LAISSEZ  NOUS  SAUVER  NOS  ENTREPRISES

 

Les jardins privés ouverts au public sont assimilés aux parcs et jardins publics. Ils sont donc interdits d’ouverture quand ils sont en zone rouge.

 Mais contrairement aux parcs publics entretenus par l’État ou les communautés, ils sont financés par les entrées de jardin, le travail des propriétaires, des jardiniers.

La plupart ne font aucun chiffre d’affaires entre Octobre et fin mars. En raison du confinement Avril est perdu, Mai est en passe de l’être. Il restera 4 mois pour espérer faire des réserves de trésorerie pour permettre de tenir l’hiver.

 

Vues les circonstances, on sait bien que les conditions ne sont pas réunies pour que l’été qui vient soit prospère.

Empêcher les jardins privés d’ouvrir dès maintenant, c’est les condamner à la disparition.

 

Pourquoi est-il plus risqué d’attraper un virus lors d’une déambulation dans un jardin au plein air que dans un supermarché, un petit musée, ou dans un salon de coiffure ect … ?

 

Pourquoi les propriétaires de jardins seraient moins capables que d’autres d’organiser des visites en respectant les règles sanitaires élaborées par le Comité des Parcs et Jardins de France ?

 

Pourquoi ne pas prendre les français, jardiniers ou autres pour des gens capables de responsabilités, et leur donner leur place dans ce combat contre le virus mais aussi et surtout contre la crise économique qui vient ?

 

Pourquoi ne pas considérer les bienfaits apportés par une promenade dans un jardin comme absolument nécessaires et bénéfiques aussi bien physiquement que psychologiquement après cette lourde épreuve du confinement ?

 

LAISSEZ NOUS NOUS DÉFENDRE. CHAQUE JOUR COMPTE.

 

Monique et Thierry Dronet . Jardin de Berchigranges.

Anthony coussot . Les Jardin des Callunes

Yvon Marchall . Jardin des Panrées