifs ont pris des mesures de plus en plus coercitives qui font obstacle au recrutement de psychanalystes sur les lieux de soins et à l’Université. Alors que presque tous les syndicats de psychiatres ont la psychanalyse parmi leurs références, les universités de médecine proposent une formation des psychiatres presque exclusivement axée sur le Manuel DSM 5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders). Ce manuel de l’Association Psychiatrique Américaine (APA) ne correspond pas à la clinique. L’Evidence based Medecine catalogue un grand nombre de « troubles » aux contours flous, propices à la médicamentation. Ne conviendrait-il pas de s’en tenir aux critères de la grande psychiatrie européenne, qui sont d’ailleurs communs à la psychanalyse ?
3) Un enseignement concernant les autismes, la toxicomanie, la déradicalisation, le debriefing des traumatismes des grandes catastrophes, serait nécessaire dès le niveau Master.
4) Pour accéder à des postes d’enseignants chercheurs, les psychologues doivent répondre à des critères sans rapport avec une formation pluridisciplinaire. Ils doivent aussi publier dans des revues anglophones avec référence obligatoire au DSM 5.
- Pour libérer le recrutement d’Enseignants chercheurs, nous souhaitons la subdivision de la 16ème section du CNU en quatre sous-sections, calquées sur l’arrêté du 4 février 2014 concernant les Master.
5) Un rapport de l’Académie de médecine, en date du 18 janvier 2022 remet directement en cause le statut des psychologues, en contestant leur aptitude à la psychothérapie que leur confèrent leurs études. Selon ce rapport, les prescriptions de psychothérapies devraient être faites par un médecin, alors qu’ils n’ont justement aucune formation en la matière. Les psychologues sont ainsi mis sous tutelle et ce rapport oriente nettement vers les TCC au détriment de la formation psychanalytique. Son support scientifique est des plus contestable : recours à l’IRM ; expériences en « double aveugle » ; injection de psychotropes supposés simuler la maladie mentale ; recours à des statistiques limitées à quelques personnes. Ne faudrait-il pas une contre-expertise scientifique, par exemple par l’Ordre des médecins ?
IV. Que faire pour une recherche pluridisciplinaire ?
La Haute Autorité à la Santé s’inspire pour ses recommandations de travaux qui excluent le plus souvent les psychanalystes de leurs évaluations. En effet, les cures ne sont pas chiffrables, comme dans d’autres sciences. Il est impossible de tester les patients pendant leurs cures, ou de faire des évaluations en « double aveugle ». Notre évaluation est facile à faire grâce aux témoignages (comme en ce qui concerne les problèmes judiciaires).
- Il faudrait rappeler que les recommandations de l’H.A.S. « ne sont pas opposables ». Leur valeur scientifique est évolutive et elle n’entrave en rien la liberté de choix thérapeutique.
- Les chercheurs en psychanalyse devraient être associés aux plans de recherche, et leurs résultats pris en considération avec leurs propres modes d’évaluation.
- Une référence obligatoire aux critères des chercheurs anglo-saxons, devraient cesser : leurs résultats n’ont d’autorité que grâce à des décisions administratives sans valeur scientifique. La publication dans des revues scientifiques en anglais ne peut plus être obligatoire pour les recrutements. L’emploi du français mérite d’être maintenu.
- Les associations d’usagers, dans leur diversité, devraient être associées à ces orientations, en les protégeant des conflits d’intérêt, notamment provenant de l’industrie pharmaceutique.
* Les priorités urgentes
I. La violence exercée contre les plus âgés. Elle s’illustre par le scandale des Ehpad. Dans plus de 7200 Ehpad, les salariés conjuguent une absence de moyens, le sous-effectif et des pressions constantes, parfois de 8h du matin à 20h le soir. Les syndicats réclament le recrutement de 200 000 salariés et l’interruption de l’embauche de « faisant fonction » sous-payés. Les bénéfices financiers substantiels des Ehpad sont cotés en bourse. Il n’est pas besoin d’être psychanalyste pour constater que l’accumulation des profits recouvre l’exercice d’un certain sadisme. N'y aurait-il pas lieu d’introduire une formation psychologique des personnels, à commencer pour les dirigeants ?
II. N’est-il pas temps d’en finir avec une sélection abusive des enfants dès l’école ? Elle ne tient pas compte des critères sociaux et familiaux. Sous le prétendu couvert des neurosciences, M. Blanquer a créé le CSEN (Conseil scientifique de l'éducation nationale) dirigé par Stanislas Dehaene et M. Ramus qui prétend que la cause des difficultés des enfants dépend de leurs gènes (cela ressemble à un retour à l’eugénisme). Leurs propositions sont déjà mises en œuvre dans les écoles, et des milliers d’enfants sont orientés vers des « plateformes » qui cataloguent différents « troubles » (notamment les Dys). Le « Trouble déficitaire de l’attention » (TDA/H) a connu une extension abusive. Ce « trouble » fourre-tout est dépourvu de pertinence clinique.
La violence contre les enfants est bien documentée par les psychanalystes, depuis l’article de Freud « On bat un enfant ». N’est-il pas temps de mettre un terme à ce mauvais traitement qui impose à plusieurs d’entre eux l’étiquette d’« handicapés » et les oriente vers des voies de garage ?
III. Il faudrait en venir à un traitement décent de l’Autisme. La souffrance des sujets autistes présente encore de nombreuses inconnues. Mis à part les lésions organiques précoces (qui différent des autismes psychiques) il n’existe à ce jour aucune preuve génétique ou cérébrale de leur origine. On ne peut la réduire à des causes cérébrales, organiques ou génétiques. Selon certains chercheurs, 30 à 40% des autismes présenteraient une participation génétique, ce qui ne signifie pas une cause ou une origine. Ce sont de toute façon des sujets qui méritent d’être entendus. Des pionniers de la psychanalyse ont été les premiers a tenté une approche thérapeutique. Dans ces circonstances où il y a encore beaucoup d’inconnues, cette souffrance a servi de cheval de Troie aux adversaires de la psychanalyse. Un puissant lobbying de certaines associations de parents et d’instances gouvernementales ont eu comme résultat de donner un privilège presque exclusif à la méthode ABA, aux procédés plutôt coercitifs et de peu d’efficacité, sinon pour les autismes légers. Rien n’objecte à ce que des rééducations accompagnent un travail psychique. Il faudrait une pluridisciplinarité dans les services de soin. Et pour regarder la réalité en face, les commissions gouvernementales qui soutiennent la méthode ABA, n’ont recommandé l’ouverture de presque aucune maison dédiée aux sujets autistes en France. Les parents sont obligés d’aller à l’étranger, ou de garder leurs enfants chez eux.
IV. La découverte principale de la psychanalyse concerne la sexualité. Elle apporte donc un éclairage spécifique sur les bouleversements en cours dans notre société. La souffrance des femmes a une origine immémoriale : battues ; excisées ; brûlées sur les buchers ; voilées ; prostituées ; condamnées à la maternité forcée. Au fur et à mesure qu’elles se libèrent, certaines pathologies disparaissent. Les grandes crises d’hystérie à la Charcot ont disparu. Pendant les luttes en cours, bien des femmes craignent de témoigner. Ne faudrait-il pas la création d’antennes spéciales destinées à les écouter ? Les violences conjugales et les féminicides ont une cause psychique. La répression ne suffit pas. La prévention suppose l’éclairage de la psychanalyse. Si les luttes des minorités sexuelles, bi, trans, LGBT sont identitaires et à l’opposé de l’universalisme Freudien, elles ont un retentissement politique qui devrait être entendu. Dans le même ordre de préoccupations, les traitements irréversibles de changement de sexe doivent être remis en question pour les mineurs. Leur désir de changement est d’origine psychique et sociétal, et nullement inné.
V. Les exilés et les réfugiés sont victimes de traitements inhumains. Ils ont quitté leurs pays ravagés par nos politiques guerrières, nos pressions économiques et financières. Réfugiés sur notre sol, ils sont maintenant pris comme boucs émissaires. Il n’est pas besoin d’être psychanalyste pour réaliser que le vœu de rester entre soi est endogamique et incestueux. Ceci suppose une information, au niveau des grands médias, qui se complaisent à jouer avec ce feu à l’occasion de la campagne électorale. Ils sont responsables de bien des crimes.
VI. Plusieurs affaires d’incestes pédophiliques ont ému l’opinion et amenés les députés à modifier le code pénal. Tant mieux, mais il ne s’agit pas de préciser clairement et de sanctionner l’inceste, comme l’ont fait pour la première fois les parlementaires récemment du point de vue pénal. Il convient d’énoncer que son interdit est au fondement de l’humanité - comme Freud l’a suggéré. Nous demandons qu’il soit inscrit dans la Constitution. L’inscription dans la Constitution permettrait d’isoler les extrémistes de droite. En effet les mouvements et partis xénophobes qui prônent l’entre-soi sont endogames et en ce sens incestueux. Cette lettre ne leur est pas adressée.
Les questions que nous soulevons intéressent nos concitoyens. Au-delà de leurs souffrances privées, il s’agit d’une perspective culturelle globale. Elle ne peut être laissée au libre-arbitre de chaque université ou de commissions spécialisées, dont les avis restent souvent sans effet. La recherche et l’université française ont formé jusqu’à récemment des cliniciens de qualité. Ils sont actuellement marginalisés au profit de traitements médicamenteux coûteux. S’il fallait s’en tenir aux évaluations comptables, l’application de notre programme représenterait une économie. Mais n’est-il pas déjà inquiétant que les investissements de santé soient considérés comme une dépense ? La santé n’a pas de prix, paraît-il.
Vous avez à cœur le bonheur de nos concitoyens en vous présentant aux législatives. Nous voudrions connaître vos réponses et nous souhaitons une entrevue, avec vous ou l’un de vos responsables, afin de connaître votre opinion et vos projets pour ce grand problème de société.
Premiers signataires :
Jean-Marie Fossey, psychologue, psychanalyste, président de la FEP. Aspasie Bali, psychologue, psychanalyste, responsable de la FEP antenne française. Dr Luis Izcovich, psychiatre, psychanalyste, ancien président en France de l’Ecole Internationale de psychanalyse des forums du champ lacanien, directeur des Editions Stilus. Gorana Bulat-Manenti, psychologue, psychanalyste. Pr Jean-Michel Hirt, psychanalyste APF. Dr Marie-Jeanne Guedj, psychanalyste, ancien chef de pôle St Anne. Dr Joseph Rouzel, psychiatre, psychanalyste, directeur de l’@psychanalyse. Dr Houchang Guilyardi, psychanalyste, psychiatre. Joseph Marceau, psychologue, fondateur des centres d’accueil Maavar. Pr Gérard Pommier, psychanalyste. Guillaume Nemer, psychanalyste, directeur des éditions Le retrait. Dr Jean-Pierre Drapier, psychanalyste, médecin directeur du CMPP ORLY. Daniel Olivier, psychologue, psychanalyste. Dr Jean-Jacques Tyszler, psychanalyste. Dr Philippe Weill, psychiatre, psychanalyste. Dr Thierry Sauze, psychiatre, psychanalyste. Benjamin Lévy, psychologue clinicien, chargé d’enseignement à l’Ecole des psychologues praticiens de Paris. Agnès Benedetti, psychologue, psychanalyste. Françoise Moscovitz, psychanalyste. David Rofé-Sarfati, psychanalyste. Dr Guy Dana, psychiatre, psychanalyste. Laure Westphal, psychologue clinicienne, enseignante à Sciences-Po. Abssi Djamel, psychanalyste. Franck Ancel, psychanalyste. Pr Jeannette Daccache, psychanalyste. Luminitza Claudepierre Tigirlas, psychanalyste. Dr Christian Colbeaux, psychiatre, psychanalyste. Dr Francis Drossart, psychanalyste. Emmanuelle Forner, psychologue, psychanalyste. Annick Galbiati, psychologue (PhD), psychanalyste. Dr Pascale Fauveau, pédopsychiatre, CMPP Anglet. Catherine Grangeard, psychologue, psychosociologue et psychanalyste. Méry Florence, psychanalyste. Benoit Ponsot, psychologue, psychanalyste. Dr Zorka Domic, psychiatre, psychanalyste. Jeannine Duval Héraudet, docteur en Sciences de l'Éducation, membre de L'@psychanalyse. Maria Rosa Pronesti, psychologue clinicienne, psychanalyste. Ghislaine Dubos-Courteille, psychologue clinicienne, psychanalyste. Laure Katrantzis, psychanalyste. Olivia Lustman, psychanalyste. Diego Epherra, psychologue (PhD). Caroline Lambert, psychologue clinicienne, psychanalyste. Suzanne Ferrières-Pestureau, psychologue clinicienne, psychanalyste chercheur Groupe Pandora. Corinne Mascarro, psychologue. Nicole Lamoureux, art-thérapeute, psychopraticienne. Haggiag Ruth, psychanalyste. Abdelouhab Dadou, formation professionnelle Carcassonne. Marina Kousouri, psychologue clinicienne, psychanalyste. Aurore Le Bossé. Michel Fadat, Marseille, ex professeur de lettres-histoire, ancien directeur du centre régional de formation PACA de la PJJ. Jonathan Nicolas, psychologue PhD. Virginie Macaigne, psychologue, psychanalyste. Olivier Lenormand, psychologue clinicien. Florence Landaz, psychologue clinicienne. Sébastien Fournier, éducateur spécialisé, formateur à l'Institut Saint Laurent (Lyon). Claude Déliot. Daniel Sartor, psychologue clinicien, psychanalyste, association 'souffrance au travail du gard' à Nîmes. Michèle Mauris, psychologue clinicienne. Dominique Meunier, psychanalyste. Patricia Brémont, psychologue scolaire. Brigitte Vicario, psychothérapeute psychanalyste. Catherine Franconie, psychologue, neuropsychologue. Dominique Guerin, psychanalyste. Jourdain Marielle, psychologue clinicienne. Christiane Iten, assistante sociale. Sylvie Lyaudet, éducatrice d’orientation psychanalytique, Psychasoc. Claude Geselson, psychanalyste. Aurélia Khorkoff, psychanalyste. Damien Lallemand, psychanalyste et CSAPA(centre en addiction). Laurence Michelle Morvan. Fanny Cornut psychologue clinicienne. Sebastien Firpi. Roland Claverie, dirigeant d’entreprise. Alice Raillard, psychologue clinicienne, hôpital régional universitaire de Nîmes. Cédric Rémy, psychologue clinicien. Bernard Martel, psychanalyste, psychologue clinicien. Sylvie Serasset, psychologue d’orientation psychanalytique. Denis Drouhet, avocat. Gilles Brémont, professeur des écoles. Régine Le Beller, psychologue-psychanalyste. Sylvie Gardien, psychologue clinicienne. Sophie Fleury. Aude de Cornulier, représentante des Usagers au Centre Hospitalier Alpes Isère, accueillante à La Véranda maison Verte d’Echirolles. Bernard Laurence. Marianne Luce-Barbier, psychologue clinicienne. Lilia El Atiq, infirmière psychiatrique. Isabelle Detry, psychologue psychothérapeute. Perle Clauzon, psychologue. Réjane Yvol, psychologue clinicienne. Ingrid Gallienne, formatrice et superviseur d'équipes. Laura Cecotti, psychologue. Claire Fremond, psychologue en psychiatrie à l'hôpital de Montauban.