PÉTITION POUR UNE INITIATIVE POPULAIRE VISANT À ÉRADIQUER LES PLACEMENTS ABUSIFS D’ENFANTS

PÉTITION POUR UNE INITIATIVE POPULAIRE VISANT À ÉRADIQUER LES PLACEMENTS ABUSIFS D’ENFANTS
En Suisse, les Autorités de Protection de l'Enfant outrepassent leurs droits dans tous les cantons et se permettent de retirer leurs enfants abusivement à des parents qui ne sont coupables d'aucune maltraitance.
Les parents réellement maltraitants ne sont, eux, pas inquiétés, car ils font peur à nos autorités et à nos conseillers d'Etat !
Les institutions préfèrent s'attaquer aux parents bienveillants qui s'écartent du moule de la société : mères célibataires, femmes battues, parents en conflit, parents ayant eu recours à la procréation médicalement assistée ou à la GPA, parents ayant un enfant souffrant d'un handicap ou d'une maladie, parents homosexuels, soit une tranche de la population qui doit être aidée par l'Etat, la société et les institutions au lieu d'être traînée dans la boue en les privant sans motif de leur bien le plus précieux : leurs enfants ! Ceci se nomme des PLACEMENTS ABUSIFS !
Voici deux articles concernant un drame qui se joue en ce moment même, en 2021, dans le canton du Valais.
Il s'agit du placement totalement injustifié de 3 enfants, dont deux bébés de 18 mois seulement, en famille d'accueil et en foyer, séparés de leurs parents depuis le 13 août dernier. Décision sans fondement prise par des employés d'une APEA n'ayant pour la plupart aucune formation adéquate et qui enfreignent impunément la Convention Européenne des Droits de l'Homme et la Convention des Droits de l'Enfant, en violant notamment l'Article 3 sur la primordialité de l'Intérêt supérieur de l'Enfant lors de toute décision et le droit qu’il a de s’exprimer librement et d’être entendu au cours de toute procédure administrative ou judiciaire
(cf. Audition de l'Enfant).
Un troisième article montre les conséquences des placements sur les enfants.
- Magazine de presse Watson, par le journaliste Abdoulaye Penda Ndiaye :
https://www.watson.ch/fr/suisse/actu/354168243-vs-tolle-apres-le-placement-de-jumeaux-de-21-mois
- Article du journaliste Eric Felley du mercredi 27 octobre 2021 : "...Les parents lancent un ultimatum.":
https://www.lematin.ch/.../trois-enfants-places-les
- Article sur les conséquences psychologiques des placements, par le journaliste Abdoulay Penda Ndiaye, du magazine de presse Watson :
https://www.watson.ch/fr/!976903504
SIGNEZ :
Pour faire appliquer les droits de l’Enfant en Suisse, tels qu’ils sont édictés dans la Convention des Droits de l’Enfant.
Pour que les placements ne soient désormais basés QUE sur des maltraitances physiques de la part des parents avec preuve à l'appui et non plus sur des déclarations mensongères ou sur de pseudo maltraitances psychologiques non prouvées.
Pour la mise en place, en Suisse, d’une structure :
> Indépendante
> Au niveau national ou fédéral
> Non soumise aux administrations et juridictions cantonales
> Dont les représentants décisionnaires ont une durée de fonction limitée
Qui disposerait :
> Non seulement :
- d'une fonction de conseil et de médiation (Ombudsman des Droits de l'Enfant)
> Mais aussi et surtout :
- d’une fonction préventive permettant d’agir en amont et d’anticiper les éventuelles mauvaises décisions de placements abusifs des APEA et OPE, en vérifiant s’il y a bien maltraitance physique dues aux parents.
- d'une fonction de surveillance, permettant l’accès aux dossiers, à des enquêtes et à des contrôles des décisions prises par les APEA et OPE
- d'un pouvoir de recevoir les plaintes à l’encontre des administrations cantonales dans le cas où les droits de l’Enfant n’auraient pas été respectés à tous les niveaux des procédures administratives, par exemple dans le cas de non-respect du Droit de l'Enfant à être entendu et auditionné (si son âge et sa maturité le lui autorisent) lors de toute procédure administrative ou judiciaire.
- d'un pouvoir de faire casser les décisions déjà prises par les APEA – OPE, si celles-ci n'ont pas de justification et si elles ne sont basées sur aucun constat avéré soit de violences physiques de la part des parents, soit de danger immédiat, soit de situation urgente pour les enfants concernés.
Rappelons cette période sombre de l'Histoire suisse, qui s'est prolongée jusqu'en 1981 et au cours de laquelle près de 20 000 enfants ont été retirés de force de leurs parents et placés sans décision de justice, dans des familles d'accueil, des orphelinats ou des institutions religieuses, maltraités psychiquement, physiquement, et abusés sexuellement.
En avril 2013, le Conseil Fédéral, par la voie de Simonetta Sommaruga, a demandé pardon aux nombreuses victimes dont le destin a été définitivement brisé suite à ces horribles souffrances durant plusieurs décennies jusqu’en 1981. La conseillère fédérale a certes précisé l’importance d’effectuer un « travail de mémoire » pour cette douloureuse période de l’Histoire de la Suisse, mais qu’en est-il des placements abusifs après 1981 ?
Les paramètres ont changé, les enfants ne sont plus placés chez des fermiers ou dans des institutions religieuses, mais le résultat est le même : si une famille est considérée comme « hors cadre » ou « atypique » (enfants HP, GPA ou PMA), les autorités de Protection de l'Enfance (APEA et OPE) s’ingèrent à tous les niveaux de la vie privée de la famille, même lorsque celle-ci n’est pas maltraitante.
Et une fois le dossier ouvert, tout est prétexte et justification à chaque intervention malintentionnée des « Services » au sein des familles qui n’ont pourtant rien à se reprocher.
Et Pourquoi ? Parce qu'au travers de factures envoyées aux parents, aux contributions sociales et aux subventions d'Etat, d'enquêtes de capacités parentales qui n'aboutissent pas, ils rentabilisent un système financier infaillible.
Toutes ces méthodes d'un autre âge doivent cesser !
Depuis de nombreuses années, la situation est toujours alarmante et le Comité des Droits de l'Enfant de l'ONU a lancé récemment un rappel à l'ordre à la Suisse.
En effet, malgré qu'elle a ratifié la Convention des Droits de l'Enfant (CDE) en 1997, ainsi que le 3ème Protocole facultatif de 2017 de la CDE renforçant davantage l'application des droits de l'Enfant, la Confédération suisse ne respecte toujours pas - dans les faits - les principes régissant la Convention des Droits de l'Homme et la Convention des Droits de l'Enfant et porte atteinte à l’Intérêt Supérieur de l’Enfant.
SIGNEZ afin que se crée de toute urgence un contre-pouvoir au pouvoir absolu des APEA – OPE, principalement en Valais, capables de décider de séparer les enfants de leurs parents, sans motifs valables et de surcroît dans des conditions inacceptables, violant ainsi les Conventions des Droits de l'Homme et des Droits de l'Enfant et ne respectant nullement l'Intérêt Supérieur de l'Enfant.
Merci pour votre contribution à la JUSTICE !