Essence, CSG, impôts : trop de taxes, c'est moins de pouvoir d'achat !

Essence, CSG, impôts : trop de taxes, c'est moins de pouvoir d'achat !

Monsieur le Président,
La France en est la championne du monde. Depuis 2012, les gouvernements successifs ont pompé plus de 70 milliards d’euros supplémentaires aux ménages : augmentations en tout genre, CSG, taxes sur l’essence, taxe d’habitation, taxe foncière, impôt sur le revenu, stationnement automobile, contraventions, 80km/h...
STOP, maintenant ça suffit !
Pour ramener le calme et la justice dans le pays, Édouard Philippe et vous-même n’avez qu’une seule chose à faire : tailler dans les dépenses publiques et traquer les gaspillages plutôt que de taxer !
Car oui, les impôts sont la conséquence de la dépense publique. Et s’il y a excès d’impôts, c’est qu’il y a excès de dépenses publiques ! Nous le constatons tous les jours.
Il faut arrêter avec l’alibi des taxes, qu’elles soient vertes, rouges ou jaunes…
Derrière une taxe se cache une dépense !
Et chacun prend conscience désormais qu’en passant à la pompe, ce sont les dépenses publiques de l’État que nous payons principalement et non de l’essence !
Combien de dépenses inutiles en France ? Une fonction publique où il y a plus d’administratifs que d’infirmières ou de gendarmes, un millefeuille territorial gorgés de doublons voir triplons de compétences à nos frais, des dépenses sociales où ceux qui les financent ne sont plus ceux qui les touchent, un nombre d’élus anormal (la France est championne du monde du nombre d’élus par habitant) pour une démocratie en recul, des services publics de plus en plus défaillants (l’hôpital), une SNCF qui au-delà de nous coûter un bras, dysfonctionne, des retraites qui fondent comme neige au soleil, etc…
En un mot, nous payons de plus en plus et l’on ne sait plus trop quoi.
Un des premiers postes budgétaires des Français désormais, sont les impôts : mais où va notre argent ?
Monsieur le Président de la République, vous devez écouter et respecter les Français en leur rendant leurs libertés et d’abord celle de pouvoir vivre dignement.
Réduire les dépenses publiques doit être le chantier prioritaire de votre quinquennat !
Respectueusement,