CONTRE LE TRANSFERT D'UN ENFANT DE 2 ANS EN MÉTROPOLE CHEZ UN PÈRE QU'IL NE CONNAÎT PAS

CONTRE LE TRANSFERT D'UN ENFANT DE 2 ANS EN MÉTROPOLE CHEZ UN PÈRE QU'IL NE CONNAÎT PAS

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Lancée le

L'importance de cette pétition

Lancée par Christiana ALBERT

GUADELOUPE. AVRIL 2022. 

UN JUGE AUX AFFAIRES FAMILIALES VA À L'ENCONTRE DE TOUTES LES ENQUÊTES SOCIALES ET ORDONNE LE TRANSFERT D'UN ENFANT DE 2 ANS ET DEMI EN MÉTROPOLE CHEZ UN PÈRE QU'IL NE CONNAÎT QUASIMENT PAS

A tous, voici ce que traverse cette mère Guadeloupéenne de 37 ans. 

Mère d'un enfant de 2 ans et demi, cette Pointe-Noirienne élève seule son fils depuis qu'il a 5 mois et demi (son copain l'ayant mise à la porte en plein hiver avec leur enfant). Ils étaient à cette époque en Métropole. 

Venus en Guadeloupe, à la base, pour des congés le 10 mars 2020, le COVID les a retenu plus longtemps en Guadeloupe.

Pouvant télétravailler depuis la Guadeloupe, elle y reste, en prévoyant de repartir après la pandémie. 

Le père, bien que prévenu de ses intentions de prolonger son séjour, n'a jamais appelé, ne serait-ce que pour voir son fils en visio.

Un matin, elle constate que les gendarmes débarquent chez elle, demandant si elle aurait kidnappé un enfant…

Voyant que quelque chose se tramait, elle saisi le juge aux affaires familiales.

Le JAF, en premier lieu, décide que le père pourrait exercer son droit de visite en Juillet et à la Toussaint de 8h à 17h tous les jours sans periode d'adaptation ! Un enfant toujours avec sa mère, qui n'a jamais fait de crèche et qui n'a JAMAIS vu son père !

Elle propose au père de mettre un peu d'humanité dans le jugement en y intégrant à l'amiable une période d'adaptation et arriver petit à petit au créneau 8h-17h afin de ne pas perturber leur fils, qui n'a jamais été séparé de ses 2 repères quotidiens que sont sa grand-mère maternelle et sa mère.  

Il refusa en bloc. 

A sa venue en Guadeloupe, il decide avec sa mère de venir à deux récupérer le petit. A la base, mon amie voulait prendre le temps de discuter avec le père, ne l'ayant pas vu depuis très longtemps et lui-même ne connaissant rien des habitudes du petit. Ils refusent également le compromis et se mettent à l'insulter du bas de sa maison. 

Le père porte dans la foulée plainte pour non représentation d'enfant.

 Chaque jour il venait crier devant la porte, tétanisant leur fils. Mon amie l'a supplié de reprendre ses esprits. Il lui a répondu: _"Je veux juste te voir souffrir !"_ 

Le procureur a admis qu'il fallait une période d'adaptation, leur fils a donc pu voir son père. 

 En Novembre, le père revient et après une journée avec leur fils, ce dernier fait une crise d'angoisse de plus d'une heure.

Elle demande au père ce qu'ils ont fait comme activité pour comprendre. Sa réponse >> _arrête tes bêtises !_ Puis il coupe son téléphone. 

[...] 

Entre-temps, des visites de sa part ont lieu, et n'ayant ce qu'il veut, il porte encore plainte (ce que les gendarmes eux-mêmes jugent d'abusif.)

S'ensuit une enquête sociale qui a lieu au deux domiciles, chez la mère et le père. Les 2 enquêtes sociales préconisent de conserver l'enfant chez sa mère dans l'intérêt de l'enfant !

Un nouveau jugement a lieu durant lequel mon amie expose tous les problèmes rencontrés, le mal-être de leur fils en présence du père, la non-volonté du père à installer une co-parentalité sereine. Sans oublier que le père s'est un jour permis d'appeler l'école de leur fils pour dire qu'il s'agit d'un enfant kidnappé, que c'est lui qui a la garde et qu'il allait bientôt rentrer avec lui en Métropole.

 Résultat de ce jugement final:

 Le juge aux affaires familiales, malgré les préconisations des experts ( enquêtrices sociale de la mère ET du père) de maintenir le lieu de résidence de l'enfant *chez sa mère en Guadeloupe, décide de:

- Fixer la résidence principale de l'enfant de 2 ans et demi en Métropole

 ---> Mettre sans grand délai, dans 1 mois, un enfant de 2 ans et demi dans un avion*, son père l'attendant à l'aéroport de *Paris* ! <---

 GWADLOUPÉYEN, FRANÇAIS,

Mères, pères, cette femme a besoin de VOUS afin que M. Le juge revienne à la RAISON!

Mon amie:

>> est saine d'esprit, aimante, travaille, 

>> a une maison, 

>> n'a pas de casier judiciaire, 

>> L'enfant est heureux et en bonne santé.

Elle a appelé tous les experts en enfance qu'elle a pu croiser jusqu'alors, et pour EUX, cette décision de justice est INJUSTIFIÉE. 

>>>>Faites circuler cette pétition svp<<<<

Un petit garçon de 2 ans et demi est en DANGER, et pourrait subir des traumatismes à cause de cette décision !

Il doit rester auprès des siens qu'il connaît depuis LA NAISSANCE !. 

Sa maman, sa grand-mère, ses oncles, tantes, cousins, cousines....

L'enfant ne connaît pas la Métropole, il connaît à peine son père, un inconnu envahi de haine.

KI DÉSIZYON ÉSA MENM ! 

Nous  souhaitons une révision ainsi que l'intervention d'un(e) psychologue pour l'aider à installer une coparentalité sereine avec le père, car les visites ne peuvent pas se poursuivre dans ces conditions.

 

--->>> INVITEZ VOS CONTACTS À BIEN VOULOIR  SIGNER CETTE PETITION.

 

PLUS FORTS ENSEMBLE ! ✊

NOS REMERCIEMENTS ANTICIPÉS

 

6 493 ont signé. Prochain objectif : 7 500 !