Decision Maker

Conseil Economique Social et Environnemental

Le CESE est la troisième assemblée constitutionnelle de la République après l’Assemblée nationale et le Sénat


Does Conseil Economique Social et Environnemental have the power to decide or influence something you want to change? Start a petition to this decision maker.Start a petition
Petitioning Marlène Schiappa, Emmanuel Macron, Julien Denormandie, Conseil Economique Social et Environnemental

DES CENTRES D’ACCUEIL POUR METTRE LES FEMMES SDF EN SÉCURITÉ

Le quotidien d’une femme SDF consiste à fuir les multiples agressions dont elle est victime. Ceci n’est pas une vie. Chaque nuit elle risque de nouvelles agressions physiques et sexuelles. Une image me hante : celle de cette femme recroquevillée au dernier étage d'un parking tremblant de peur à l'idée d'être à nouveau agressée. Malheureusement nous ne la voyons pas car elle se cache pour tenter de se protéger. Pourtant les femmes SDF représentent 38 % des personnes sans domicile d’après l’Insee. Noa (son nom a été changé) m’a confié que lorsqu’elle était SDF, elle avait été violée 70 fois en 17 ans. Sa vie était un enfer de violence. Les maraudes que je fais dans Paris m’ont permis de découvrir l’horreur de cette réalité. Un homme SDF m’a même interpellé une nuit sur leur vulnérabilité « nous on peut encaisser » il m’a dit. La rue les prive de dignité, nous devons la leur rendre !   Monsieur le Président, vous avez fait de la cause des femmes une priorité de votre quinquennat. Les femmes SDF sont doublement vulnérables pour être femme et SDF. Nous vous demandons de mettre en place dès 2018 des centres d’accueil dédiés pour leur offrir sécurité, dignité et leur apporter l’accompagnement spécifique nécessaire pour affronter leur trauma. ---- Maintenant, ensemble, nous pouvons les secourir en attendant que les autorités prennent la relève et leur apportent une solution permanente. ---- Merci à toutes et tous de participer en signant cette pétition, en : https://www.leetchi.com/c/distribution-de-sacs-de-surviepour la collecte ou en diffusant à vos familles, à vos amis, à vos proches pour partager ce grand élan de solidarité. Sarah de Réchauffons nos SDFemail : sarah.frikh.pro@gmail.comInsta: Sarah Frikh ou femmessdfchaine youtube : Sarah FrikhFacebook et twitter : Sarah Frikh

FRIKH FRIKH
426,233 supporters
Petitioning Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République, Monsieur François Braun, Comité consultatif national d’éthique, Monsieur Thierry Beaudet, Conseil Economique Social et Environnemental, Elisab...

Légalisation de l'aide active à mourir

L'aide active à mourir ou encore l'aide médicale à mourir désigne l'euthanasie et le suicide assisté : Ce dernier terme que certains trouvent inexact ou inapproprié exprime cependant une volonté de mort choisie par un malade qui se sait incurable et souhaite en toute conscience devancer la mort plutôt que de l'attendre dans des souffrances psychiques et physiques insoutenables. Pour cela, la malade qui aura mûrement réfléchi sa décision agira de lui-même sous contrôle médical.                                                     ================== Membre fondateur de l'association article 10, liberté de conscience                                                    ===================   « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société, la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. » Article IV de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1789    N’étant pas juriste, ni militante d’aucune association, j’ai voulu écrire un témoignage, huit mois après la mort de mon mari, atteint de la Maladie de Charcot (ou Sclérose Latérale Amyotrophique), pour que le droit au suicide assisté existe en France au plus vite. Actuellement cette maladie neurologique reste incurable et mortelle, aucun cas n'a JAMAIS été guéri. Nous avons vécu le processus de la maladie mon mari et moi dans notre chair à tous les deux, renonçant progressivement à tout ce que nous aimions vivre ensemble depuis le début de notre vie commune, il y a 10 ans seulement.  Marcher dans Paris, aller au cinéma ou à l'Opéra, danser, cuisiner ensemble, et tant d'autres choses. Nous avions l'un pour l'autre un amour inconditionnel qui nous a soutenu dans cette effrayante épreuve. Nous avions le sentiment qu'il était pris dans des sables mouvants dont rien, ni sa main toujours dans la mienne, ni la médecine, ne pouvait l'extraire. Bien sûr, nous avons eu des moments d'espoir lorsqu'un nouveau protocole était annoncé, tous les deux accrochés à la moindre nouvelle susceptible de nous laisser entrevoir une possibilité d'amélioration. Nous avions beau savoir qu'il était utopique d'espérer, nous avons mobilisé nos forces à chaque minute, chacun étant un soutien pour celui qui avait un moment de passage à vide, nous voulions croire à un espoir possible. Et puis à un moment, il est devenu évident que la mort allait nous rattraper. Nous sommes tous les deux athées bien qu'issus de familles chrétiennes, nous avons fait le choix d'un mariage laïc et nous avons mené notre vie loin de la religion où certains trouvent un refuge, une consolation, une acceptation. Raconter notre parcours me semble essentiel pour comprendre comment le choix de mourir peut devenir à un moment donné la seule alternative possible pour un malade. Beaucoup d'autres personnes pourraient écrire un témoignage du même ordre : les demandes légitimes du suicide assisté sont très nombreuses en France. En six mois mon mari est passé du stade de la difficulté à marcher au fauteuil roulant. Encore six mois et les deux jambes atteintes, ses bras ont commencé à s'affaiblir. Il n'avait plus la force de se retourner seul dans son lit, de passer seul du lit au fauteuil roulant, de se laver seul. Progressivement, la fonte musculaire lui a imposé une assistance permanente.  Un an et demi après le diagnostic, l’évidence de la condamnation à mort est apparue avec le début de l’atteinte diaphragmatique.  Un protocole expérimental visant à retarder le recours à une assistance respiratoire lui a été proposé : au cours de l’intervention chirurgicale (pose d’un stimulateur du diaphragme) il a contracté une pneumonie. A partir d'octobre 2013, il a fallu s'équiper à domicile d'une machine pour l'aider à expectorer, plusieurs traitements antibiotiques ont été impuissants à éradiquer la pneumonie et son état général s'est dégradé de jour en jour. Fausses routes, essoufflement, toux incessantes nuit et jour en dépit de séances quotidiennes de kinésithérapie respiratoire, amaigrissement de plus de 5 kilos en deux mois, sont devenus les signes d'une mort qui approchait inexorablement.  En novembre 2013, mon mari a décidé d'adhérer à l'ADMD (Association pour le Droit à Mourir dans la Dignité), un de ses fils et moi-même avons accepté de signer ses directives anticipées en qualité de personnes de confiance. Mi-décembre 2013, à sa demande, nous avons tenté d’aller en Suisse, mais il a été jugé intransportable. L'abandon de ses forces était tel qu'il n'avait plus l'énergie de lire, parler, de s’alimenter, de tenir son téléphone portable devenu trop lourd dans ses mains.  Mon mari n'avait plus qu'une envie : mourir. Face à la progression fulgurante de la paralysie musculaire, et l'impossibilité d'aller en Suisse, nous avons essayé de recourir à la prescription de morphine. Nous savions que le surdosage de la morphine aiderait mon mari à mourir. Devant la réticence des médecins - hospitaliers et généraliste de ville – qui, incrédules,  ne voulaient pas reconnaître la précipitation de l'évolution, nous avons dû batailler plusieurs jours avant de nous rendre enfin à l'hôpital pour une ultime consultation entre Noël et le jour de l'an. Nous étions confrontés aux absences des uns ou des autres, et dans une attente insoutenable. A chaque fois qu'il ouvrait les yeux, la nuit comme le jour, mon mari n'avait plus qu'une phrase : "je veux mourir".  Enfin, les médecins de l’hôpital ont accepté de le recevoir en consultation au service des urgences. Une prescription de morphine - à commander à notre pharmacie qui ne pouvait me la donner que le lendemain matin- nous a été confiée. L’hôpital n’a pas pu – ou pas voulu- lui en administrer. Nous avons dû attendre une ambulance 3 heures pour pouvoir rentrer chez nous. Mon mari est mort ce jour là, chez nous, quelques minutes après avoir été allongé sur notre lit. Il était médecin psychiatre - psychanalyste et depuis toujours redoutait de mourir à l’hôpital. Je lui ai tenu la main et lui ai dit encore mon amour, ses trois enfants étaient chez nous au moment de sa mort. Je revis mentalement depuis huit mois le parcours de la maladie, le courage extraordinaire de cet homme qui croyait en la science et qui voulait vivre pour notre amour. Un jour la souffrance physique et psychique est devenue insupportable. Il avait continué à travailler jusqu'en novembre dernier, faisant reculer chaque jour les limites de ses forces. Après avoir décidé de clore sa vie professionnelle qui était la passion de sa vie, il aurait voulu mourir tout de suite. L'espoir de guérison s'était effondré, il n'y avait plus de retour possible, il avait perdu 15 kilos en deux ans, il était à bout de forces. Il me disait que sa seule angoisse, c'était qu'il ne me verrait plus une fois qu'il serait mort. Il ne voulait pas nous faire vivre cette lente progression torturante de l'avancée vers la mort. Il aurait voulu choisir le jour de sa mort, Il aurait voulu pouvoir nous quitter, ses enfants et moi,  au moment où il avait encore la force de nous parler. Hélas, en France il n'est pas possible de recevoir une aide pour cela. C'est pourtant ce à quoi mon mari aspirait. La vie à un certain moment a quitté son regard. Si une aide pour mourir avait été possible, nous aurions pu vivre autrement le dernier jour de notre vie, dans une sorte de sérénité, d'apaisement. J’en appelle aujourd’hui à toutes celles et ceux qui comprennent que face à une telle situation, un malade peut souhaiter mettre fin volontairement à sa vie, la souffrance psychique et physique étant devenue insoutenable. Pour qu’une loi soit votée cette année, signez s’il vous plait cette pétition :  

Nathalie DEBERNARDI
556,446 supporters
Petitioning Environmental Protection Agency, African Wildlife Federation, Conseil Economique Social et Environnemental, United Nations Environment Program

Action judiciaire pour la protection et la réappropriation du littoral du Sénégal

ADHESION CITOYENNE A UNE PLAINTE COLLECTIVE CONTRE L'ETAT DU SENEGAL PLATEFORME DES CITOYENS ACTIFS POUR LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT ET DU LITTORAL du SENEGAL (CAPELS-Suniu Littoral) Adhésion citoyenne à une plainte collective contre l'Etat du Sénégal  Face à la détérioration de l’environnement et plus principalement du littoral, je m’engage en tant que citoyen sénégalais à apporter mon soutien à la coalition des Citoyens Actifs pour la Protection de l’environnement et du Littoral (Coalition CAPEL) dans le cadre de sa plainte contre l’Etat du Sénégal.En effet, la Constitution du Sénégal du 22 Janvier 2001 révisée par la loi n° 2016-10 du 05 avril 2016 dispose en son article 25-2 que : « « Article 25-2. - Chacun a droit à un environnement sain. La défense, la préservation et l’amélioration de l’environnement incombent aux pouvoirs publics. Les pouvoirs publics ont l’obligation de préserver, de restaurer les processus écologiques essentiels, de pourvoir à la gestion responsable des espèces et des écosystèmes, de préserver la diversité et l’intégrité du patrimoine génétique, d’exiger l’évaluation environnementale pour les plans, projets ou programmes, de promouvoir l’éducation environnementale et d’assurer la protection des populations dans l’élaboration et la mise en œuvre des projets et programmes dont les impacts sociaux et environnementaux sont significatifs.»Le constat aujourd’hui est que notre littoral continue d’être agressé et morcelé par l’Etat du Sénégal en violation des textes en matière foncière (notamment la loi n° 76-66 du 2 Juillet 1976 portant Code du Domaine de l’Etat interdisant l’appropriation privée des terres du Domaine Public Maritime) et des droits humains des sénégalais (notamment le droit à un environnement sain, le droit aux loisirs, le droit à la libre pratique de la religion, etc.)En tant que citoyen(ne) sénégalais (e) souhaitant jouir de mes droits d’accès à la mer pour moi, ma famille, mes enfants et la génération future, je signe cette pétition pour exiger la protection de notre littoral et de notre environnement par la justice sénégalaise. Action pour la Justice Environnementale (AJE); Observatoire de Suivi des Indicateurs de Développement Economique en Afrique (OSIDEA);  Amnesty International Sénégal, ONG OMART, Afrika Jom Center; Luttons Contre l'Indiscipline au Sénégal, Non Aux Murs;  

Cheikhou Oumar SY
12,929 supporters
Victory
Petitioning Human Rights Campaign, The Department for Health and Social Care, Conseil Economique Social et Environnemental, Grupo Parlamentario Socialista, Health Net, Total Health Care, United Healthcare, Uni...

Renvoi du territoire Suisse d'une infirmière qui a sauvé des patients du Covid-19 aux HUG

Je m'appelle Lyo, je vis en Suisse depuis plus de 20 ans. J’y ai fait mes études, mon service militaire et travaille en tant qu'ingénieur. J’ai été naturalisé il y a plus de 12 ans. Ma sœur Nazanin, née en 1991 et plus connue sous son deuxième prénom Helia, a vécu avec mes parents à Genève de 2000 à 2004, est retournée en Iran puis est revenue en Suisse en 2011 pour y faire des études d'infirmière à la HES-SO de Neuchâtel. Elle a reçu son diplôme en 2017. Depuis, elle a obtenu divers emplois dans son domaine dans les cantons de Vaud, Fribourg, Neuchâtel et Genève, sans jamais se voir octroyer un permis de séjour. Afin de pouvoir mettre en pratique ses connaissances acquises en Suisse, il ne lui restait plus d’autres options que de demander un permis humanitaire, ses demandes de permis de travail ayant systématiquement été refusées. Elle a, en parallèle, entamé une procédure de naturalisation et franchi avec succès ses diverses étapes. Pour compléter son dossier, il ne lui manque plus qu’un titre de séjour valable. Helia habite depuis 2018 à Genève. En attendant une décision sur sa demande de permis, elle a obtenu plusieurs emplois en tant qu’infirmière, pour lesquels elle a peiné à obtenir les autorisations de travail requises. Suite à diverses expériences professionnelles, Helia s’est portée volontaire aux Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) durant la pandémie COVID-19 afin de soigner les patients atteints du virus. On lui a rapidement offert un contrat à durée déterminée, pour lequel l’Office Cantonal de la Population et des Migrations (OCPM) lui a également délivré une autorisation de travail. Helia s’est ainsi retrouvée aux premières lignes, œuvrant dans les soins intermédiaires du secteur COVID. Quelques semaines plus tard, la même autorité lui notifiait un préavis négatif concernant sa demande de permis. En parallèle, et grâce à son engagement, Helia recevait des HUG un contrat signé à durée indéterminée. Dans une démarche honnête, elle a immédiatement informé les HUG de ce préavis négatif, et ces derniers ont annulé son contrat. Le cauchemar ne faisait que commencer. Helia disposait d’un délai de 30 jours pour formuler des observations à l’OCPM. Elle s’est alors attaché les services d’une avocate spécialisée dans le droit des étrangers, et a tout mis en œuvre afin de retrouver un emploi, argument de taille pour que sa situation soit reconsidérée par l’autorité compétente. Malgré sa situation et son désespoir, elle a obtenu plusieurs propositions d’emploi, notamment un poste d’infirmière référente à l’IMAD, et à chaque fois le même scénario s’est reproduit : quand tous les entretiens étaient passés avec succès, et qu’il ne manquait plus que la formalisation du contrat de travail, sa situation devenait « trop compliquée ». Trouver un emploi pour démontrer son intégration et améliorer sa situation, et se trouver devant l’impossibilité d’obtenir un emploi en raison de sa situation : un tableau absurde et frustrant. Aujourd’hui, Helia vient de recevoir un courrier de l’OCPM refusant sa demande et lui ordonnant de quitter la Suisse avant le 16 septembre 2020, ce alors qu’elle est pleinement intégrée en Suisse, qu’elle parle parfaitement le français, que sa vie est genevoise et qu’elle n’a pas hésité à donner de sa personne pour soigner les victimes du COVID-19. Pire encore, l’OCPM a tout bonnement fait fi des observations transmises par l’avocate, préférant procéder à ce qui s’apparentait à un copier-coller de son préavis et ignorant totalement les nouveaux éléments soulevés, comme par exemple le fait que nos parents ont quitté l’Iran et vivent désormais en France. Il est inacceptable de voir une institution publique mépriser à tel point ses sujets et le désarroi d’une personne qui, malgré toutes ses déconvenues, n’a jamais baissé les bras et a toujours redoublé d’efforts pour pouvoir qu’enfin son intégration soit reconnue. On se borne à lui dire qu’elle n’a pas d’attaches suffisantes avec la Suisse, que sa vie est en Iran et qu’elle s’y insérera sans peine, alors que sa famille, son compagnon, ses amis et sa carrière professionnelle sont ici. Merci à toutes les personnes qui, des semaines durant, ont applaudi le travail du personnel soignant, de signer cette pétition afin que ma sœur puisse rester proche de nous. Lyo

Lyo Khoy
11,963 supporters
Petitioning Conseil Economique Social et Environnemental, Edouard Philippe, Jean Lassalle, Olivier Véran, Brigitte Bourguignon

ENSEMBLE POUR UNE RECONNAISSANCE ET UNE VALORISATION DU SECTEUR DU MAINTIEN À DOMICILE

LES OUBLIÉS DE L'ÉTAT ! L'association APMD, une association au service des salariés du secteur à domicile, aux personnes aidées et aux aidants INTERPELLE tous les acteurs du maintien à domicile sur la DÉSERTIFICATION  du secteur qui met en DANGER notre PROFESSION  et le MAINTIEN à DOMICILE des PERSONNES AIDÉES. Il est temps de se RASSEMBLER pour la PÉRENNITÉ de notre PROFESSION, c'est tous ENSEMBLE que nous pourrons NOUS FAIRE ENTENDRE !  NOS CONDITIONS DE TRAVAIL SE DÉGRADENT : LE MANQUE D'AUTONOMIE dans la gestion des plannings et le manque d'interaction avec les collègues pèsent sur notre quotidien.  NOUS DEVONS FAIRE FACE   à des plannings très chargés, des weekends le plus souvent travaillé  (1 sur 2). NOS MISSIONS sont de plus en plus difficiles à gérer avec des personnes de plus en plus dépendantes ou avec un handicap important. LES GLISSEMENTS DE TÂCHES  de plus en plus fréquents mettent en danger l'aide à domicile et la personne aidée.  LA VALEUR DU REMBOURSEMENT des kilométrages reste inchangée, trop de frais à la charge des salariés. NOUS SOMMES LE  PLUS SOUVENT EMBAUCHÉES avec des contrats de travail à temps partiel, modulables, avec un taux horaire au SMIC, ce qui ne nous permet pas une vie décente. La disponibilité et les trajets imposés par l’employeur ne nous permet pas de cumuler deux emplois. LA MODULATION ne nous permet pas une stabilité et un épanouissement dans la vie professionnelle et  familiale. NOS CONVENTIONS COLLECTIVES NATIONALES NE SONT PAS APPLIQUÉES ET NE COLLENT PAS A LA RÉALITÉ DU TERRAIN ! NOS FORMATIONS DIFFÉRENTES selon les régions ! LE MAINTIEN À DOMICILE  UN SECTEUR D'INCOHÉRENCE  où certaines personnes en tirent le meilleur mais certainement pas les salariés  !!! TOUTES CES SITUATIONS NE SONT PLUS ACCEPTABLES ! Les personnes dépendantes restent de plus en plus à leur domicile, du fait d'un manque de structures adaptées et du coût important de celles-ci. Des millions de nouvelles personnes dépendantes devront être accompagnées à domicile dans les prochaines années. La valorisation et la reconnaissance du métier d'auxiliaire de vie sociale est clé pour répondre à ce besoin. C'EST MAINTENANT ET ENSEMBLE !!! NOUS DEMANDONS : -UNE CCN UNIQUE                          -UNE AUGMENTATION DE SALAIRE                                            -UNE RÉÉVALUATION DES REMBOURSEMENTS KILOMÉTRIQUES                              -LE RESPECT DES CATÉGORIES PROFESSIONNELLES                      -DES ASTREINTES PLUS ESPACÉES POUR POUVOIR CONCILIER LA VIE FAMILIALE  ET LA VIE  PROFESSIONNELLE    -LA FIN D'UNE MISE À DISPOSITION ABUSIVE                  -LE DROIT DE POUVOIR CUMULER 2 EMPLOIS POUR POUVOIR SUBVENIR À NOS BESOINS VITAUX                            -UNE PROFESSIONNALISATION  DU SECTEUR                                    -DES MOYENS FINANCIERS EN ADÉQUATION AVEC LES PATHOLOGIES DE LA PERSONNE AIDÉE                                                -LE RESPECT DU DROIT DE GRÈVE.  Je remercie par avance tous les signataires, cette pétition sera remise à notre Ministre      Mr Olivier Véran et Mme Brigitte Bourguignon.  La Présidente APMD Mme Guillemot Sylvie.      

Association pour les Professionnels du Maintien à Domicile APMD
4,950 supporters
Petitioning Mairie de Paris, Anne Hidalgo, Tout public, réfugiés , anti-gaspillage , Conseil Economique Social et Environnemental, environnement, Ecologie, IAN BROSSAT, Frédéric Hocquard, Europe Ecologie, PART...

FREEGAN PONY : POUR QUE LA MAIRIE DE PARIS RENOUVELLE NOTRE CONVENTION D'OCCUPATION!

POUR SORTIR DE NOTRE SITUATION, LA SEULE SOLUTION EST LA RECONDUCTION DE NOTRE CONVENTION D'OCCUPATION DES LIEUX. NOUS APPELONS LA MAIRIE DE PARIS À RENOUVELER NOTRE CONVENTION LE PLUS TÔT POSSIBLE AFIN DE NE PAS LAISSER MOURIR CE PROJET DANS LEQUEL ELLE S'ÉTAIT INVESTIE. Ces derniers temps, nombreux sont ceux qui demandent quand aura lieu la réouverture du Freegan Pony et du Péripate. Malheureusement, nous sommes aujourd'hui coincés dans un méandre administratif. Si nous ne trouvons pas de solutions -politiques, administratives, juridiques et financières- nous serons dans l'obligation de mettre fin à ce projet. Il apparaît tout d'abord important de rappeler que le PériPate, soirée parisienne bien connue, s'inscrit dans un projet plus large. Ce projet est lié à notre manière de vouloir vivre le monde, de l'appréhender, à la façon dont nous voulons vivre ensemble sans entrave, sans a priori les uns sur les autres. Ce programme s'impose par des choses essentielles : manger, proposer une programmation culturelle accessible à tou(te)s, se rencontrer, faire la fête.Peu le savent, mais ce lieu n’est pas qu’un lieu de fête. Bien avant les PériPates, nous avons créé le Freegan Pony, restaurant de lutte contre le gaspillage alimentaire. On y servait 150 menus à prix libre et une cinquantaine gratuitement aux plus démunis, assurant ainsi une vraie mixité sociale. Là encore, tout comme avec le PériPate, c'est notre vison du monde que nous mettions en action. Avec ce projet et sa médiatisation -plus de 200 articles et reportages dans la presse nationale et internationale-, nous avons réussi à sauver plusieurs centaines de tonnes de fruits et légumes, sensibiliser des milliers de personnes en Europe au gaspillage alimentaire, créer le seul restaurant où des personnes de milieux sociaux différents mangent à la même table. Le restaurant n'étant pas économiquement viable, les fêtes sont là aussi pour financer le Freegan Pony.Si le lieu a d'abord été squatté, nous bénéficions actuellement d’une convention d’occupation temporaire avec la Ville de Paris, et nous nous acquittons donc d'un loyer. En contrepartie de cette convention, la Ville nous a demandé de mettre le lieu aux normes. Il a été convenu oralement que si nous arrivions à mobiliser les Parisiens sur le projet “Lutte contre le gaspillage alimentaire” du Budget Participatif 2016, nous obtiendrions un soutien pour le montant total des travaux de mise aux normes, estimé alors à 450 000€. Nous sommes arrivés 3ème sur les 634 projets. Ces travaux d'ampleur ont nécessité un budget gigantesque, auquel la ville a participé à hauteur de 153 000€. Nous avons également fait appel aux dons pensant que les soirées PériPate permettraient de rentrer dans nos frais (le budget initial des travaux ayant doublé). Nous nous étions engagés à rembourser les personnes qui effectuaient un don supérieur à 100€. Et nous tiendrons cet engagement.Notre plan de financement était clair et réalisable.Loin de l'idée d'ouvrir un lieu parisien branché de plus, notre envie était simple. Nous nous sommes efforcés de valoriser la jeune scène parisienne. Nous souhaitions un lieu de vie ouvert à tous sans distinction de sexualité, de genre, de dégaine, d'origine, de religion ou d'âge (sauf pour nos amis les très jeunes). La localisation n’a pas été choisie au hasard. Un espace vide dans un quartier qui ressemblait à un no man’s land, mais surtout un lieu inoccupé depuis plus de 15 ans.Malgré les engagements fort la Ville de Paris, ainsi que l’apport sur les fonds propres de l’association, au vu de l’évolution des travaux, tout ceci n’a pas été suffisant. Nous avons continué notre recherche de subventions, postulé à un appel à projet sur l’urbanisme transitoire de la Région Ile-de-France. Malgré un dossier parmi les mieux notés, le Freegan Pony, répertorié par la Région comme projet à soutenir et la garantie des techniciens que nous obtiendrions une subvention de 185 000€ pour les travaux, nous n’avons bénéficier d'aucune aide de la Région Ile-de-France.Malgré un prévisionnel réaliste, les banques ne peuvent nous accorder de prêt sans la garantie de reconduction de notre convention. Nos valeurs nous interdisent toute association avec un investisseur ou une marque (on nous l’a plusieurs fois proposé). La seule solution était de reprendre les fêtes. C'était sans compter sur la malveillance de certains. Le PériPate a commencé à agacer d’autres lieux de fêtes pour des raisons mesquines dans une période où le renfermement sur l'entre-soi devient la norme.Deux membres (dont nous ne citerons pas les noms, ne souhaitant pas être associés aux méthodes qu’ils utilisent sans vergogne) du SNEG & Co(Syndicat National des Entreprises Gays) ont profité de leur position pour dénoncer les lieux et les collectifs qui ne leur conviennent pas. Ils ont été très virulents contre le PériPate. Cela nous a particulièrement attristés qu'une telle attaque provienne de la communauté LGBTQI+. La préfecture de police, attentive à leurs arguments, a logiquement fait pression sur nous pour que nous stoppions tout événement.Officiellement, le public prendrait de mauvaises habitudes au PériPate, concernant la consommation de drogue et le prix peu élevé des boissons. Les drogues sont partout dans la nuit parisienne, c’est un enjeu à prendre en considération dans toutes les soirées. La différence, c’est que notre rapport à ces questions est une approche réaliste et honnête et surtout efficace. Refusant de nier son existence, nous préférons faire de la prévention. Les associations et les pouvoirs publics sont unanimes pour dire que notre action est exemplaire et va bien au delà de ce que nous devrions faire. Existe-t-il des stands de prévention des risques dans les lieux de ceux qui nous ont dénoncés ? Prévention, bienveillance, et consentement sont les valeurs que nous défendons. De tous les lieux de fête parisiens, nous avons été les premiers, avec le Rosa Bonheur, à avoir suivi une formation sur les risques liés aux agressions dont peuvent être victimes le public.Dans un milieu de la nuit très dur, nous devons nous soutenir les uns les autres. Nous sommes tristes quand un lieu ferme. Nous sommes enserrés dans des réglementations tatillonnes et souvent ubuesques, qui ne sont pas toutes liées à la sécurité du public mais bien plus à un certain contrôle social. Nous devons avancer ensemble, et non les uns contre les autres.Le dialogue est toujours possible et nous pensons la Mairie sincère dans son souhait que la nuit parisienne soit diverse, commerciale et associative, institutionnelle et alternative, centrale et périphérique. Nous ne pouvons plus résoudre l’équation seuls. Nous avons besoin de votre soutien, nous avons besoin que la Ville de Paris s’engage et sorte de l’entre-deux qui promet beaucoup mais permet si peu. Nous pouvons rouvrir si la complémentarité entre Freegan Pony et PériPate est reconnue par la délivrance de l’autorisation de nuit et si nous obtenons un bail assez long pour amortir les investissements colossaux déjà réalisés et à venir.Une ville c’est la diversité, la rencontre des flux venus du monde entier et de tous les territoires de France. Une ville doit offrir à tou(te)s des lieux de vie et de travail, de consommation et de repos, de fête et de culture. Parce que ne nous trompons pas sur les motivations réelles qui ont conduit à une interdiction de recevoir du public : la pluralité de nos publics ! Le fait que les soirée organisées par le PériPate ne soient pas exclusivement gays, mais ouvertes à tou(te)s sans distinction de genre ou de sexualité.La volonté, qui nous anime, est de sortir de tout communautarisme, quel qu'il soit, de toute marginalisation, de toute exclusion. L'équipe du Freegan Pony & du Péripate. Nous avons besoin de vous, n'hésitez pas à partager.

Freegan Pony/Peripate
2,259 supporters
Petitioning Conseil Economique Social et Environnemental, senegal, Députés senegal, OXFAM SENEGAL, ONG3D , Forum social senegalais, Eau vie environnement, Y'en a marre, UNAPAS , Pêcheurs

Pêche et exploitation pétrolière : sauvegarder les droits de propriété

La découverte du pétrole et du gaz au Sénégal est une opportunité qui ouvre desperspectives intéressantes pour le développement économique et social du pays. Il a soulevé beau coup de débats souvent passionnés mais rarement basés sur desinformations avérées et partagées. Dans le souci de protéger contre les menaces sur les écosystèmes marins et côtiers, ainsi que la volonté d'informer le public en vue d'assurer sa participation, la société civile en tant qu’acteur majeur de la gouvernance économique et sociale, a engagé beaucoup de réflexions et d’initiatives autour de ces enjeux et défis de la gouvernance du secteur des ressources pétrolières et gazières. Ceci à travers des consultations citoyennes sur l’exploitation pétrolière pour réfléchir à la manière de définir et de protéger les droits de propriété afin de prévenir les risques sur d’autres secteurs d’activités notamment la pêche et l’environnement.C’est dans ce cadre que le Réseau Libre Afrique Sénégal (LAS) lance cette pétition  sur « Pêche et exploitation pétrolière : sauver les droits depropriété ». Aidez nous à avoir des signatures pour qu'ensemble sauver les droits de propriété des pécheurs

Magueye SOW
1,087 supporters
Sauvons notre village: protégeons nos espaces naturels et la riralité

Madame, Monsieur, Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif et du Parlement. Nous avons examiné votre pétition avec beaucoup d’attention. La problématique qu’elle soulève a été partiellement traitée dans le cadre d’un avis intitulé : « La nature en ville : comment accélérer la dynamique ? » (https://www.lecese.fr/travaux-publies/la-nature-en-ville-comment-accelerer-la-dynamique) adopté le 11 juillet 2018. Dans cet avis, le CESE insiste sur l’enjeu social de la « nature en ville », qui doit répondre aux besoins des habitantes et habitants mais qui doit aussi contribuer à la solidarité des villes avec les campagnes qui ne cessent d’être artificialisées du fait de l’étalement urbain. La rapporteure de cet avis se tient à votre disposition pour échanger avec vous et vous présenter les préconisations du CESE à l’occasion d’une rencontre. Par ailleurs c’est avec grand plaisir que je vous convie à assister à une séance plénière, séances au cours desquelles sont présentés et votés les avis du CESE. N’hésitez pas à m’en faire la demande (P. Bernasconi P.Bernasconi@lecese.fr ). Enfin, pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Le CESE est l’assemblée consultative inscrite dans la Constitution de notre pays qui a pour rôle « d’éclairer les Pouvoirs Publics », merci à vous par votre action citoyenne, d’avoir contribué à enrichir nos travaux. Le Président du Conseil économique, social et environnemental.

2 years ago
Ouvertures des merceries et commerces de tissu-confection masques et su-blouses

Madame, Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif et du Parlement. Nous avons examiné votre pétition avec beaucoup d’attention. La problématique qu’elle soulève a été partiellement traitée dans le cadre d’une étude intitulée : « Construire demain » (https://www.lecese.fr/travaux-publies/construire-demain) adopté le 23 juin 2020. Dans cette étude, le CESE fait le constat qu’au cœur de la crise Covid-19, le rôle des associations et des particuliers s’est trouvé renforcé en assurant un lien social et en permettant des réponses d’urgence là où l’État n’est pas en capacité d’agir comme pour la question des masques. Les rapporteurs de cette étude se tiennent à votre disposition pour échanger avec vous et vous présenter les préconisations du CESE à l’occasion d’une rencontre. Par ailleurs c’est avec grand plaisir que je vous convie à assister à une séance plénière, séances au cours desquelles sont présentés et votés les avis du CESE. N’hésitez pas à m’en faire la demande (P. Bernasconi P.Bernasconi@lecese.fr). Enfin, pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Le CESE est l’assemblée consultative inscrite dans la Constitution de notre pays qui a pour rôle « d’éclairer les Pouvoirs Publics », merci à vous par votre action citoyenne, d’avoir contribué à enrichir nos travaux. Le Président du Conseil économique, social et environnemental.

2 years ago
FIRMA PARA FRENAR EL PROYECTO MACROPARKING JUNTO AL PARQUE DEL RETIRO "RETOMADO" POR AYUSO

Madame Garcia Jover, Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif ou du Parlement. Nous avons examiné votre pétition avec beaucoup d’attention. Toutefois, le CESE ne peut s’en saisir car elle n’est pas rédigée en français et n’est donc pas recevable. Pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Le Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

2 years ago
A U, USA and Canada Visa ban on Nigeria’s government​.​Stop Corruption,killings and poverty.

Madame, Monsieur, Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif ou du Parlement. Nous avons examiné votre pétition avec beaucoup d’attention. Toutefois, le CESE ne peut s’en saisir car elle n’est pas rédigée en français et n’est donc pas recevable. Pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

2 years ago
FREEGAN PONY : POUR QUE LA MAIRIE DE PARIS RENOUVELLE NOTRE CONVENTION D'OCCUPATION!

Madame, Monsieur, Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif et du Parlement. Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Toutefois, le CESE ne peut se saisir de la question que vous soulevez, celle-ci étant dirigée sur une seule entité et non sur une problématique générale. Pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez également consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Le Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

2 years ago
Banning plastic bags in Los Angeles

Madame Lopez, Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif ou du Parlement. Nous avons examiné votre pétition avec beaucoup d’attention. Toutefois, le CESE ne peut s’en saisir car elle n’est pas rédigée en français et n’est donc pas recevable. Pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

2 years ago
Let's put taxes on Palm oil products!

Madame Sigwald, Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif ou du Parlement. Nous avons examiné votre pétition avec beaucoup d’attention. Toutefois, le CESE ne peut s’en saisir car elle n’est pas rédigée en français et n’est donc pas recevable. Pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

2 years ago
ENSEMBLE POUR UNE RECONNAISSANCE ET UNE VALORISATION DU SECTEUR DU MAINTIEN À DOMICILE

Madame, Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif et du Parlement. Nous avons examiné votre pétition avec beaucoup d’attention. La question des aidants et plus largement des acteurs du maintien à domicile est au cœur des préoccupations du CESE. En effet, la problématique qu’elle soulève a été récemment traitée dans le cadre d’un avis intitulé « Les maladies chroniques » (https://www.lecese.fr/travaux-publies/les-maladies-chroniques) (11.06.2019). Dans cette perspective, le Conseil a souligné le rôle et les difficultés des aidants, et le fait que leur investissement en faveur du malade devrait être mieux pris en compte avec la stratégie pour les aidants familiaux 2020-2022 annoncée par le Premier ministre et la ministre de la Santé le 23 octobre 2019 prévoyant la création d’un congé indemnisé pour les aidants familiaux.". Par ailleurs, avec l’avis « Vieillir dans la dignité » (https://www.lecese.fr/travaux-publies/vieillir-dans-la-dignite) (24.04.2018), le CESE préconise d’adapter l’offre d’hébergement et de services aux besoins et aux attentes, notamment en déterminant les grands principes d’un financement solvable et pérenne des services d’aide à domicile, qui préserve l’égalité de traitement des personnes bénéficiaires et en levant très rapidement, y compris par le biais d’une négociation interprofessionnelle, les obstacles à l’utilisation effective des dispositifs d’aide aux aidants, notamment en déconnectant l’aide au répit des aidants du mécanisme de l’APA. Les rapporteurs de cet avis se tiennent à votre disposition pour échanger avec vous et vous présenter les préconisations du CESE à l’occasion d’une rencontre. Par ailleurs, c’est avec grand plaisir que je vous convie à assister à une séance plénière, séance au cours desquelles sont présentés et votés les avis du CESE. N’hésitez pas à m’en faire la demande (P. Bernasconi P.Bernasconi@lecese.fr ). Enfin, pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez également consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Le CESE est l’assemblée consultative inscrite dans la Constitution de notre pays qui a pour rôle « d’éclairer les Pouvoirs Publics », merci à vous par votre action citoyenne, d’avoir contribué à enrichir nos travaux. Le Président du Conseil économique, social et environnemental

2 years ago
Justice contre les violences faites à mes enfants

Madame Kine, Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif et du Parlement. Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Toutefois, votre pétition n’entre pas dans le champ de compétence du CESE qui relève des questions économiques, sociales et environnementales et nous ne pourrons pas nous saisir de la problématique qu’elle soulève. Pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez également consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Le Président du Conseil économique, social et environnemental (CESE).

2 years ago
Sauver notre monde "Save the world"

Monsieur Merine, Je vous remercie d’avoir adressé votre pétition au Conseil économique, social et environnemental. Comme vous le savez, depuis 3 ans, le CESE apporte toute son attention à la parole citoyenne et notamment à celle traduite par la mobilisation de femmes et d’hommes qui s’engagent en faveur d’une cause portée par une pétition. Ainsi, le CESE, assemblée de la société civile organisée qui rassemble les représentants des plus grandes organisations (associations, ONG, syndicats de salariés et de tous types d’entreprises…) désire porter la parole de toute la société civile auprès du pouvoir exécutif et du Parlement. Nous avons examiné votre pétition avec beaucoup d’attention. La problématique qu’elle soulève est au cœur des préoccupations du CESE. Depuis 2010, l’environnement au sein de l’assemblée est devenu une des grandes spécificités du CESE dans le paysage institutionnel français : représentation d’acteurs de l’environnement et nouvelle formation de travail dédiée. Avec 34 membres issus de la société civile, la section de l'environnement organise la concertation autour des enjeux suivants : la protection et la valorisation de l'environnement, le changement climatique, la biodiversité, la mer et les océans, la transition énergétique, la prévention, la gestion et la réparation des risques environnementaux, ainsi que la qualité de l'habitat. L’avis « Climat, énergie, biodiversité. Contribution du CESE à la Convention citoyenne » (https://www.lecese.fr/travaux-publies/climat-energie-biodiversite-contribution-du-cese-la-convention-citoyenne) (10.07.2019) aborde notamment les trois enjeux que sont le climat, l’énergie et la biodiversité : ils exigent de réussir des transitions collectives et individuelles afin que les évolutions socio-économiques soient compatibles avec les ressources finies de la planète et le maintien des régulations naturelles indispensables à la vie. Le rapporteur de cet avis se tient à votre disposition pour échanger avec vous et vous présenter les préconisations du CESE à l’occasion d’une rencontre. Par ailleurs, c’est avec grand plaisir que je vous convie à assister à une séance plénière, séance au cours desquelles sont présentés et votés les avis du CESE. N’hésitez pas à m’en faire la demande (P. Bernasconi P.Bernasconi@lecese.fr ). Enfin, pour en savoir plus sur le traitement des pétitions au CESE et son périmètre d’action vous pouvez consulter cette page : https://www.lecese.fr/veille-des-petitions. Le CESE est l’assemblée consultative inscrite dans la Constitution de notre pays qui a pour rôle « d’éclairer les Pouvoirs Publics », merci à vous par votre action citoyenne, d’avoir contribué à enrichir nos travaux. Le Président du Conseil économique, social et environnemental

2 years ago