Nous  avons besoin de vous !

En bref, nous ne voulons pas que la traverse ROQUEPIN qui est une voie privée, entre dans le domaine public.

Nous sommes étonnés que cette démarche qui aura des conséquences importantes sur la circulation des véhicules le long de la route des trois Lucs à la Valentine n’ai pas été pas mise à l’ordre du jour d’une réunion extraordinaire du CIQ . Nous sommes également étonnés que le terme de déserrance soit employé pour qualifier le terrain permettant l’accès à la route des trois Lucs à la Valentine : Les propriétaires décédés, ont des héritiers ! 

Les conséquences de l’ouverture au domaine public de cette voie privée sont nombreuses, certaines ne sont pas encore explicitées.  Cependant, quotidiennement nous pouvons constater que sur cette route des 3 Lucs à la Valentine,  étroite, sans trottoirs, fréquentée malgré les interdits de tonnages par des poids lourds, à risque majeur d’effondrement,  les désordres sont nombreux .Ils n’ont jamais été pris en compte aussi bien par les instances administratives que par les instances associatives telles que le CIQ.

Nous nous opposerons à un tel projet tant qu’un plan de circulation cohérent ne sera pas mis en place avec la participation de l’ensemble des habitants et des commerçants du village. Ces usagers ont subi sans aucune concertation de nombreuses agressions tant sur le plan de la dégradation des paysages que de la qualité de vie. Tout a commencé par le percement du CD4 et s’est poursuivi par une volonté d’urbanisation anarchique de la précédente équipe municipale (pour laquelle l’agence nationale anticorruption diligente une enquête). L’augmentation de la fréquentation automobile n’a pas pris en compte le déplacement des piétons et leur sécurité (pas de passages piétons suffisant,  pas de trottoirs, pas de régulateur de vitesse, etc.), l’usage d’autres moyens de circulation.

Nous vous demandons au Maire de sursoir à cette demande et de faire une large place à une véritable concertation citoyenne ne se limitant pas à la seule audition d’une instance de quartier peu représentative.