Nicky Menga Barcelone et ses deux filles, victimes de cyber-harcèlement/cyber-violence.

Nicky Menga Barcelone et ses deux filles, victimes de cyber-harcèlement/cyber-violence.

0 a signé. Prochain objectif : 1 000 !
Quand elle atteindra 1 000 signatures, cette pétition aura plus de chance d'être inscrite comme pétition recommandée !
Lady LPK a lancé cette pétition adressée à Monsieur le Président de la République Emmanuel Macron, et à

Nous vous demandons d’agir, de mettre de l’ordre sur internet, et de vous attaquer au cyber-harcèlement et à la cyber-violence qui sévissent de plus en plus, dont sont victimes en ce moment, une jeune femme du nom de Nicky Menga Barcelone avec ses deux filles, Keyna et Kelyah Ipupa qui vivent en France.

Brièvement.. la sœur d’un chanteur congolais mondialement connu a décidé d’exposer sur la toile une histoire familiale afin d’humilier et de ridiculiser publiquement l’ex-épouse de l’artiste ainsi que leurs deux filles. Exposer ainsi Nicky Menga Barcelone sur les réseaux sociaux, était animé par la volonté de lui nuire et de la livrer à la vindicte populaire, au regard de la célébrité de l’artiste, de son influence au Congo et de ses nombreux fans qui se nomment les Warriors (guerriers).

 Il se dit que des chroniqueurs auraient été payés pour orchestrer cette lapidation publique sur internet et, faire relayer de fausses informations au sujet de la jeune femme et ses deux filles. Nicky Menga Barcelone, qui était dans l’ombre, est devenue une personnalité publique malgré elle. Désormais, elle est traquée de toutes parts, telle une cible à « abattre ». 

Plus inquiétant encore, à ce cyber-harcèlement, s’est ajoutée de la violence. Nicky Menga Barcelone et ses filles sont régulièrement menacées. Nicky Menga Barcelone est même inquiétée sur son lieu de travail, où des individus l’auraient cherchée en menaçant de lui planter un couteau. La jeune femme ne peut plus sortir seule de chez elle.  

Quand la chroniqueuse Marie L’or Muaka, qui est capable d'avoir 20 à 30 mille vues par émission, diabolise et présente Nicky Menga Barcelone comme une folle et bipolaire, imaginez les dégâts sur l’image, la réputation et l’honneur de Nicky Menga Barcelone.

L'université où étudie la jeune Keyna Ipupa a également été dévoilée sur Facebook par ces mêmes chroniqueurs. Imaginez le danger encouru par la jeune fille.

En plus du harcèlement et de la violence subis par les victimes, la médiatisation de l’affaire Nicky Menga Barcelone pose la problématique de la rémunération des vues par Youtube. Cette manne financière tant recherchée qui profite à quelques chroniqueurs qui ne travaillent pas, n’apportent rien à la société, ne paient pas d’impôts, mais dont la spécialité malsaine est l’exploitation de la terreur, la recherche du buzz, la division, la délation, la diffamation, la vengeance, l’humiliation, le harcèlement, la violence et l’instauration de la culture des randos (rando : nouvelle expression kinoise pour désigner les disputes sur internet).

Voici quelques chroniqueurs qui ont largement contribué à provoquer ce cyber-harcèlement et cette cyber-violence contre Nicky Menga Barcelone, Keyna et Kelyah Ipupa : Marie l’Or Muaka au 00.438.978.3561(Canada) ; Carine Mokonzi  au 00.32.466.11.75.61 et 00.33.6.65.46.67.95 (France et Belgique) ; Cofax et Baleine de la presse avec leurs  trois chaines au Maroc : Rose Bonbon officiel au 00.212 709 347 112, Ave Maria au 00.212.698-440589 et 4GNews génération au 00.212.698.440589 ; Ese de panama TV au 00.33.65.94.59.127 (France) ; Cœur sensible TV au 00.49.1521.0378628 (Allemagne) ; Ofera Realite Mama Kongo TV au 00.3.7.51.52.78.75 (France) ; Sarah Tola TV au 00.243.823.871.733 (RDCongo) ; Demeure Niangi sur Demeure officiel TV au 00.243.813.726.458 (RDCongo) ; Tata Pau (PaulaClosetfr) aux Etats-Unis ; MAMAN MAPASA NUMBER one officiel TV (France/Belgique) ; Arme Lourde Télévision au 00.33.7.58.21.57.17 (France) ; Angelica M TV au 00.243.979.251.009 (RDCongo) et La-Mama sur Facebook.

Quant aux deux chroniqueurs vivant au Maroc, Cofax et Baleine de la presse. Ils ont trois chaines qui fonctionnent comme une usine dont le seul but est d’attaquer, de diffamer, de salir Nicky Menga Barcelone, et de saboter tous ses projets.

Nicky Menga Barcelone vient de créer courageusement une association  pour venir en aide aux enfants, femmes et  personnes défavorisées au Congo et en Afrique. Elle a ainsi pu collecter et envoyer des cartables, des crayons, et d’autres articles nécessaires pour la rentrée scolaire 2021 de plusieurs enfants au Congo Kinshasa et Brazzaville. Ces mêmes chroniqueurs via leurs chaines, continuent de la diffamer, et de la salir dans le but d’inspirer de la méfiance auprès de futurs donateurs et sponsors susceptibles de financer son association. 

Dans l’émission Rose bonbon officiel de Cofax, un fan qui a pour pseudo Super Lemba dit à Cofax en riant : « vous allez tuer Nicky, Cofax (Boko boma nicky cofax) », « Cofax, met la pression à Nicky (cofax pesa nicky tension) », alors qu’un autre fan avertit Cofax : « Si Nicky meurt de tension/pression, tu feras de la prison, continue de courir après l’argent (soki Nicki á kufi na thation yo okokende prizon landa kk mbongo ya y) ». Au Congo, la tension désigne aussi l'hypertension artérielle. 

Quant à la jeune Keyna Ipupa, elle est régulièrement la cible de ces chroniqueurs qui font des émissions sur elle. Keyna est une jeune fille de 20 ans qui fait des études et, à ses heures perdues, s’amuse avec ses amies comme toute jeune fille de cet âge. La voici maintenant plongée dans la violence  d’un monde virtuel  où des chroniqueurs hargneux et haineux prennent du plaisir à l’attaquer, à la harceler et à salir sa réputation. La-Mama, sur Facebook, a demandé un test ADN au sujet de Keyna Ipupa, prétextant qu'elle n’est pas la fille de l’artiste Fally Ipupa. Sarah Tola, Marie L’Or Muaka, Cofax, Ese de Panama, etc... ont été particulièrement virulents et méchants vis-à-vis de la jeune fille. Il se dit qu’à la suite de ce harcèlement, la jeune Keyna aurait tenté de se suicider. Cependant, ces chroniqueurs insensés continuent de faire leurs émissions diffamantes et dégradantes. Jusqu’où ira la folie de ces chroniqueurs censés être des adultes, mais qui s’acharnent sur une jeune fille de 20 ans ? Il arrive aussi que des inconnus envoient des messages à Keyna Ipupa, sur Instagram, pour insulter sa mère, Nicky Menga Barcelone.

Pour la sécurité de tous, et pour que ce cyber-harcèlement et cette cyber-violence ne deviennent un mode de fonctionnement mettant en danger les hommes et les femmes de tous horizons, comme Nicky Menga Barcelone et ses filles, Keyna et Kelyah Ipupa, Nous demandons aux Dirigeants de mettre de l’ordre et de combattre ce fléau né sur internet par des esprits sans scrupules. 

Nous demandons aux Dirigeants de mettre de l’ordre afin que des chroniqueurs qui ont décidé d’avoir comme fonds de commerce la haine, le harcèlement, la violence, l’humiliation, les attaques de toutes sortes, la diffamation et la mise en danger de la vie d’autrui prennent conscience qu’ils ne sont pas au-dessus des lois et du savoir-vivre en société. Nous ne pouvons pas non plus tolérer que ces gens gagnent leur vie en détruisant et ruinant celle des autres.

Qu’il soit virtuel ou réel, le monde a besoin de limites et de cadres pour que les libertés, les droits et la paix des autres ne soient pas piétinés. Les kinois disent, « internet eza église te » (internet n’est pas une église). Mais internet ne peut pas non plus devenir un no man’s land.

L’incitation à la haine et à la violence et, le harcèlement sur internet ne bâtissent rien, et dans bien des pays, ils constituent un Délit puni par la LOI

Lady LPK, pour la sécurité, le respect et les droits des femmes du monde.

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