La Place CAPOUILLET, au cœur du quartier du CHENOIS à WATERLOO, s'apprête à faire l'objet d'une revitalisation urbaine, à l'initiative de la commune de WATERLOO. Et c'est une excellente nouvelle. L’enquête publique ("Annonce de Projet") est annoncée du 16 au 30 août !

MAIS le projet défendu par la Commune de Waterloo n'est PAS acceptable car il :

1.     est totalement opposé aux attentes des riverains, lesquels prônent un « sens giratoire » (situation existante) autour de la Place (souhait très nettement plébiscité par ceux-ci via un sondage citoyen en mai 2021 à plus de 79% dont la commune ne tient pas compte), ce que le projet supprime ;

2.     provoque un déséquilibre flagrant entre les 2 côté de la Place, l’un « apaisé » du côté de la Promotion Immobilière « Ilot Capouillet » (pas de flux voiture, pas/peu de parking, zone piétonne) et l’autre « ultra passant » (double flux voiture et 90% des places de parking) ;

3.     offre nettement moins de parking ET des places bien trop étroites (2m00 au lieu de 2m50, ce qui rend le stationnement quasi impossible sans endommager son véhicule !) ;

4.     propose des places de parking à angle droit (et non en épi), sur un axe à double sens, situation très accidentogène lors de manœuvres ;

5.     n’a fait l’objet d’aucune étude d’incidence sur la modification profonde des flux automobiles ni de l’écoulement des eaux de pluie sur une place en pente avec des trottoirs de plain-pied, ni même de la venue de nouveaux habitants dans le quartier avec plus de 28 appartements neufs et 1 commerce (« projet « Ilot Capouillet ») ;

6.     des voiries beaucoup trop étroites que pour permettre le passage et les manœuvres de semi-remorques, pourtant réguliers, venant livrer le magasin Carrefour ;

7.     N’intègre aucun élément propice à la mobilité douce et à l’écologie moderne (aucune piste cyclable, aucune borne de recharge électrique alors que la place sera éventrée durant les travaux) ;

8.     Le projet reste très minéral et offre peu de terre-pleins de verdure ;

9.     Les riverains disposent tous de jardins, et ne sont pas demandeurs d’une zone de rencontre devant chez eux qui ne leur apporterait que des nuisances, ce que la réalité démontre déjà aujourd’hui ;