En plein mois de juillet, nous les finissants 2022, sommes supposé recevoir notre notes ministérielles de français pour savoir si nous avons chacun ou chacune notre DES ou devoir faire des cours d'été pour le recevoir, mais malheureusement le ministère de l'éducation a eu beaucoup de retard au sujet de la remise. Pourtant plusieurs chose ne concorde pas ensemble. Le fait que la plus part des élèves n'ont toujours pas reçu leurs notes et que beaucoup ont échouer leur français à cause de l'examen qui devait supposément valoir pour 20% de l'écriture dans le bulletin selon les prof de secondaire 5.

Cependant, d'après le peu d'élèves qui ont reçu le résultat final, l'examen ne valait absolument pas 20% d'après la façon que les notes on chuté. Par exemple un élèves avec 75% dans le bulletin fini avec un 50% à cause de l'examen, cela est terriblement irréaliste.

En plus, même si qu'un élève aurait souhaité faire des cours d'étés pour améliorer sa note, ça n 'aurait pas été possible car nos notes nous ont été remise le jours de la fin des inscription aux cours. Car bien sûr remettre les notes le 11 juillet à 16h quand la date limite c'est le 11 juillet à 16h30 c'est une bonne idée.

De plus, après que nous ayons vécu 2ans et demi de covid-19 que cela est aggraver la facilitée d'apprentissage des élèves. Entant que finissante j'ai put constater des profs prenant pas au sérieux leur travail et de la mauvaise gestion des examens, comme la perte de temps, le manque de document d'examen pour les élèves, les mauvais locaux assigné et bien d'autres encore.

Pour résumer beaucoup d'élèves prometteur avec des notes exceptionnelles ne pourront pas avoir leur diplôme juste à cause d'un petit examen d'écriture qui devrait réellement valoir pour 20% de la note. Donc, une révision correcte ou une annulation de la note devrait être prise en considération pour le bien des élèves. Sinon, 5 années d'efforts seront gâché par un ministère ne sachant pas, d'après eux, comment éviter le décrochage scolaire chez les élèves. Un grand merci au ministères de l'éducation.