Justice pour marlon

Justice pour marlon
DÉCÈS D’UN BÉBÉ ÂGÉ SEULEMENT DE 1 AN À L’HÔPITAL JEANNE EBORI DE LIBREVILLE DE SUITE DE NÉGLIGENCE DES MÉDECINS ET DU PERSONNEL SOIGNANT.
Le bébé de 1 an a passé deux jours sans manger à l’hôpital Jean Ebori en soin intensif alors qu’il n'a bénéficié d’aucun soin.
Les faits commencent jeudi dernier à l'hôpital militaire de Libreville.
Le bébé a été victime d'un accident domestique. Et les deux jeunes parents se sont précipités à l'hôpital militaire de Libreville où le bébé a reçu les premiers soins puis le corps médical a dit aux deux jeunes parents qu’il n'y avait plus de place dans leur structure pour hospitaliser le bébé. Vive l’émergence à deux balles d’Ali Bongo dans un pays de moins de 2 millions d’habitants il n’y a pas de place pour hospitaliser un bébé d’un an seulement.
Donc les médecins et le personnel soignant de l’hôpital militaire ont prié aux jeunes parents du bébé de rentrer chez eux avec leur enfant et de avenir tous les matins pour les soins. Sans savoir que la situation allait empirer.
Seulement voilà, une fois à la maison le bébé n'a pas cessé de pleurer, les jeunes parents totalement désemparés étaient encore obligés de se rendre à nouveau à l'hôpital militaire, Le personnel de garde a changé de nouveau un des pansements du bébé tout en demandant aux jeunes parents de repartir à la maison avec leur bébé ça va aller !!!. Ce que les jeunes parents totalement ont eu à faire avec leur bébé.
Aux environs de 1h du matin l'enfant était en détresse respiratoire donc les jeunes parents du bébé ont fait un 3e tour à l'hôpital militaire avec l’enfant malgré ce couvre-feu interminable en vigueur au Gabon alors qu’il n’y a que 21 cas actifs selon les propres chiffres des imposteurs qui ont pris le Gabon en otage.
Malheureusement, les parents du bébé ne seront pas reçus par les médecins de garde et le personnel soignant de l’hôpital militaire cette même nuit sous prétexte qu'ils avaient déjà fait tout ce qui est a leur pouvoir pour soigner le bébé. Etant donné que l'hôpital militaire ne voulait plus les recevoir les parents et le bébé dans la nuit du jeudi 5 au vendredi 6 août à 1h du matin se sont rendus avec leur bébé à l’hôpital Jeanne ebori de Libreville. Là-bas en bonne clinique ils vont exiger aux jeunes parents du bébé de l’argent pour l'admission du bébé dans leur clinique pour ne pas dire hôpital car il faut se dire les vérités Jeanne Ebori est une clinique parce qu’il faut payer avant d’être soigné.
Après le payement d’une caution, le bébé été admis aux soins intensifs. Le bébé va juste recevoir les soins à son arrivée à Jean Ebori après plus rien. Le deuxième jour donc le samedi 07 août aucune surveillance ni de soins pour le bébé pourtant en soin intensifs à Jean Ebori. Ce malgré l'interpellation du personnel de santé de cet hôpital par les parents du bébé et sa grand-mère. Même seulement venir veiller de temps en temps sur le bébé malade et lui prodiguer des soins c’était trop leur demander.
Mieux, le bébé restera deux jours sans manger. Le samedi au 3ème jour de l’hospitalisation du bébé à l’hôpital Jean Ebori les mêmes scènes vont se répéter donc pas de soins au bébé et pas non plus de nourritures pour lui. Et l'enfant manque. Le dimanche le bébé finit par rendre l’âme comme d'habitude c’est là que le personnel soignant de Jean Ebori va vouloir jouer aux médecins après la mort.
Selon nos informations les blessures des brûlures du bébé demandaient un pansement quotidien jusqu’aux premiers résultats de guérison.
Alors que le bébé âgé d’un 1 an seulement n'a pu bénéficier depuis le jeudi à l'hôpital militaire jusqu’au dimanche à Jeanne ebori avant son décès d’aucun pansement ni surveillance médicale pour lire les constance du bébé afin de déterminer l'évolution de sa santé.
C’est un jeune père qui passait par là en salle de soins qui constatera malheureusement que son bébé âgé d’un an ne bouge plus et c’est à ce moment qu’il a lancé des cris de détresse à plusieurs reprises avant que les assassins déguisés en robes blanches viennent jouer la comédie. Est-ce que comme ça c’est bien ?
Est-ce Fefe ONANGA, MASSAVALA, RENE NDEMEZOZO etc… qui ont rejoint les rangs du PDG voient-ils tout le mal qu’Ali Bongo fait subir aux Gabonais avec ses pseudo structures médicales comme Jean Ebori dont il est actionnaire ???