Non à la disparition du service public postal 

Tous les habitants de nos communes rurales du « pays de Licques » (12 communes 6200 habitants) sont touchés par les restructurations imposées par la direction de la poste qui, en réduisant les amplitudes horaires, fragilisent nos territoires ruraux, les rendant moins attractifs.
Chaque année, l’État met à disposition un fond national de 170 000 000€ pour le maintien du service postal en milieu rural. Par ailleurs, en trois ans, la direction de la poste a touché près d’1 000 000 000 € de l’État au titre du CICE (crédits d’impôts compétitivité emploi)… et supprimé des dizaines de milliers d’emplois.

Les seuls actionnaires de la poste sont l’État  et la caisse des dépôts et consignations pour le reste. 

Nous demandons l’abandon de toutes les mesures de fermeture de bureau de poste (partielle ou totale)