STOP AUX DÉRIVES NÉO-FÉMINISTES

STOP AUX DÉRIVES NÉO-FÉMINISTES

Lancée le
6 juillet 2022
Signatures : 34Prochain objectif : 50
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Pourquoi cette pétition est importante

Les violences envers les femmes sont inacceptables, la parole s’est libérée et nous nous en félicitons. Seulement, elle ne doit pas être détournée à des fins politiques et autres ambitions personnelles. Nous dénonçons un « puissant lobby féministe politisé ».  
En parlant des hommes : « Il faut à notre tour les éliminer » dixit Alice Coffin

Ce « féminisme politique et revanchard »  s’appuie sur le postulat qu'un homme ne peut pas être victime de violences et/ou de discriminations en tant qu’homme.
Ce lobby gagne en puissance au point de jeter le discrédit sur l'ensemble de la population masculine. Il s’agit d’une véritable discrimination de genre. 

Or, nous rappelons que les hommes sont également victimes de violences diverses :

   - violences carcérales ( surpopulation, radicalisation, suicide, agressions, viols…)
   - violences de guerre ( viols, torture, meurtres…)
   - violences liées à l’orientation sexuelle ( homophobie…)
   - violences conjugales ( meurtres, coups, violences psychologiques…)

Ce féminisme qui oppose les femmes aux hommes parle au nom des femmes mais ne représente pas la majorité d’entre elles. Cette instrumentalisation politique des violences sexuelles est devenue le fonds de commerce de ces « ultra néoféministes » s'appuyant sur le tribunal populaire.

Les caisses des multiples structures féministes sont bien remplies, le business de la violence rapporte. Évidemment, peu contesteront les louables intentions féministes : hurler au loup le plus fort possible pour attirer la bienveillance des foules et pousser le gouvernement à investir massivement pour réduire la violence conjugale.  

Caroline De Haas  en contribuant à faire adopter un texte de loi obligeant le secteur public à financer des formations contre le harcèlement, s’est assurée un marché comme consultante. Son cabinet de conseil est allé jusqu’à tutoyer un chiffre d’affaires de 600 000 euros annuel, issu en grande partie de fonds publics, provenant notamment du ministère de la Justice.

Se porter sauveur des femmes victimes et ne pas prendre en compte l'égalité dans la violence brise les principes même d'une idéologie à l’origine louable. 

Ce « lobby féministe »  a le devoir, à présent,  d'assumer le fait que ses troupes, jouissant d'une  véritable citoyenneté, doivent désormais s’éloigner de cette volonté victimaire. L'attitude irresponsable de certaines représentantes de mouvements féministes politisés est extrémiste.

Une accusatrice n'est pas « de facto une victime ». Seule une décision judiciaire le permet. Il existe un véritable déséquilibre des considérations dans notre société actuelle.  La présomption d’innocence demeure une règle de droit, un fondamental qu'il ne faut pas oublier.  

L'affaire Tissier/Coquerel en est une triste et parfaite illustration comme tant d'autres. Une militante a dénoncé en la personne d’Eric  Coquerel des faits « offensant, harcelant ». Elle a indiqué à Médiapart que les faits n'avaient pas un caractère répréhensible par le droit pénal avant de se raviser et de déposer plainte. Elle profite de l'espace médiatique dédié pour régler des comptes. Nous déplorons que la cause féministe soit ainsi détournée de ses objectifs.  

Nous invitons les « potentielles victimes » de viols et agressions sexuelles, à toutes   « dénoncer leurs agresseurs  » dès à présent et ne pas attendre qu’une personne occupe un poste clef pour le faire ! Ceci afin d’éviter que le discrédit ne vienne davantage salir la parole des victimes.

Nous appelons aussi  les hommes victimes de violences sous diverses formes à témoigner sous le hashtag : #MoiAussi 

Nous demandons à Isabelle Rome, ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, de prendre à présent en considération la parole des hommes victimes de violence et de discrimination. Il n'y a pas d'un côté les gentilles femmes et de l'autre côté, les méchants hommes machos qui les traitent mal. L’existence médiatique exclusive aux violences faites aux femmes efface celles faites aux hommes et devient de facto une discrimination de genre.

La honte et/ou la peur ne doit pas changer de camp mais tout simplement disparaitre peu importe le sexe en question. 

Élisabeth Badinter avait pourtant mis en garde sur la fausse route sur laquelle elles s'étaient engagées. En accédant au « statut d’intouchables » elles s’excluent elles-mêmes d'une société qui  leur  ouvre les portes de l'égalité. 

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