#URGENCECOVID19: Tester en masse, traiter à la chloroquine
#URGENCECOVID19: Tester en masse, traiter à la chloroquine

La crise sanitaire due à l'épidémie de coronavirus SARS-CoV-2 dont les formes les plus aigües peuvent entrainer le décès des malades révèle un dysfonctionnement majeur des dispositifs d'alerte sanitaire et des chaînes de décisions.
Ainsi, au delà du délabrement de ce que fut autrefois l'un des meilleurs systèmes de santé au monde et depuis victime de la "rationalisation budgétaire", cette épidémie nous a révélé un gouvernement occupé à tout sauf à évaluer la réalité d'une menace ni même à y préparer le pays.
Ainsi. Madame Agnès Buzin, bien que consciente du danger dès le mois de janvier, a préféré satisfaire une ambition personnelle en quittant ses fonction pour se présenter aux élections municipales.
Ainsi. Le gouvernement, tout occupé à faire passer son impopulaire réforme des retraites, n'a pas développé de politique massive de tests et de confinement des personnes infectées comme l'a fait la Corée.
Ainsi, il ne s'est pas assuré de la présence de masques, respirateurs, etc, utilisant même un conseil des ministres dédié au coronavirus pour faire passer la réforme des retraites en utilisant l'article 49.3.
Ainsi. En minimisant continuellement la réalité de l'épidémie jusqu'à se trouver acculé par la tragique réalité en décrétant en toute impréparation le confinement sans y avoir préparé l'opinion ni même l'économie.
VOTRE GOUVERNEMENT N'A RIEN APPRIS DE LA CRISE DU VIH-SIDA
Dors et déjà, les hôpitaux, particulièrement dans le Grand Est, sont surchargés.
Dors et déjà, les personnes présentant des symptômes sont invitées à se confiner, ne pas sortir sans pour autant être testées ni même rassurées, certaines pourtant présentant des maladies pré-existantes.
Dors et déjà, le manque de masques, de blouses, de respirateurs, de lieux d'accueil est manifeste et le SAMU est surchargé.
Et on nous annonce que ce n'est que le début. Des milliers de morts sont désormais envisagés. Vous vous y résignez.
Ce quinquennat, dont on nous annonçait qu'il serait celui d'une réconciliation des citoyens avec la politique, a non seulement jusqu'ici aggravé les fractures par un déni total de l'écoute ainsi que par une arrogance permanente envers ceux "qui ne sont rien", réduits à n'être qu'une plèbe sans valeur comme quand ils sont appelés par la hautaine Madame Pénicaud, bien à l'abris dans son ministère, à se sacrifier en allant travailler coûte que coûte, la peur au ventre, sans protection. Facteurs, caissières, personnel d’entretien des hôpitaux, artisans du bâtiment, infirmières de ville...
Vous semblez vous résignez à l'hécatombe. Nous, ceux "qui ne sont rien", nous ne pouvons pas l'accepter.
Bien que vous resterez comptables de tous les morts et de toutes les souffrances qui auraient pu être évitées si vous aviez choisi de tester en masse, d'informer et de ne pas affirmer avec ignorance que le masque ne protégeait pas, vous avez l'opportunité historique de changer ET le cours de l'épidémie ET la perception de votre (in)action.
Le Professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée Infection de Marseille et membre du Conseil Scientifique dédié au Coronavirus, faisant suite à des essais concluants réalisés sur des centaines de malades en Chine, est parvenu à travers un essai sur 24 patients à prouver l'efficacité d'un traitement combinant deux médicaments dont les caractéristiques sont connues depuis des dizaines d'années:
- Hydroxychloroquine (anti-paludique mais de plus en plus utilisé contre les virus émergents), à raison de 600mg deux fois par jours pendant 6 jours.
- Azithromycine (antibiotique, dans le but d'éviter une co-infection), à raison de deux cachets le premier jour, puis un cachet par jour pendant trois jours.
Les effets secondaires de ces deux médicaments sont connus, maitrisés, documentés du fait de leur ancienneté. Ils ne sont pas dangereux.
Les essais en Chine ont été concluants. Les essais à Marseille ont été concluants. Divers laboratoires dans le monde ont commencé des études. Jusqu'au président Trump, en pleine confusion suite à une gestion de l'épidémie encore pire qu'en France, qui décide de s'y raccrocher.
Le laboratoire Sanofi est prêt à délivrer autant de doses possibles et a annoncé être prêt à faire don de son stock.
Et pourtant, vous n'agissez pas. Pendant que les chroniqueurs télévisés bavardent en jaugeant l'efficacité sans n'y rien connaitre, votre gouvernement est prêt à attendre le temps des évaluations, de trois à six mois, pour annoncer la disponibilité du traitement.
VOTRE GOUVERNEMENT N'A RIEN APPRIS DE LA CRISE DU VIH-SIDA.
Ce sont les associations, ce sont les malades qui, en France, ont exigé à force de manifestation et de mobilisations, parfois violentes, que les molécules ne soient pas "évaluées" mais directement testées sur eux même. Ce faisant, ils ont permis à notre pays d'avoir accès très tôt aux trithérapies, sauvant des milliers de vies.
Vous vous résignez à des milliers de morts. Pas nous.
Un traitement existe. À la différence des médicaments pour le VIH en 1994/95, ce sont des médicaments connus, documentés, et leur efficacité est documentée.
NOUS DEMANDONS L'ACCÈS AU TRAITEMENT RECOMMANDÉ PAR LE Pr DIDIER RAOULT & UNE POLITIQUE DE DÉPISTAGE MASSIVE AVEC TRAITEMENT DE TOUS LES TESTÉS POSITIFS
Si vous refusez, vous serez comptables des résultats de votre incompétence passée ainsi que de votre aveuglement à ne pas laisser les docteurs faire leur travail en offrant le seul traitement disponible à ce jour.