Santé: pour le RETOUR des médicaments préventifs. NON aux antibiotiques à répétition !

Santé: pour le RETOUR des médicaments préventifs. NON aux antibiotiques à répétition !
Nombreux sont les patients à avoir connu les immunostimulants, ces médicaments préventifs (Ribomunyl, Biostim et Imocur) évitant les angines, toux à répétition, etc...
Grâce à ces médicaments, finis les passages répétés chez le médecin puis l'ORL, pharmacien sans compter fatigue, arrêt de travail et surcoût pour la sécurité sociale.
Un des points communs avec le combat des gilets jaunes (pour un meilleur pouvoir d'achat) est l'indifférence et le mépris que j'ai subis (depuis mai 2018) de la part de nombreux députés français et européens à qui j'ai écrit.
Je pensais qu'ils étaient à l'écoute du peuple et que c'était leur devoir d'agir pour cela.
Un seul député européen m'a répondu (sur plusieurs centaines !!!!) en confirmant mes recherches.
Soit les uns m'ont ignoré totalement, soit d'autres (et pas des moindres) m'ont carrément bloqué (mail personnel puis ligne internet IP). Censure ?
Ces médicaments ont été injustement retirés du marché français (seulement) en octobre 2005 par l'ANSM pour de mauvaises raisons (j'y reviendrai une autre fois).
On pouvait encore en trouver jusqu'à fin 2017 dans de nombreux pays européens ou du reste du monde.
Pas facile de s'en procurer (prix et voyage aller retour à l'étranger) mais la santé n'a pas de prix !
En ce qui me concerne je ne suis quasiment jamais malade depuis 1986 grâce au Ribomunyl alors qu'avant de le prendre, j'avais des angines et toux récurrentes !
Depuis fin 2017, le laboratoire Fabre (qui continue de le fabriquer en France) a décidé de stopper la commercialisation dans toute l'Europe (problème de fin de brevet ?...).
Faudra-t-il aller se procurer du Ribomunyl en Argentine (dans ce cas il se prénomme Ribovac), en Algérie ou en Russie ?....pays où la vente continue normalement.
Alors que l'antibiorésistance fait 12500 morts par an en France (et plus de 25000 en Europe), l'OMS et de nombreux chercheurs voient dans les produits préventifs un moyen simple et complémentaire au vaccin d'y remédier.
A condition de le développer et de le faire savoir.