Rendez justice aux victimes d'AVC liés à la pilule.

Rendez justice aux victimes d'AVC liés à la pilule.

1 050 ont signé. Prochain objectif : 1 500 !
Lancée le
Adressée à
Monsieur Olivier Véran (Ministre des Solidarités et de la Santé) et

L'importance de cette pétition

Lancée par Florence BAGARRY

Que ce soit pour réguler les hormones, traiter l’acné ou plus couramment pour ne pas tomber enceinte, de nombreuses femmes à travers le monde prennent une pilule contraceptive. Mais cette dernière n’est pas destinée à toutes. 
Pour preuve, en 2007, ma fille a frôlé la mort à l'âge de 25 ans en raison de sa pilule contraceptive, comme de nombreuses jeunes femmes. Elle a eu un Accident Vasculaire Cérébrale ischémique après avoir pris une pilule de 4ème génération, Jasminelle, réputée pour être « moins dosée», en réalité plus dangereuse que les précédentes. Plus on avance dans ces générations de pilule,  plus le pourcentage de décès, d’AVC et d'embolies pulmonaires augmente chez les patientes. Les pilules de 3ème et 4ème génération, qui contiennent de la drospirénone combinée à de l'éthinylestradiol, multiplient les risques par 4 selon une étude anglaise récente. Les conséquences en sont désastreuses : décès ou hémiplégie, aphasie, troubles de l'élocution, de la mémoire, de la vision, déficits moteurs, épilepsie, dépression, etc.

Ma fille vivait en couple, travaillait, mangeait sainement, n'avait eu aucune maladie grave et ne prenait aucun médicament, à part la pilule depuis une semaine.

Mais elle fumait, alors sa gynécologue n'aurait jamais dû lui prescrire la pilule. On sait depuis le début que l'association pilule-tabac agit comme une bombe chimique. La gynécologue l'a pourtant encouragée à la prendre alors qu'elle demandait un stérilet au cuivre (DIU) : "C'est une pilule spéciale pour les fumeuses". Le risque de faire une thrombose est connu depuis la mise sur le marché des pilules, mais les labos occultent la vérité pour les services qu'elle rend, c'est aussi une manne financière pour eux. 

Les autorités médicales savent que les pilules causent des morts et des accidents par milliers dans le monde, mais aucune étude n'est publiée, et ces pilules sont toujours prescrites à toutes jeunes femmes, fumeuses ou pas.

Huit jours après la première prise, dans la nuit du samedi au dimanche, ma fille se trouve brutalement incapable de parler, avec la moitié de son corps paralysé. Elle est devenue brusquement aphasique et hémiplégique. 

Arrivée en urgence au service neurologique de l'hôpital Saint-Anne, elle suit un examen biologique complet : on lui découvre dans le cœur un foramen ovale perméable (fop), comme 25 % de la population, ce n'est pas grave. Les artères de ses jambes et de son cou ne présentent pas de passage thombo-embolique. Le caillot de sang s'est donc formé dans son cerveau, dans la zone de Broca. 

Sur le bulletin de sortie de l'hôpital, le neurologue écrit: "AVC, cause indéterminée". Qu'est-ce qui a provoqué la formation de ce caillot dans le cerveau ? D'un point de vue scientifique, il n'y a pas d'effet sans cause ... Pourquoi les médecins et les Laboratoires ne reconnaissent-ils pas l'AVC comme un effet secondaire de la pilule ?

Aujourd'hui, les médecins ont l'obligation d'informer leurs patientes des risques et de leur proposer d'autres modes de contraception ou, si elles choisissent la pilule, de leur prescrire un test sanguin avant la première prise. Mais les leaders des Laboratoires pharmaceutiques "achètent" les médecins pour qu'ils continuent de vanter les "avantages" de ces pilules dangereuses. La raison est que leur chiffre d'affaires passe avant la vie des jeunes femmes: "Les avantages sont supérieurs aux risques", "le taux d'accidents est faible", affirment-ils !  Ils savent que ces comprimés peuvent tuer mais ne reconnaissent pas officiellement les aléas thérapeutiques .

130 plaintes ont été déposées au Tribunal de Grande Instance visant 29 marques de pilules en janvier 2013, juste après celle de Marion Larat, la lanceuse d'alertes. Plus de 1700 cas d'accidents ont été déclarés à l'ANSM. Depuis 2013, l’enquête préliminaire du tribunal est toujours en cours, et le Procureur de la République n'a pas encore nommé de Juge d’instruction.

Nous réclamons que toute la lumière soit faite au Tribunal pénal, que les victimes handicapées et les familles des disparues soient indemnisées. Qu'un bilan sanguin soit fait par le médecin avant la première prise. Nous souhaitons aussi alerter les jeunes femmes des dangers de mort, d'embolie pulmonaire et d'AVC.

https://youtu.be/XDTrDtlL7Qo?t=6m40s

Il existe heureusement des moyens de contraception sans hormones, donc sans danger.

Si vous êtes une victime ou le parent d'une victime, votre témoignage est essentiel ci-dessous. Faites circuler la pétition à vos proches et dans les réseaux sociaux.

1 050 ont signé. Prochain objectif : 1 500 !