Oui à l'intégration du Bitcoin dans le système de paiement de l'Union Africaine.

Oui à l'intégration du Bitcoin dans le système de paiement de l'Union Africaine.

112 ont signé. Prochain objectif : 200 !
Lancée le

L'importance de cette pétition

Lancée par PDG OLUSHOKPE

Le taux de bancarisation le plus élevé dans l'espace UEMOA est de 25%, dans un monde où la mondialisation est confrontée à de multiples défis en matière de confiance non seulement au niveau des institutions étatiques mais aussi au niveau des institutions internationales. 

En Afrique de l'Ouest, les compagnies de téléphonie mobile qui prônent l'émission de la monnaie électronique surtaxes les populations avec des frais de transaction injustes et exorbitants. Les populations africaines subissent non seulement ces frais injustes mais aussi l'insécurité du système d'émission de ces opérations de téléphonie mobile qui gèrent le nouveau mode de paiement électronique en Afrique de l'ouest dénommée Mobile Money. Des cas d'escroquerie via ce système de paiement dénommé Mobile Money qui ne cessent d'être enregistrés de jour en jour depuis des années.

Des particuliers qui sont des marchands se font vider leur capital en un rien de temps par des escrocs depuis des années sans aucune compassion ni assistante aux victimes d'escroquerie via mobile Money.

Vue l'importance de la monnaie électronique dans le commerce de nos jours, il est donc clair que les moyens de paiement électronique sont très pratiques et efficaces dans les échanges commerciaux. 

Cependant, de l'nclusion financière, de la sécurité à la lutte contre la fraude et le blanchiment d'argent, le mobile Money reste un système de paiement centralisé avec de nombreuses victimes et donc inefficace.

Le Bitcoin est un système expérimental de transfert et de vérification de propriété reposant sur un réseau de pair à pair sans aucune autorité centrale. 

L'application initiale et l'innovation principale du réseau Bitcoin c'est une monnaie numérique décentralisé dont l'unité de compte est le bitcoin.

Bitcoin fonctionne avec des logiciels et un protocole qui permet aux participants d'émettre des bitcoins et de gérer les transactions de façon collective et automatique. En tant que protocole libre (code source ouvert), il permet également une interopérabilité des logiciels et services qui l'utilisent. En tant que monnaie le bitcoin est à la fois un intermédiaire de paiement et une réserve de valeur.

Bitcoin est conçu pour s'auto réguler. L'inflation limitée du système Bitcoin est distribuée de façon homogène par puissance de calcul à travers le réseau, et sera limitée à 21 millions d'unités divisibles jusqu'à la huitième décimale. 

La possession de bitcoins est matérialisée par une suite de chiffres et de lettres qui constituent une clé virtuelle permettant la dépense des bitcoins qui lui sont associés sur le registre. 

Le Salvador l'a fait, la Centrafrique l'a fait, l'Afrique de l'ouest peut le faire également. 

 Le Bitcoin va faciliter l'inclusion financière en Afrique de l'ouest en améliorant le taux de bancarisation en Afrique de l'Ouest. Sachant que plus de 64% de la population de l'Afrique de l'ouest à moins de 24ans, l'adoption du Bitcoin en Afrique de l'Ouest va accélérer l'accès au service financier pendant les 5 prochaines années de 25% à 70% des populations africaines. Cela permettra à l'Afrique d'être compétitive sur le plan du marché mondial et accroître la productivité locale. Les familles seront gagnantes et le PIB africain connaîtra un pic historique. 

Les Etats africains doivent permettre aux populations africaines d'avoir les mêmes chances que l'Occident, l'Europe et l'Asie. 

l'Afrique doit promouvoir son secteur numérique dans un monde numérique pour être compétitive sur le plan de la sécurité informatique et du paiement numérique. 

La jeunesse africaine est prête à travailler dignement pour promouvoir les technologies africaines. Le Bitcoin reste la solution idéale pour inciter les jeunes africains à l'œuvre. 

112 ont signé. Prochain objectif : 200 !