Depuis quelques années et a fortiori cette année, les riverains du lieu-dit Véniper à Trévignin sont mis en danger par la vitesse excessive des usagers de la route!

Ce hameau est habité par de nombreuses familles (+ de nouvelles maisons à venir), certaines ayant des animaux de compagnie. Nombreux sont les habitants et les sportifs traversant cette route pour se promener, randonner, se rendre sur l’aire de parapente de Véniper ou encore circuler sur les chemins de VTT prévus à cet effet.

Itinéraire principal pour se rendre au Revard et/ou à la Féclaz, cette route D913 est de plus en plus fréquentée par des voitures et les deux roues. Le trafic est plus dense les week-ends, pendants les vacances estivales et la saison d’hiver.

Nous, riverains, nous constatons que :

• Les véhicules circulent à grande vitesse au delà de la limite autorisée (70 km/h);
• La circulation s'est intensifiée à cause de la densification urbaine de la zone et des nombreux projets immobiliers;
• Il n’y a pas de voie pour les piétons (trottoirs...) dans ce hameau et la vitesse excessive des véhicules rend dangereuse la mobilité des résidents;
• De plus, il n’y a pas de voie pour le car scolaire qui passe à cet endroit. Celui-ci se voit dans l’obligation de faire un demi tour via le lotissement le clos des Chênes, et sans vraiment de visibilité;
• De plus en plus de fous furieux se croient sur un circuit automobile et pratiquent le rodéo sauvage sur la route du Revard;
• De nombreux habitants du lieu-dit ont la tristesse de retrouver écraser leurs animaux de compagnie par des gens irrespectueux des limitations de vitesse.
  Nous demandons aujourd'hui à M. Le Maire, au Conseil Départemental de la Savoie, mettre en place le plus rapidement possible les aménagements nécessaires pour réduire considérablement la vitesse dans ce hameau ou de baisser la vitesse de la zone à 50km/h au lieu des 70 actuels.

Les courriers des riverains ont été nombreux depuis des années ainsi que les visites en Mairie; le sujet évoqué souvent dans les réunions de quartier mais rien ne change. Faut-il attendre un mort pour que le problème soit étudié plus sérieusement ?